Quantcast
Channel: Le blog de peuples.observateurs2010.over-blog.com
Viewing all 2508 articles
Browse latest View live

TOGO VIDEO Taméa: "Nous en avons marre du clan GNASSINGBE. Ils ont fermé toutes les usines. Femmes, levez-vous"


TOGO Interview exclusive Nicolas Berlanga-Martinez, Chef de Délégation de l’UE au Togo par L'Alternative

$
0
0
Interview exclusive
Nicolas Berlanga-Martinez, Chef de Délégation de l’UE au Togo
‘’C’est possible d’avoir un dialogue entre les forces politiques qui devra à la fin être entériné par l’Assemblée (...) les citoyens doivent toujours avoir une option d’alternance pour exprimer leur choix lors des élections.’’

L’entretien a duré une heure. Face à face, nous avons échangé avec l’Ambassadeur, chef de ...Délégation de l’Union Européenne au Togo, Nicolas Berlanga-Martinez, dans son bureau, sur ses premiers mois au Togo, mais aussi et surtout sur son appréciation des processus de réconciliation et de décentralisation, des réformes, de la situation politique en général, de l’opposition…En parfait diplomate, l’Ambassadeur européen d’origine espagnole a répondu à toutes nos questions. Attention aux « entre-les-lignes » ! Exclusif !
Bonjour Monsieur Berlanga. Cela fait six mois que vous avez pris fonction en tant qu’Ambassadeur et Chef de Délégation de l’Union européenne au Togo, quel bilan peut-on dresser de ces six mois passés au Togo ?
Vous savez, les premiers six mois sont très importants parce que d’une certaine manière, ça marque l’orientation d’un mandat et montre quelques caractéristiques qui sont liées à la personnalité de chacun. Pendant ces six premiers mois, j’ai voulu montrer l’image de proximité à la réalité du pays. Aller au-delà de la réalité politique, et connaître la réalité économique et sociale.
J’ai voulu rencontrer les leaders d’opinions; évidemment il y a les autorités, mais aussi l’opposition, une panoplie d’hommes et de femmes qui contribuent à l’épanouissement, les acteurs de la culture, du sport, des médias. C’était le but de mes premiers six mois. Si je dois tirer une conclusion, je dirais que j’ai découvert, à Lomé comme à l’extérieur, une société civile beaucoup plus formée et très mûre, qui a plus de maturité que ce qu’on pense et ce qu’on croit. J’ai eu l’occasion d’aller de Lomé à Cinkassé, passer quelque temps avec les organismes nationaux dans toutes les grandes villes, et même discuter avec des gens et effectivement, j’ai vu un engagement de ces gens, pour aider leur population et pour résoudre leurs problèmes quotidiens. J’ai vu une société civile très vive dans des manifestations culturelles et autres, beaucoup de femmes dans les associations, etc. que je vais essayer d’aider.
Vous venez du Cameroun; quelles sont les grandes similitudes entre le Cameroun et le Togo ?
C’est difficile d’établir des similitudes entre les peuples. Le Cameroun, c’est un pays riche, géographiquement bien placé dans le sens où c’est la porte d’entrée de l’Afrique centrale, et le Togo, un pays plus géographiquement limité, par contre. L’avantage, c’est que le Togo est plus ouvert vers ses voisins, son économie est orientée vers ses voisins du Sahel, du Ghana, du Bénin, du Nigeria…Sincèrement je suis très content d’être au Togo. Je pense qu’en général, les Togolais sont plus ouverts. Les Togolais ont entrepris un chemin de réformes depuis quelques années qui permet à la Délégation européenne de pouvoir contribuer, s’associer à toutes les évolutions d’une manière plus efficace que dans la situation actuelle au Cameroun.
Aujourd’hui, dans la société moderne, c’est très difficile d’établir les différences entre pays, il faut plutôt parler de citoyens, de populations, parce que maintenant dans notre monde globalisé, les frontières ont presque disparu, ceux qui lèvent leurs drapeaux de la souveraineté en fonction de leur frontière sont dépassés par les connaissances mutuelles, l’envie de la population de voyager, de faire des brassages culturels.
Est-ce qu’il y a quand même des similitudes que vous avez observées entre les deux peuples ?
Dans les deux sociétés, 50% de la population ont moins de 20 ou 25 ans. C’est-à-dire qu’il y a une envie de laisser derrière le passé et donner de l’opportunité à l’avenir. Ça arrive ici et au Cameroun et ça arrive partout en Afrique. Votre croissance démographique peut être une difficulté mais surtout une opportunité, car en Europe, la population vieillit. C’est la principale similitude que j’ai vue entre le Cameroun et le Togo. Et c’est une caractéristique qui vous appartient en tant qu’Africains.
Depuis que vous êtes là, on observe que vous êtes présent dans l’espace public, vous êtes moins enclin à la langue de bois, plus percutant que vos prédécesseurs; qu’est-ce qui justifie cette démarche de votre part ?
Moi sincèrement, je ne pense pas qu’il y a trop de différence entre le travail de mes prédécesseurs et le mien. Evidemment, il y a une question de personnalité, mais aussi une question de temps. Nous en tant que diplomates, nous adaptons notre langage à l’étape où le pays se trouve. Maintenant vous vous trouvez dans une étape de consolidation de la démocratie qui demande des suggestions, des partages, du dialogue plus franc. Un Ambassadeur s’insère sur la continuité, ce sont les institutions qui importent, pas les personnes.
Dans une de vos déclarations, vous avez ouvertement critiqué le budget du Togo. En quoi vous insinuez que cela ne cadre pas avec les priorités de la SCAPE ?
Ma déclaration autour du budget 2014 doit être encadrée dans un contexte de confiance. L’Union européenne avait débloqué 9 milliards de francs au budget de l’Etat. Pour débourser 9 milliards de l’argent des citoyens européens, il faut remplir quelques conditions, et le fait de l’avoir fait est un signe de confiance vis-à-vis des autorités. Donc dans cette confiance, j’avais passé quelques messages. Le premier message est que les réformes des finances publiques, la gestion saine des finances publiques, c’est une question trans-partisane qui va bien au-delà des clivages politiques. Et j’avais fait cette déclaration face aux membres de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale au sein de laquelle il y avait des représentants de tous les partis politiques. J’ai soulevé des questions par rapport au budget 2014, vu que nous ne sommes pas arrivés à comprendre quelques choix en termes de recettes et de dépenses qui montraient que le budget était expansionniste par rapport à la réalité. Mais sur cette base, on avait demandé un dialogue franc pour essayer de comprendre. C’est indispensable ! Nous nous sommes posé des questions sur la soutenabilité de ce budget. Car les gouvernants ont une envie d’investissements qui est très louable mais qui doit aller en parallèle avec les revenus. Sinon vous vous endettez. Et les dettes publiques sont payées par les générations futures. Donc il faut toujours préserver cet équilibre !
Le budget expansionniste de cette année, beaucoup d’analystes le justifient par le fait que le pouvoir en place soit en train de préparer l’élection présidentielle de 2015. Est-ce que vous voyez les choses de la même façon ?
Il faut être réaliste, tous les gouvernements au monde font énormément d’attention au budget de l’année qui précède les élections. Ce n’est pas quelque chose qui est particulier au Togo. C’est pour cela qu’il est nécessaire d’avoir des cadres macroéconomiques à moyen terme, à 4 ou 5 ans. C’est aussi très important que la gestion des finances publiques soit trans-partisane, que tout le monde soit impliqué. C’est pour ça que le rôle de l’Assemblée nationale est essentiel.
Lors de mon exposé, j’avais parlé du court délai qu’il y avait eu pour les discussions relatives au budget de 2014 à l’Assemblée. Evidemment, en rétrécissant le temps, on laisse moins de temps pour les discussions.
Est-ce que vous ne pensez pas que l’Assemblée nationale ne joue pas effectivement son rôle de contrôle budgétaire ?
J’observe que de plus en plus, au moins depuis les législatives de juillet 2013, il y a une envie d’avancer dans le bon sens. La consolidation démocratique ne se fait pas en un jour. C’est un processus, et donc mon rôle en tant que partenaire de longue date, un partenaire qui base ses actions sur le dialogue, c’est d’encourager cette force émergeante que j’observe à l’Assemblée nationale.
Est ce que vous avez l’impression que les acteurs ont les moyens ou veulent bien faire de contrôle ?
J’ai l’impression que le Togo a une opportunité formidable avec la nouvelle Assemblée nationale parce qu’il y a eu un fort renouvellement des membres, une amélioration claire des compétences au sein de l’Assemblée. Je pense sincèrement qu’avec ces députés compétents, je crois que c’est le cas, les discussions vont gagner en qualité. Avant, ce type de cérémonie se faisait entre le gouvernement et les partenaires. Cette fois-ci, pour la première fois, l’Assemblée a aussi participé, donc il faut encourager ce modèle.
Que pensez-vous de l’évolution du processus de décentralisation au Togo ?
Je pense qu’il faut d’abord parler de la question des élections locales. Le Togo doit organiser les élections locales pour donner légitimité aux élus, aux représentants de la population. Sur ce sujet, il y a un large consensus. Ces élections de proximité permettront de faire émerger des leaders locaux qui après, pourront devenir des leaders nationaux. Ça va aussi aider tous les partis, y compris ceux de l’opposition à entamer une démocratisation de leur structure interne.
Les élections locales vont faire que les citoyens se trouvent plus proches de leurs dirigeants. Les élections locales aideront à ce que les citoyens s’approprient la démocratie. Nous l’avons dit à plusieurs reprises : les élections locales sont très nécessaires et doivent être organisées dès que possible. Il n’y a pas d’élections parfaites. Il y avait eu des élections au Mali, en Guinée Bissau. Même si l’on ne peut pas dire qu’elles étaient parfaites, elles ont eu plus de positif que de négatif. Après un premier essai, avec cet acquis, le gouvernement peut travailler pour limiter le côté négatif et maximiser le côté positif.
Revenant à la décentralisation, j’ai l’impression qu’on ne rentre pas trop dans le fond du sujet. Les processus de décentralisation ne peuvent pas se répliquer automatiquement d’un pays à l’autre. Il faut engager les discussions sur ce qui doit être décentralisé et ce qui peut ne pas être décentralisé au Togo. Dans des sociétés comme celle togolaise, il faut renforcer la cohésion nationale. Cela n’empêche pas que des questions qui sont très liées à ce processus de décentralisation, telles que la gestion de l’eau, l’assainissement et autres soient abordées. Du côté de l’Union européenne, nous allons encourager que ces débats aient lieu. Mais il faut éviter qu’une question exclue l’autre : sans les élections locales, le Togo n’aura pas une démocratie complète.
Vous espérez que les élections aient lieu « dès que possible ». Beaucoup estiment qu’il y a une fuite en avant du pouvoir et demandent ces élections cette année, avant la présidentielle. Comprenez-vous qu’on ait autant de mal à organiser ces élections?
J’ai l’impression qu’il y a une volonté de tous les partis pour que les élections soient organisées. Il faut reconnaître qu’on est acculé par les délais maintenant. Mais la position de l’Union européenne est que ces élections soient organisées dès que possible.
Cette année ? Avant la présidentielle ?
Ecoutez, je préfère ne pas me prononcer sur une date. Mais je préfère réitérer de nouveau l’intérêt des élections locales pour tous les aspects suivants : la consolidation de la démocratie, la présence des partis dans l’ensemble du territoire, l’appropriation de la part des citoyens de la démocratie, le renouvellement des leaders politiques. Je préfère réitérer notre position qui est la même depuis les « 22 engagements » de 2004.
Pourquoi l’Union européenne n’en fait pas une conditionnalité de l’aide ?
Comme je l’ai dit ailleurs, l’Union européenne peut mettre de l’essence dans le véhicule mais la conduite appartient aux représentants du peuple togolais. Le langage de la conditionnalité est un langage du passé, sauf dans des cas extrêmes.
L’un des processus que vous avez accompagné au Togo, c’est le processus de la réconciliation. Quelle est votre appréciation de son évolution ?
Nous avons salué à l’époque le courage politique pour la décision de la création de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation. Mais nous observons que deux ans après la remise des conclusions, très peu de recommandations ont été mises en œuvre. Nous encourageons donc plus d’accélération dans la mise en place des recommandations. Je dis aussi qu’on comprend bien que les blessures sociales, après des affrontements à caractère politique, prennent beaucoup de temps avant de se guérir. Nous comprenons bien aussi qu’il faut aller avec beaucoup d’attention sur les actions en faveur de cette réconciliation. Mais nous disons que deux ans après la remise des rapports, une autre étape doit être franchie ; une étape où tous les volumes des rapports de la CVJR doivent être publiés. Une étape où on doit passer de la Vérité à la Justice, soit symbolique, soit réelle. Une étape où les acteurs politiques renoncent à soulever des aspects du passé pour diviser la population. Si l’on passe trop de temps à discuter de comment a été le passé, entre 1958 et 2005, peut-être on va perdre le train de ces 50% de la jeunesse pour qui le passé n’existe plus. Ce qu’elle demande, c’est que les autorités leur donnent des opportunités pour leur avenir, qu’elles leur donnent des réponses au sujet des inégalités qui sont en train de se creuser au Togo. En bref, nous attendons plus de transparence dans le cadre de ce processus ou une transparence et une volonté politique renouvelée pour conclure le processus. De surcroît, ne pas oublier la responsabilité de chacun à ne pas diviser, mais à réunir. Et aussi ne pas perdre de vue les préoccupations de cette jeunesse, de cette population du Togo qui n’est certainement pas la même il y a dix ou vingt ans.
Aujourd’hui, les trois autres volumes du rapport sont toujours mis sous embargo. On accuse les différentes parties prenantes, le PNUD, le HCDH, le gouvernement…Qu’est-ce que vous savez de ce blocage ?
Vous savez, dans tous les processus de justice, vérité et réconciliation dans le monde, une fois que les conclusions sont remises aux autorités (dans le cas du Togo, cela a été fait au Président de la République), la Commission n’a plus de responsabilité. Les institutions qui accompagnent la Commission, elles n’ont plus de responsabilité. La responsabilité de la publication et de la mise en œuvre des conclusions appartient au gouvernement. Il ne faut pas faire des amalgames. C’est le gouvernement à travers le ministère des Droits de l’Homme et de la mise en œuvre des recommandations de la CVJR qui a la responsabilité de la mise en œuvre des Recommandations, avec l’accompagnement bien sûr des partenaires.
Il se raconte que la gestion des ressources de l’UE mises à la disposition du PNUD dans le cadre de la CVJR ont connu quelques soucis. De quoi s’agit-il ?
Non, c’est une appréciation erronée, sincèrement. Je peux vous confirmer qu’il n’y a pas eu de souci spécial par rapport à la gestion de fonds. Au contraire, tous nos audits, que ce soit du point de vue opérationnel ou financier n’ont soulevé aucun souci spécial.
Parlons maintenant élections. On constate depuis quelque temps que l’absence de violence constitue désormais le critère d’acceptabilité des élections en Afrique. Quel est votre avis là-dessus.
L’absence de violence dans un processus électoral est bien-sûr un préalable indispensable pour la vie politique et pour la paix sociale. Depuis 2007, l’UE au Togo s’est inscrite dans un processus de consolidation démocratique à côté des populations.
Au-delà du préalable lié à la violence, il y a d’autres indicateurs sur la table. Par exemple, après toutes les élections, nos missions émettent des rapports d’observation. Ce qu’on fait après, c’est d’aider le gouvernement à mettre en place les recommandations de nos missions avant les nouvelles élections. Quand on parle par exemple de l’indépendance de la CENI, de l’amélioration de la liste électorale, de la création d’un Secrétariat exécutif, des élections indépendantes, de l’amélioration des procédures de recours avant et après le scrutin…ce sont des recommandations de nos missions d’observation électorale précédentes. Et tout cela fait partie du dialogue que nous avons actuellement avec le gouvernement. Je peux vous dire même que dans le cadre de la présidentielle en vue, l’Union européenne ajoutera des critères additionnels tels que la publication de la localisation des bureaux de vote et la publication des résultats par bureau de vote. Ce sont des critères qui n’existaient pas avant, mais que nous sommes en train d’encourager le gouvernement à remplir avant 2015.
Dans le cadre de la présidentielle justement, nous en sommes à moins d’un an. Est-ce que vous êtes aujourd’hui certain que tout ce qui sera nécessaire à la transparence du processus sera mis en œuvre à temps ?
Nous avons récemment salué par la voie d’un communiqué le dialogue politique en cours relatif aux réformes institutionnelles et constitutionnelles tant attendues. Nous ne cessons de passer des messages à nos interlocuteurs en faveur d’un accord et de dire qu’il y a une opportunité historique pour consolider ces réformes d’ici au mois de juillet 2014. Nous exprimons sans cesse que c’est possible d’avoir un dialogue entre les forces politiques qui devra à la fin être entériné par l’Assemblée parce que la Constitution dit que toute réforme doit être validée par l’Assemblée.
L’UE est donc pour un dialogue en dehors de l’Assemblée nationale ?
L’UE dit plutôt que les discussions se concentrent sur le fond et non sur la forme. Nous avons déjà dit que ce sont les questions de fond qui sont les plus importantes. Que les discussions se fassent à l’Assemblée ou en dehors, en tout état de cause, elles doivent être entérinées par l’Assemblée nationale. L’UE encourage ceux qui doivent prendre les décisions d’aller sur les discussions de fond sans perdre du temps sur la forme.
Je veux être plus explicite. Dans une démocratie consolidée, les représentants du peuple sont à l’Assemblée nationale. C’est-à-dire qu’au Togo, il y a beaucoup d’acteurs dans la vie politique. Mais la légitimité de ces acteurs se confirme à l’issue des élections. Je peux demain créer un parti politique (et je sais qu’au Togo, il y a une centaine de partis politiques) et m’attribuer une légitimité que je n’ai peut-être pas. Evidemment, tout ce processus doit être inclusif. Il faut trouver un moyen pour que toutes les voix soient écoutées, la voix des médias, de la société civile, les leaders religieux, des hommes d’affaires…sans perdre de vue qu’en politique, la légitimité est basée sur l’Assemblée. Allons directement sur le fond afin de parvenir à un accord avant juillet pour que la campagne présidentielle puisse se dérouler de façon apaisée et participative.
Toujours au chapitre de la présidentielle, il y a actuellement un débat très vif sur l’éventualité d’un 3e mandat de Faure Gnassingbé. Une bonne partie de l’opinion estime que deux mandats sont suffisants et que la réforme sur la limitation du mandat doit être applicable immédiatement. Quelle est la position de l’Union européenne sur ce sujet ?
Ecoutez, vous comprendrez que je ne peux pas me prononcer de manière explicite sur cette question. Je peux réitérer que c’est très important de respecter l’Etat de droit, c’est-à-dire de respecter les lois en vigueur et de faire les réformes des lois en fonction des mécanismes prévus par les lois elles-mêmes. Actuellement, la Constitution modifiée de 2002 est explicite sur la capacité des acteurs politiques à se présenter ou non. Tant que la Constitution ne sera pas modifiée, il sera difficile de se prononcer d’un côté ou d’un autre. Ce qu’il faut encourager, c’est que les accords des acteurs politiques consolident les réformes qui reflètent la position de la majorité de la société. Je ne cache pas qu’à mon avis la Constitution de 92 reflétait la majorité de la population togolaise et avait été faite avec le concours de toutes les forces politiques. C’est un fait historique. Et la modification de 2002 avait été faite par une partie. Mais c’était une modification légitime. Donc la modification de la Constitution de 2002 doit être faite avec la même légitimité. Maintenant il appartient à vous Togolais, à vos autorités, à vos dirigeants, d’arriver à des accords en suivant les processus législatifs en place.
Mais il se fait que le pouvoir hésite à faire les réformes vu que le cadre légal actuel est largement en sa faveur, lui qui avait taillé sur mesure la Constitution en 2002 !
Je ne suis pas du même avis que vous. J’ai l’impression que de toutes les parties, il se dégage un consensus autour des réformes clés, qu’un accord pourrait intervenir bientôt s’il y a cet esprit de flexibilité et de souplesse dont je parle. J’ai l’impression que tous les acteurs sont bien conscients que ces réformes sont indispensables pour la consolidation de la démocratie au Togo. Je reste plutôt positif. Ce qui reste, c’est un peu moins de positions maximalistes, un peu moins de positions tranchées pour parvenir à des accords.
Parlons un peu d’une partie de la classe politique togolaise, je veux parler de l’opposition. Certains observateurs évoquent quelques fois des carences de l’opposition togolaise en parlant par exemple de son incapacité à se mettre ensemble. Vous, en tant qu’observateur, quelle appréciation faites-vous de cette opposition ?
On doit reconnaître d’emblée que l’opposition est très nécessaire dans l’équilibre du pouvoir. Les citoyens doivent toujours avoir une option d’alternance pour exprimer leur choix lors des élections. Ceci dit, je pense que les parties de l’opposition ont besoin de refléter davantage la jeunesse de votre société. Les élections locales par exemple permettront l’émergence des jeunes leaders au niveau local qui pourront devenir des leaders nationaux après.
Revenant à la question de la division au sein de l’opposition, je dois dire qu’il n’y a pas un modèle unique. Il y a des pays où il y a un bipartisme et d’autres où il y a un vrai multipartisme. En tout cas, si je dois passer un message à l’opposition, je me concentrerais sur deux lignes. La première ligne, c’est le pragmatisme. C’est-à-dire que dans ses propos vis-à-vis de l’opinion publique, elle ne doit pas être une opposition qui divise. Sur la deuxième ligne, la société civile doit connaître son programme : si elle accède au pouvoir, qu’est-ce qu’elle fera de différent que le pouvoir actuel ? Je pense que la présentation d’un programme est nécessaire pour montrer aux citoyens que ce n’est pas seulement une question d’alternance, mais de gestion de la vie publique de manière différente. Je plaiderai que l’opposition développe davantage son programme politique et montre la différence de ses options idéologiques.
Parlons maintenant de l’Union européenne qui célèbre le centenaire de la première Guerre mondiale. Quelles sont les activités prévues au Togo ?
Je dois vous préciser que nous ne célébrons pas 1914. 1914, c’est une date de division, une date d’affrontement, une date où nos dirigeants politiques ont opté pour la voie de la guerre au lieu de la voie de l’apaisement. Et on sait bien que la voie de la guerre ne profite à personne, que personne ne sort vainqueur d’une guerre. Tout le monde sort perdant. Disons qu’on commémore comme une obligation de rappel historique pour répéter aux générations actuelles comment on doit continuellement se battre pour la paix. Du point de vue de l’Union européenne, nous ne pouvons que montrer comment en 1914, l’Europe était divisée et comment en 2014, l’Europe est unie sous la devise des douze étoiles de notre drapeau. C’est l’envie de travailler ensemble que nous allons célébrer. Au Togo, nous allons aménager la « Place de l’Europe ». Nous sommes en train d’aménager, avec l’autorisation des autorités, une place entre la résidence de l’UE et le bureau de la Délégation, en face de la Primature, une place ouverte à toute la population togolaise comme un symbole d’union, d’entente.
Dernière question, mais question personnelle. Dites-nous, depuis que vous êtes au Togo, qu’est-ce qui vous occupe, à vos temps perdus ?
(Rire) C’est le Togo qui occupe mon temps perdu. Plus sérieusement, la connaissance de vos cultures, de votre territoire. Par exemple, si je vais faire du sport sur le campus, je fais attention aux comportements des jeunes. Si je me promène le long de la côte, j’observe comment les Togolais profitent d’un dimanche… Moi et ma famille, nous essayons de vous comprendre mieux. Après six mois, je dois vous dire que rien ne me semble étrange. J’ai encore une fois la confirmation que nous ne sommes pas différents. L’envie de la jeunesse d’avoir des opportunités, l’envie de la population de vivre une vie en paix, l’envie de demander aux autorités publiques de proposer des solutions aux problèmes quotidiens sont des envies qui existent partout, au Cameroun, au Togo, en Europe, etc.

Par Maxime DOMEGNI et Annie-Stévia WODOME

L’Alternative N° 318 du 08 Avril 2014

TOGO Grogne et RIFIFI au sein des FAT (force armée togolaise.) des tètes vont tombées dans les jours à venir...

$
0
0
Grogne et RIFIFI au sein des FAT (force armée togolaise.) des tètes vont tombées dans les jours à venir...
L'omniresent directeur des services des fat colonel OURO BANG'NA NASSAM et ses complices bientôt aux arrêts pour détournements,faus...se facture,commande réelle pour des livraisons fictives,faux et usage de faux,surfacturation.
Selon nos recoupements et de source sure du haut commandent des forces armées togolaise les FAT,un audit interne après la passation du service entre l ancien. Chef d état major Mohammed Atcha TITIKPINA et le nouveau le Général kadangha Abalo il a été constaté une commande de 8000 treillis d une valeur de 123.000.000(cent vingt trois millions de frs CFA) jusqu à ce jour introuvable avec un bon de commande signé en bonne et du forme paye rubis sur ongle à une société fictive et bidon télé mobile appartenant à un certain Sam AKIM fils d'un ancien gendarme et parrainé sous couvert par le directeur des services des FAT le colonel commissaire OURO BANG'Na dont nous apprenons une arrestation imminente dans les jours à venir, il a construit des villas partout à Lomé a ses maîtresses et paraît il que c est un adepte d enterrer un bœuf vivant chaque semaine pour aveugler et détourner les yeux du président de la république afin qu'on ne puisse pas découvrir ses malversations.IL lui a été reproché aussi de fournir un ancien lot de treillis pour faire croire que c est la nouvelle commande de son ami sam akim et ceci a chercher a camoufler cette dernière commande qui n à jamais été livrée.le colonel OURO comme c est de lui qu' il s'agit à flouer le chef d état major général le général Félix Abalo Kadhanga et le directeur de cabinet le colonel YOMA BITENEWE du ministère de la défense.
La conséquence de tout ses méfaits et magouilles c'est que aujourd'hui hui le colonel OURO Et son ami AkIM ont mis le chef d état major général des FAT en difficulté devant la troupe mal habillée et qui n à cesser de lui réclamer leur tenue en tournée dans les unités à l intérieur du pays et à Lomé de même.Le seul problème crucial et récurrent à ce fait c est qu'il a du rebrousser chemin pour rentrer à Lomé ,car ça sentait le roussi ou la vinaigre.
Cette situation très grave si on n y prend pas garde peut déboucher sur une mutinerie et même plus grave...suivez nos regards!!!!!!!!!!!!!........
Il est très urgent d attirer l attention du chef de l état pour qu'il puisse prendre ses responsabilités avant qu'il ne sois trop tard...."le président EYADEMA disait toujours on sais quand ça commence mais on ne sais jamais quand ça fini ".que fait il les OUROS???????
Pour anticiper sur la situation le colonel OURO BANG 'NA doit être interpellé pour se justifier,le capitaine SAMA de la commission des marches des FAT,doit l être aussi automatiquement,le direçteur de la société télé mobile SAM AKIM doit être aussi arrêté.Ce dernier lors de son dernier voyage sur la FRANCE a lâcher que au cas ou il arriverait qu on l arrête lui lâcherai le morceau car il n est pas seul et qu il n a fait que ce qu on lui a demander...C'est toujours ce même personnage qui a livrer de faux Motorola a la garde présidentielle qui n ont jamais fonctionner toujours en complicité avec le colonel OURO et l autre saltimbanque grand magouilleur impénitent le Général "tueur" Mohammed Atcha TITIKPINA qui a chercher à refoulguer aux FAT un deuxième hélicoptère qui n'a jamais marcher ou du moins la maintenance d un seul voyage crève la trésorerie des FAT.
C'est vraiment dommageable qu 'au moment ou le président Faure Gnassingbe redouble d effort pour assainir la finance publiques ,des FAT des rapaces de surcroît de grand responsables continuent par ses pratiques mafieux,corruptibles, et de détournement de deniers publics d un autre temps.
AFFAIRE A SUIVRE.........

JCL
Jean Claude lavoisier
Journaliste indépendant et d investigation
Bruxelles
08/04/2014







 

 

 

 

TOGO Un gendarme tente d’étrangler une dame soupçonnée de vendre du carburant de contrebande

$
0
0

Un gendarme tente d’étrangler une dame soupçonnée de vendre du carburant de contrebande

Les bidons vides à côté de la marmite de Tchouk

Violence policière au nom de l’Opération Entonnoir

Les traces de griffures au cou de la dame

Les traces de griffures au cou de la dame

Une femme a échappé, le dimanche 30 mars 2014, à une tentative d’étranglement de la part d’un gendarme. Elle est soupçonnée de vendre du carburant de contrebande parce que devant sa maison, se trouvaient des bidons dont elle se sert pour vendre du  « tchouk ».

La traque de la vente illicite de carburant se poursuit avec son lot de zèle, de violences, d’abus d’autorité et tout autre crime imputable aux corps habillés. Ces derniers mois, il ne fait plus bon de circuler avec des bidons de couleur jaune car le risque de se faire matraquer comme un vulgaire voleur ou brigand n’est plus à démontrer.  L’« Opération Entonnoir », comme le nommait si fièrement l’ex-chef d’Etat-major, le Général Atcha Titikpina, n’a pas eu le succès voulu par ses initiateurs. Et pour cause, elle enregistre de nombreuses victimes. Le cas de l’une des victimes a attiré notre attention. Sa faute, c’est d’avoir en sa possession des bidons jaunes de 25 litres, comme ceux utilisés par les convoyeurs d’essence.

Nous sommes à Vakpossito Logomé, un quartier de la banlieue nord de Lomé, et ce dimanche 30 mars de l’an 2014, cinq gendarmes dont trois en tenue militaire débarquent chez Mme Abna Likiloun, vendeuse de « tchouk ». Elle était avec son fils dans la cour de la maison. Les cinq gendarmes leur demandent où ils pouvaient trouver « la revendeuse de carburant ». Naturellement, Mme Abna Likiloun et son fils répondent qu’ils ne connaissent aucune revendeuse de carburant. Les gendarmes sortent de la maison et y reviennent quelques minutes plus tard par une deuxième porte. Alors qu’elle revenait s’asseoir – car elle s’était levée pour fermer la première porte laissée ouverte par les gendarmes – elle se retrouve nez-à-nez avec les fouineurs. Malgré ses efforts pour leur expliquer que ni elle ni ses enfants ne se livrent à la vente illicite de carburant, l’un des gendarmes, poussé par on ne sait quoi, lui bondit dessus, se saisit de son cou et tente de l’étrangler. Son fils intervient et arrive tant bien que mal à la tirer des griffes – au sens premier du terme – du « furieux gendarme ».

Comme s’ils n’en avaient pas assez fait de débarquer dans une maison et de violenter les occupants, l’un des gendarmes, assis dans le véhicule demande qu’on embarque la pauvre victime. Mais c’est sans compter avec la résistance de cette dernière.

Les bidons vides à côté de la marmite de Tchouk

Les bidons vides à côté de la marmite de Tchouk

Elle s’en sort avec deux profondes griffures sur le côté droit de son cou et des douleurs musculaires dont elle a souffert plus de 72 heures après l’altercation avec les militaires. Pour soigner ces griffures, elle s’est rendue à l’hôpital et a reçu des piqûres antitétaniques. Au total, elle a déboursé près de 20 000 FCFA.

Pour ne pas laisser cet abus impuni, elle se rend le jour même au camp pour exposer l’affaire aux supérieurs hiérarchiques des gendarmes, auteurs de cette bavure digne d’un autre siècle. Le lendemain lundi, elle rencontre le commandant et dans la confrontation avec les militaires, ces derniers « déversaient un torrent  de mensonges ». « Nous avons vu des traces de carburant et des bidons. Son fils nous a même confié qu’ils venaient de finir la vente. Nous avons le droit de fouiller dans leur maison », a déclaré l’un des gendarmes impliqués dans cette énième violence au nom de la lutte contre le trafic illicite de carburant.

Si la plupart des victimes de violence policière se résignent par peur de représailles, Mme Abna Likiloun ne semble nullement intimidée et ne compte pas en rester là. « Le gendarme qui a tenté de me tuer doit être puni. Si j’étais morte, on n’aurait rien dit et ce serait fini pour moi. Tout le monde se débrouille pour manger parce que personne ne veut mendier », a-t-elle confié. «  Et même si je vends du carburant, ils n’ont pas à se comporter comme ils l’ont fait. Ils doivent être punis afin que ces actes ne se répètent plus », a réitéré Mme Abna Likiloun avant d’ajouter qu’« ils n’ont cessé de me répéter que je peux aller voir Faure Gnassingbé, rien ne leur sera fait ».

G.A.  LIBERTE

TOGO VIDEO Rufin AZIAMOE: On fait la politique sur le terrain, pour après la présenter sur les radios, la télé

TOGO Le pouvoir fait réparer et reconditionner discrètement des kits électoraux

$
0
0

Le pouvoir fait réparer et reconditionner discrètement des kits électoraux

Présidentielle 2015 et huilage de la machine à fraudes

La présidentielle de 2015, c’est encore dans une dizaine de mois. Même si le débat est ouvert depuis quelques semaines sur l’exécution des réformes institutionnelles et constitutionnelles indispensables au bon déroulement de ce scrutin et à la survie de la démocratie, les vrais préparatifs ne sont pas encore officiellement lancés. Mais les éternelles manœuvres de fraude électorale ont déjà commencé. Selon les indiscrétions, les kits électoraux sont l’objet d’un reconditionnement, loin des yeux et des oreilles indiscrets.

Dans l’attente d’un dialogue et des réformes

Les réformes constitutionnelles et institutionnelles recommandées par l’Accord politique global (Apg) du 20 août 2006 sont plus que jamais au cœur de la présidentielle de 2015. Si leur exécution a toujours été différée depuis 2006, le pouvoir ne peut plus s’y dérober.

Le débat a véritablement démarré sur ces réformes depuis le 5 mars dernier, avec la rencontre historique entre Faure Gnassingbé et Jean-Pierre Fabre à la présidence de la République. Suite aux instructions du Prince de la République, le Premier ministre Arthème Ahoomey-Zunu a organisé les 13 et 14 mars à la Primature des échanges avec un certain nombre de partis et/ou regroupements politiques. Toutes ces formations ont exprimé leur position sur le cadre qui devra exécuter ces réformes et la procédure à suivre. On retiendra que l’Alliance nationale pour le changement (Anc), l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (Addi) et la Coalition Arc-en-ciel militent ouvertement pour la création d’un cadre hors de l’Assemblée nationale pour mener les discussions préalables sur ces réformes et obtenir le consensus avant le recours au parlement; même l’Union pour la République (Unir) ne serait pas contre cette proposition. Seule l’Union des forces de changement (Ufc) a chanté un son de cloche différent. Les choses devraient donc s’accélérer. Mais c’est le black-out total de la part du gouvernement depuis bientôt  un mois. L’Anc dans un courrier daté du 24 mars dernier, a appelé le Premier ministre à faire diligence pour ouvrir le dialogue préalable.

La classe politique ainsi que les Togolais épris d’alternance au pouvoir sont donc dans l’attente du dialogue et des réformes. Mais le pouvoir, lui, a ses préoccupations ailleurs. La machine à fraudes électorales est en pleine opération d’huilage.

La RDC reprend ses kits prêtés au Togo…

C’est un secret de Polichinelle que depuis plusieurs années, le Togo a recours aux kits de la République démocratique du Congo (Rdc) pour organiser ses élections électorales. On se rappelle, pour les législatives du 14 octobre et la présidentielle du 4 mars  2010, c’étaient trois mille (3000) kits électoraux que le pays de Joseph Kabila avait mis à la disposition de notre pays. En 2011, le Togo a aussi rendu la pareille à la Rdc en lui prêtant mille kits. Pour les législatives du 25 juillet 2013, notre pays a encore tendu la main à Joseph Kabila qui lui a de nouveau porté assistance avec un certain nombre de ces appareils. Des kits, on en a encore besoin pour l’organisation de la présidentielle de l’année prochaine. Mais selon les informations, la Rdc a repris il y a une dizaine de jours les siens mis à la disposition de notre pays. On parle d’un nombre de mille cinq cents (1500) kits. Le Togo n’en disposerait actuellement que de 1500; ce qui serait insuffisant pour effectuer l’opération de recensement attendue. Même dans le lot, il nous revient que nombre de ces appareils ont des problèmes et sont l’objet de réparation (sic). Ce qui risque d’affecter leur bon fonctionnement.

…Des kits reconditionnés discrètement par un réseau de techniciens béninois

Les préparatifs n’ont pas encore officiellement commencé, mais des choses semblent se tramer dans l’ombre. Selon les indiscrétions, le pouvoir a entrepris depuis deux mois une opération discrète de reconditionnement des kits électoraux. Ce boulot serait assuré par des techniciens béninois appartenant à un réseau international spécialisé dans la fraude électorale, et se fait en toute discrétion. En tout cas, pas officiellement à la connaissance du bureau de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) dont la présidente, Mme Angèle Dola Aguigah est grabataire depuis les législatives du 25 juillet 2013. Ce serait d’ailleurs difficile que les techniciens de la Céni s’y plient quand on sait que cela fait huit (08) bons mois que le personnel n’est pas payé. Il nous revient qu’un certain nombre de ces kits reconditionnés auraient été convoyés à la Gendarmerie. A quelles fins ? Il faut être dans le secret des dieux pour le savoir.

Des senteurs de préparation de la fraude

Ce ne sont visiblement pas de bonnes intentions qui justifient cette opération, au regard de la façon dont elle se fait. S’il y a besoin de reconditionner les kits pour s’en servir à chaque élection, cette opération se fait au vu et au su de tout le monde. Les règles recommandent qu’elle s’effectue sous le contrôle de la Céni. Mais voilà, la Commission n’est pas encore recomposée que ce travail est déjà enclenché, discrètement. Est-ce pour le roi de Prusse que cela se fait-il ? Va-t-on reprendre le travail après que la Céni sera officiellement recomposée ? Tout apparaît clair lorsqu’on sait que cette prestation est assurée par des techniciens béninois appartenant à un réseau international de fraude électorale qui offre souvent ses prestations à des dictateurs sur le continent. Le pouvoir a simplement commencé à huiler sa machine à fraudes électorales en perspective de l’élection présidentielle cruciale de 2010. C’est d’ailleurs l’éternel scénario utilisé à chaque échéance électorale. On prétexte du gain du temps et les kits sont reconditionnés dans des circuits obscurs avant même l’installation officielle de la Céni devant organiser, superviser le scrutin et proclamer les résultats. C’est dans ces couloirs que ces appareils sont manipulés et programmés de telle sorte qu’ils sortent des résultats en faveur du pouvoir.

Tino Kossi   LIBERTE

TOGO Faure Gnassingbé associé à un riche financier togolais résidant à Monaco traite l'exportation du Coltan/Uranium togolais clandestinement

$
0
0

TOGO Faure Gnassingbé associé à un riche financier togolais résidant à Monaco  traite l'exportation du Coltan/Uranium togolais clandestinement

En ce qui concerne la Société Monégaste, c'est qu'elle est dirigée par un Togolais très prospère vivant dans une superbe villa et très versé dans les affaires financières.


Nous possédons le nom de tous les protagonistes et même leurs photos.


A suivre...





TOGO Confidentiel Gnassingbé exploite de l'Uranium/Coltan au Togo via une société basée à Monaco


Voici le lien du document du laboratoire de Strasbourg qui confirme la radioactivité des cailloux prélevés au Togo (Trace de Coltant et d'Uranium)

https://www.flickr.com/photos/85974330@N07/7877594646/in/photostream

Voici pour mémoire une lettre que j'ai reçu un jour d'un M. Dutaye habitant à Strasbourg antérieurement marié à une Togolaise avec laquelle il aurait vécu dans la région d'Agou. Ce Monsieur, je l'ai rencontré un jour par hasard en France et ayant su que je suis d'origine Togolaise m'a raconté son histoire d'avoir été mêlé à une exploitation clandestine de Coltan sur la frontière Ghanéo-Togolaise et il souhaitait que cette exploitation mafieuse fût connue de l'opinion publique internationale. Je lui ai demandé des preuves de ses accusations. Rentré chez lui, il m'a envoyé une lettre dont la copie suit. Selon ses déclarations les exploitants clandestins seraient la famille Gnassingbé et la société qui s'en occupe serait basée à Monaco.  Depuis, je n'ai eu de nouvelles de M. Dutaye dont l'adresse mail est:
dutaye@aliceadsl.fr
Si quelqu'un désire en savoir plus, il peut donc écrire à M. Dutaye.
Mathieu Cichocki PEUPLES OBSERVATEURS
voici la lettre que M. Dutaye Georges est censé avoir envoyée à ses acolytes de l'époque pour leur signifier qu'il était le mieux placé pour négocier l'exploitation paisible de la mine avec les villageois alors que ses amis préconisaient la méthode forte dite "Tienamen" c'est à dire le nettoyage du village par des Forces Armées comme ce fut précédemment le cas pour les mines de phosphates quand les villageois du Yoto voulaient s'opposer à l'ouverture des carrières.
Bonjour,
J’attire votre attention sur le fait que je suis très aimablement connu dans ce village et bien qu’en minéralogie je n’y connaisse rien, ma présence au cour de tractations qui risque d’être difficile peu rassurer la population. C’est pour cette raison que je désire être tenu au courant de ce qui peu ou ne peu pas se faire, afin de pouvoir dans la mesure du possible arrondir les angles. Les petits cailloux se ramassent à ciel ouvert sur une distance de 4 km surtout après la pluie qui entraîne une boue rouge comme de la bauxite. Si vous envoyez une équipe pour examiner les lieux sans moi, il y aura des risques, avec les anciens de ce village il est nécessaire de parlementer avec diplomatie et des cadeaux du sodabi par exemple (vin de palme) sans oublier que dans nombre de familles des enfants sont expatriés en France, Canada, Amérique, Allemagne, Italie Etc.… et que parmi eux il y a des gens très instruit qui seraient capable de compliquer la situation. Ce que personnellement je voudrais éviter, c’est une intervention brutale qui disperserait la population sans ménagements comme cela a été fait pour le phosphate. Région de Akoumapé. Système « place Tienanmen » quand les contestataires sont tous mort, il n’y a plus de contestataires. Je ne voudrais pas que ce village s’éteigne dans un bain de sang comme au Congo avec le Coltan. 
Je viens d’avoir avec vous un entretien téléphonique. Je vous remercie des explications que vous m’avez donné, j’en ferais un résumé que je communiquerais à monsieur Gagoba Koku le chef du village, à savoir que dans un premier temps, il y auras exploration de la région avec possible retombés économiques si le gisement s’avère rentable, Qu’en tout état de cause, il ne pourra pas être fait de recherche sur le terrain sans l’accord des autorités Togolaises, qui seul sont habilités à donner concession d’exploitation.
Encore une fois je vous confirme que je n’ai aucune intention d’exploitation pour mon propre compte, ce que je désire c’est le bien pour cette population parmi laquelle je désire finir ma retraite dans la sérénité.
 
Au plaisir de vous lire
 
Georges Duteil

MINE CLANDESTINE DE COLTAN/URANIUM AU TOGO!

 

Aujourd'hui nous revenons vers vous afin de compléter les informations sur cette mine qui exite bien dans la région de la ville/préfecture de KPALIME.

A partir de la ville d'AGOU-GADZEPE prendre la route qui va vers le sud jusqu'à ce fameux village "MARTYR" dénommé: NYITOE.

Il est situé avant la ville de ZUKPE qui est la ville frontière du GHANA délimitée elle même par une rivière dénommée TODJIE.

Le site est exploité pour l'instant sur une superficie d'environ 4 km carré.

Hélas comme la plupart des taches ingrates effectuées au Togo, ce sont des enfants qui sont chargés de ramassés "les cailloux" RADIOACTIF !

Un génocide générationel se prépare dans la région de KPALIME car une multitude d'enfants travaillent sur ce site radioactif et un pic de maladies mystérieuses se déclarent chaque jour dans les dispensaires du coin !...
Les exploitants du gisement leurs rachètent les "cailloux" 1 500 FCFA le Kilo !

Le COLTAN est ensuite convoyé vers le GHANA pour prendre un avion à destination de l'ASIE...

De sources croisées et fiables nous pouvons déclarer que les CHINOIS supervisent tout ce processus...

______________________?
La Chine offre des bâtiments scolaires à Agou-gadzépé !???

UN CADEAU POUR ACHETER LE SILENCE DES VILLAGEOIS ?!...
La préfecture d'Agou-gadzépé a désormais de nouveaux édifices scolaires. Fruits de la coopération sino-togolaise, ces écoles sont construites par la société chinoise d'ingénierie et de construction avec l'appui des autorités togolaises.
D'un coût total de 300 millions F CFA, chaque établissement est composé de six salles de classe ventilées comprenant des tables-bancs. Les deux écoles sont notamment dotées:
•d'une bibliothèque
•d'une salle de réunion des enseignants
•d'une salle de repos
•de deux blocs de toilettes pour filles et garçons
•d'un bureau climatisé et meublé pour le Directeur
•d'un bureau pour le Secrétariat
•d'un terrain de football

______________________

DES AGENTS DE L AIEA agence internationale s'occupant de la sûreté nucléaire sont deja au TOGO depuis mercredi 29 aout 2012.

http://www.flickr.com/photos/85974330@N07/7877594646/in/photostream

TOGO CONFIRMATION DE RADIOACTIVITE SUR LE SITE DE NYITOE! 4ème Volet http://fb.me/212d6xJMY


document d'analyses minéralogiques effectuées sur des échantillons de "cailloux" prélevés à NYITOE au TOGO. Ces analyses ont été effectuées dans les laboratoires de l'Ecole des Sciences de la terre, musée minéralogique de Strasbourg dont voici l'adresse. Le Document est signé par le Dr Denis Leypold.
1 Rue Blessig 67084 Strasbourg-FRANCE

VALIDATION DE PRESENCE DE RADIOACTIVITE (URANIUM...)

Il y a quelques jours nous vous avions dévoilé une information en EXCLUSIVITE sur une activité extractive de minerais: le COLTAN à la surprise de nombreux lecteurs incrédules pourtant en majorité de bonne foi.

Pourtant depuis des semaines nous dévoilons des informations chaque fois des plus extraordinaires dans le négatif sous le règne de fraude gnassingbé comme dernièrement sur l'organisation du trafic de stupéfiant dont la "baronne" n'est que BADAGNAKI GNASSINGBE.

Aujourd'hui nous revenons vers vous afin de compléter les informations sur cette mine qui exite bien dans la région de la ville/préfecture de KPALIME.

A partir de la ville d'AGOU-GADZEPE prendre la route qui va vers le sud jusqu'à ce fameux village "MARTYR" dénommé:
NYITOE.

Il est situé avant la ville de ZUKPE qui est la ville frontière du GHANA délimitée elle même par une rivière dénommée TODJIE.

Le site est exploité pour l'instant sur une superficie d'environ 4 km carré.

Hélas comme la plupart des taches ingrates effectuées au Togo, ce sont des enfants qui sont chargés de ramassés "les cailloux" RADIOACTIF !


Un génocide générationel se prépare dans la région de KPALIME car une multitude d'enfants travaillent sur ce site radioactif et un pic de maladies mystérieuses se déclarent chaque jour dans les dispensaires du coin !...
Les exploitants du gisement leurs rachètent les "cailloux" 1 500 FCFA le Kilo !

Le COLTAN est ensuite convoyé vers le GHANA pour prendre un avion à destination de l'ASIE...


 

Si vous restez toujours incrédules après ce complément d'informations, alors il ne vous reste plus qu'à prendre
Pourtant depuis des semaines nous dévoilons des informations chaque fois des plus extraordinaires dans le négatif sous le règne de fraude gnassingbé comme dernièrement sur l'organisation du trafic de stupéfiant dont la "baronne" n'est que BADAGNAKI GNASSINGBE.

Au votre voiture et à tenter d'aller sur place ! Vous pourrez confirmer nos dires si seulement la mafia FAT prépositionnée sur place vous laisse approcher...

De même pour ceux qui croient que les mines d'or et de diamant n'existent pas au Togo, pouvez-vous alors vous expliquez à vous mêmes pourquoi il y en a juste à côté au Ghana, juste au dessus au Burkina et à l'est au Bénin ?!... Est-ce que la "veine" s'arrête aux frontières du Togo dessinées par le colon au 20 ème siècle !?

Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas ! Peuple bouge toi! Réveille toi car on te PILLE FATA! Rappellez-vous, le Togo a souffert du commerce négrier que lui ont fait subir les liens commerciaux entre négriers occidentaux et rois tribaux à partir du XVIe

et cela continue toujours, victime de sa richesse minière...

 

 

 

IL N'Y A PAS QU'AU KONGO QUE L'ON RAMASSE DU COLTAN POUR LES MULTINATIONALES DE TELEPHONIES MOBILES
                               MAIS AUSSI AU TOGO


LA MINE EST EXPLOITEE CLANDESTINEMENT  ET CE SONT DES ENFANTS QUI RAMASSENT LES "CAILLOUX" RADIOCATIF !

CES ENFANTS IRRADIES MEURENT TRES JEUNES SOUS LE REGIME DE FRAUDE PEDOPHILE GNASSINGBE!

LE COLTAN contient de l’uranium en petites doses. Maladies respiratoires, irritations des yeux… autant de problèmes de santé développés par les prospecteurs de coltan. Autre danger : l’exploitation du coltan engendre des bouleversements environnementaux importants.

Un travail qui commence tôt le matin jusque tard le soir. Ils ont pour seuls outils, burins, pelles, barres à mine, marteaux… Une fois les particules de coltan obtenues, elles sont déversées dans des sacs, puis acheminées jusqu’au comptoir.

LE COLTAN TOGOLAIS SE RAMASSE A CIEL OUVERT SUR UNE DISTANCE D'ENVIRON 4 KM SURTOUT APRES LA PLUIE QUI ENTRAINE UNE BOUE ROUGE.

LE MINISTRE DAMMIPI A SUR LA CONSCIENCE LES ENFANTS MALADES TOGOLAIS TRAVAILLANT DE MANIERE CLANDESTINE DANS UNE MINE NON REPERTORIEE OFFICIELLEMENT AU MINISTERE DES MINES QUI SE TROUVE A SA CHARGE !

UNE NOUVELLE BOMBE DANS LE JARDIN DE LA DICTATURE DE FRAUDE PEDOPHILE GNASSINGBE !

ZUNU ENCORE PREMIER MINISTRON A L'HEURE ACTUELLE DE LA GNASSION PEDOPHILE DOIT S'EXPLIQUER MAINTENANT DEVANT LE PEUPLE ET RENDRE COMPTE!

LE REGIME DU FRAUDEUR ASSASSIN GNASSINGBE EST A ABATTRE CHAQUE JOUR D'AVANTAGE CAR LES DOSSIERS QUE NOUS AVONS SONT HORRIBLES._ NOUS ALLONS CONTINUER A INFORMER LE PEUPLE ET LE MONDE !




Max, commando marine : « Soit tu progresses, soit tu dégages »

$
0
0

Max, commando marine : « Soit tu progresses, soit tu dégages »

Géraud Bosman-Delzons | Journaliste

 

Quand on lui pose la question, Max dit qu’il « travaille pour la défense ». Marin, parachutiste et tireur d’élite, il s’entraîne « au pire », en permanence. En fait, son corps, c’est son outil de travail.

Max (le prénom a été changé) est entraîné pour sauter en parachute en pleine nuit, palmes au pied, barda encordé et fusil d’assaut en bandoulière. Puis à rester plusieurs heures sous l’eau, avant de débarquer et d’entamer une incursion nocturne de 50 km en « zone hostile ».

Son corps est son outil de travail, qu’il passe beaucoup d’heures à muscler et endurcir avant de le mettre à l’épreuve sur le terrain.

Le jeune homme est commando marine depuis près de dix ans. Ils sont seulement 450 à exercer ce métier en France, sous la direction du commandement des opérations spéciales (COS). Ces hommes sont l’équivalent français des Navy Seals – les soldats d’élite américains qui ont éliminé Oussama Ben Laden le 2 mai 2011 au Pakistan.

Max est multi-qualifié : en tant que marin, il dispose du permis hauturier, mais il est aussi parachutiste, tireur d’élite, spécialiste de la démolition et secouriste.

« Les commandos marine sont le fer de lance des forces spéciales. Nous sommes les seuls à pouvoir évoluer dans les trois milieux : terre, air, mer. »

Documentaire sur les forces spéciales du COS (première partie)

Soumis au secret, Max témoigne sous anonymat et évite de donner des précisions sur ses missions. Rares sont les commandos qui se dévoilent – ce fut cependant le cas de Marius, ancien instructeur.

« On n’est pas des Rambos »

Dans le civil, Max adopte une totale discrétion :

« Quand on me demande, je dis que je travaille pour la Défense. Si la personne connaît le secteur, je parle des fusiliers marins. Mais de toute façon, commando marine, ça n’évoque rien en général. »

Il dit qu’il reste discret pour ses proches, pour éviter d’éventuelles représailles :

« Et puis, notre travail n’est pas destiné à être connu. »


Un béret commando marine (D.R.)

« On n’est pas des Rambos », lance-t-il. « Ni des cinglés de la gâchette, ni des têtes brûlées. On est tout ce qu’il y a de plus posé. »

Attention à ne pas les confondre avec les légionnaires : leur béret, d’un vert un peu plus foncé, porte le badge à gauche, héritage du commando Kieffer.

La prise de Gao, c’était eux

Secrètes mais pas clandestines, les missions des forces spéciales finissent souvent par être révélées.

Afghanistan, Côte d’Ivoire, Libye, aujourd’hui Mali et Centrafrique... Officiellement, les forces spéciales sont présentes où la France est engagée. Ils sont très souvent en première ligne.

Au Mali par exemple : la prise de Gao et de son aéroport, c’était eux. Les parties de cache-cache dans le massif de l’Adrar des Ifoghas avec les jihadistes, c’était eux. Objectif de ces missions : reprendre rapidement et efficacement certains points stratégiques, pour ouvrir le « théâtre d’opération » à l’armée dite conventionnelle.

Le métier de Max est surtout centré sur le milieu marin. Il va du renseignement à la destruction à distance, en passant par la protection de bateaux de pêche, le narcotrafic ou la « récupération de cibles » (leaders jihadites, chefs de guerre, etc.).

Le contre-terrorisme libération d’otages (CTLO) fait également partie des prérogatives de ces unités. Le Ponant et le Carré d’As en 2008, le Tanit en 2009 : trois voiliers, trois missions conduites par les commandos marine. « Des opérations très médiatisées, mais qui représentent en fait 5% de notre boulot », explique Max.

Des « réflexes qui ne pardonnent pas »

Le 10 avril 2009, à bord du Tanit, le skipper français Florent Lemaçon est abattu d’une balle dans la tête, lors du « feu vert assaut » ordonné par Paris aux soldats français. L’enquête établira que « le tir était bien d’origine militaire ».


Des commandos marine à l’entraînement dans une embarcation de type Etraco (D.R.)

 

« Une mission est réussie quand pas un coup de feu n’a été tiré », atteste Max. C’est le cas des missions dites « conformes » :

« Nos opérations sont répétées des centaines de fois ; elles sont préparées au millimètre et à la seconde. On passe notre vie à s’entraîner. Sauf que le risque zéro ne peut pas exister. Il y a des réflexes qui ne pardonnent pas. »

Du coup, il y a aussi les « cas non-conformes, comme la réaction imprévisible d’un otage, pouvant entraîner un dommage collatéral ». Des cas rarissimes pour ces unités d’élite. Max les regrette, mais trouve que l’on oublie aussi un peu trop vite « toutes les missions réussies ».

« S’engager sous les drapeaux, c’est fini »

De sa famille, Max est le seul en uniforme. Une voie qui s’est dessinée au lycée :

« Je voulais faire un métier hors du commun, avec de l’action pour éviter l’ennui. J’ai vite pensé à l’armée. J’ai été pris à l’école des sous-officiers de Saint-Maixent (Ensoa). Mais je voulais surtout faire partie de l’élite. »

Le goût de l’aventure l’a poussé à rentrer dans le rang. Bien plus que le patriotisme, valeur un peu surannée selon lui :

« Bien sûr qu’on aime notre pays. Mais le coup de s’engager sous les drapeaux, tout ça, c’est fini. Au contraire, si tu dis ça à un recruteur, il te prend pour un illuminé. »

Au lycée, Max était déjà très sportif. Sur la piste d’athlé, il avait toujours deux longueurs d’avance. Une année plus tard, ses épaules avaient doublé en largeur, ses bras en volume, le torse bombait naturellement, et son visage était devenu nettement plus carré. La voix, enfin, semblait avoir mué une seconde fois. En somme, une petite métamorphose.

« Avec les 3 F, tôt ou tard, tu craques »

Entre temps, il y a eu l’Ecole des fusiliers marins de Lorient, à l’issue de laquelle Max se présente aux évaluations : deux semaines intensives aux côtés de 110 candidats. Seuls quatorze d’entre eux sortiront du lot... Pour accéder au stage commando (Stac), d’une durée de neuf semaines – dont deux de parachutisme :

« A ce moment, tu penses avoir un bon niveau de base. En fait, il y a en gouffre entre le Stac et l’intégration en unité, où tu exploses les performances. »

A ce stade, le corps des peut-être futurs commandos – 18 ou 20 ans –, est déjà largement éprouvé.

Parmi les épreuves, deux d’entre elles sont plus redoutées que les autres :

  • la cuve : aller chercher un mannequin situé à 4m de profondeur, en apnée, dans une eau glauque à 7 ou 8 degrès. Max :

« C’est techniquement facile, mais avec le froid, le manque de visibilité et le stress de l’épreuve, ça devient plutôt psychologique. »

  • Le coxage :

« Une situation de stress. On nous “enlève” durant la nuit pour nous séquestrer et nous soumettre à des questions. »

Les prisonniers doivent ensuite s’évader par un parcours semé d’embûches en temps chronométré. « Le but est de simuler au plus près du réel ce qui pourrait arriver si on était capturé par l’ennemi. C’est un moment marquant du stage. L’important, c’est de ne pas se blesser et de respecter la procédure. »

Et de ne pas succomber aux « trois F » : la fatigue, la faim, le froid. « Trois leviers pour te faire craquer, tôt ou tard », se souvient Max.

« Les pieds plats, ce n’est pas éliminatoire »

Pour beaucoup, pas besoin d’en arriver là pour se voir recaler à jamais. La simple visite médicale a brisé plus d’un rêve. Le Sigycop est un sigle fatidique pour ce corps d’élites :

S : membres supérieurs

I : membres inférieurs

G : Général

Y : yeux

C : chromatisme

O : oreille

P : psychologie

Les commandos appartienne au seul corps qui requiert la note maximale de 1 partout, sauf pour « Général » où le 2 est toléré, et à « Psychologie », la perfection dans le domaine n’existant pas.

« On a tous nos petits défauts physiques. Les pieds plats, ce n’est pas éliminatoire ! Par contre, une colonne vertébrale pas parfaitement alignée... Il y a deux cases, “oui” ou “non”, en bas de la feuille du médecin. C’est vite réglé. »

Leur condition physique, si elle est hors du commun, n’en est pas pour autant ostentatoire. Max mesure environ 1,75m. Il explique, tout en gestuelle :

« Le profil type, c’est un mec de taille moyenne, trapu, rustique, endurant, avec des pectoraux, des bras, mais discrets. »

Une émulation poussée à l’extrême

En dix ans d’intervention en Afghanistan, l’armée française a perdu 89 de ses soldats, dont dix forces spéciales. A plusieurs reprises, Max cite Jonathan Lefort et Benjamin Bourdet, morts en 2010 et 2011 en Afghanistan. Deux commandos marines qu’il avait côtoyés.

Max admet qu’« il n’y a pas d’entraînement qui te prépare au pire. Personne ne peut dire comment il va réagir, quelles sont ses limites ». Il affirme n’avoir jamais tué.

Dans les équipes, pas de concurrence malsaine pour écraser les autres, mais une émulation poussée à l’extrême, dans laquelle chaque individu doit imprimer sa marque. La solidarité et la confiance entre les membres d’un groupe en mission (quinze personnels, dix en mission) doivent être maximales. Elles sont cultivées pendant les périodes d’entraînement :

« On fait des repas. C’est un poncif de dire ça, mais on est un peu une famille. »

« Soit tu montes, soit tu dégages »

Chez les commandos, la sélection ne s’arrête jamais. En tout, ils peuvent passer jusqu’à quatre « stacs » pour devenir successivement opérateur, chef d’équipe, chef de groupe, chef de mission, ou bien changer de voie. La carrière d’un commandos s’étend de trois à seize ans, ou plus pour les meilleurs. Les plus âgés ont environ 45 ans.

« On remet en jeu notre béret tous les deux ou trois ans. Il n’est pas permis de stagner ou de ne pas évoluer en grade : soit tu montes, soit tu dégages. Le but est de garder un niveau très élevé à chaque pallier d’emploi. Cet univers est d’un élitisme absolu, propre aux commandos. »

Entraînement des forces spéciales à Lorient (Ouest-france)

Questions/Réponses

  • Quel est votre contrat de travail ?

Après dix années sous contrat, je suis désormais militaire de carrière, donc fonctionnaire au ministère de la Défense. C’est la Marine nationale qui m’emploie.

  • Quel est votre salaire ?

Je gagne 2 300 euros net par mois. Mon salaire inclut une prime à l’air de 700 euros dont bénéficient tous les personnels navigants aériens, donc les parachutistes.

Lorsque je suis en mission, mon salaire double, grâce à la prime « Opex » [opérations extérieures, ndlr]. On est indexés sur la grille de la fonction publique : à grade égal, je gagne autant qu’un cuisinier.

Si je me blesse gravement, je perds automatiquement mon aptitude à sauter en parachute, donc ma prime à l’air s’envole, et je retombe à 1 600 euros. Je gagne bien ma vie, mais on aimerait parfois plus de reconnaissance.

  • Quels sont vos horaires ?

En période d’entraînement, je travaille de 8 heures à 17h30, avec au moins une activité de nuit par semaine et certains week-end. En mission, je reste disponible H24. Les horaires, on ne les connaît pas vraiment. On ne va pas stopper une opération à 10 km de la cible parce qu’il est 17 heures.

  • Quand vous débarrassez-vous de votre tenue de travail ?

Je vais à la base en civil et je la quitte en civil : ma tenue et mon équipement restent là-bas. En mission, on revêt la tenue arktis, avec pare-balle, brêlage (chargeur et matériel), holster pour arme de poing, chaussure de trekking, casque kevlar, et jumelle de vision nocturne.

Elle est très variable, en fonction du milieu : désertique, marin, urbain... Il arrive, mais rarement, que l’on opère en civil, pour des missions type renseignement ou garde du corps.

Dans la rue, on est des anonymes. Jamais de la vie nous ne ferions nos courses en uniforme, ce n’est pas du tout notre état d’esprit. C’est un boulot comme un autre. Chez moi, il n’y a absolument aucune référence à l’armée. Le week-end, je vois des amis autres que militaires. Je fais du tourisme comme tout le monde. En fait, l’image que je préfère est celle du bon père de famille.

  • Quel rôle estimez-vous jouer ?

Mon rôle est de contribuer à la sécurité de la France au-delà de ses frontières pour éviter tout problème sur le territoire. Nous intervenons pour préserver les intérêts français, que ce soit dans des opérations uniquement françaises, ou dans le cadre de coopérations internationales avec l’Otan ou l’ONU.

  • Votre travail vous demande-t-il un effort physique ?

Oui ! Les épaules, le dos, et les pieds sont hyper sollicités. Les genoux trinquent aussi. Depuis dix ans, mon corps a énormément évolué. Surtout le haut, des muscles poussent. A 18 ans, en stage commando, tu es à des années lumières de savoir ce qui t’attend.

  • Votre travail vous demande-t-il un effort mental ?

Cela demande de l’autogestion, de la rigueur. On n’a pas besoin de faire de remarque au type qui n’est pas au point : il va s’auto-exclure.

Et celui qui n’a pas de mental va ressentir beaucoup plus la douleur physique. J’ai tendance à dire que c’est 70% de mental. Les recruteurs recherchent des profils complets physiquement, mais surtout des gens qui encaissent énormément. Pas de vertige, à l’aise dans l’air comme dans l’eau. L’épreuve de la marche lourde – courir 30 km avec 17kg –, personne ne se lève le dimanche matin pour s’y entraîner. C’est au mental que tu y arrives.

  • Avez-vous l’impression de bien faire votre travail ?

Oui, je l’espère ! Si je suis devenu militaire de carrière, cela signifie que je fais l’affaire. Pour quelqu’un de mon âge, ma carrière est bien avancée. J’ai été décoré plusieurs fois.

  • Votre travail laisse-t-il des traces sur vous ?

Les douleurs de Max (Rue89)

[Il regardant le schéma : « Je pense qu’on peut tout mettre en rouge ! », dit-il en riant.] Heureusement, je n’ai pas séquelles physiques ni psychologiques, à part quelques blessures anodines – surtout des cicatrices. Chez nous, tu fais tout pour ne pas être malade ou blessé car c’est frustrant : on n’est pas là, on manque quelque chose...

Ceci dit, ça peut arriver, et on ne nous jette pas dehors pour autant. Sur le terrain, on préfère « verrouiller » : quand on marche durant des heures avec des ampoules ou des blessures, on souffre en silence.

Le risque de stress post-traumatique est réel. Depuis 2009, tous les militaires qui partent en mission en Afghanistan passent par un sas de décompression à Chypre. Aujourd’hui, l’aspect psy est de plus en plus pris en compte. Quand on voit les massacres en RCA, où des villages entiers sont passés à la machette, personne ne peut connaître sa réaction avant de l’avoir vécu.

  • Qu’y a-t-il de plus pénible dans votre travail ?

Le manque de visibilité pour gérer la vie privée, même si c’est aussi ce qui fait le charme du métier. Il faut trouver quelqu’un qui accepte de nous voir partir souvent, longtemps et brusquement. J’ai des collègues qui ont dû décaler plusieurs fois leur mariage ! On peut être en déployé jusqu’à huit mois dans l’année. Sur dix ans, je suis parti en moyenne quatre mois par an.

  • Si vous deviez donner une note sur 20 à votre bien-être au travail ?

17/20. Mon métier me plaît, tout se passe bien. Je ne suis pas un acharné du travail, je sais faire la part des choses. Et je suis fier d’en être arrivé là. Quand on part en mission, on a des étoiles plein les yeux. Comme si c’était la première. J’attends toujours la prochaine avec excitation.


TOGO NUBUKPO, le grand illusionniste d’un pouvoir malade de lui-même

$
0
0
NUBUKPO, le grand illusionniste d’un pouvoir malade de lui-même
Le spectacle de l’impossible évaluation des politiques publiques
« Non seulement, nous n’avons pas de principes qui mènent au vrai, nous avons d’autres qui s’accommodent bien avec le faux », disait FONTENELLE dans Histoire des oracles. Dans un pays qui vit sous la fièvre de l’opacité, du mensonge permanent, des falsifications, de la d...élinquance économique où foisonne la surfacturation reconnue par le chef de l’Etat qui offre l’asile aux brigands, un relevé de principes corrompus de gouvernance est saillant et aboutit à un robinet d’absurdités, une accumulation de fautes morales, politiques, éthiques qui entretient la normalité d’une criminalité économique avec des postiches d’institution, quelle valeur peut-on accorder à une structure d’évaluation des politiques publiques ?
Si l’anormalité fonctionnelle est la base de la gouvernance au Togo, tous les enjoliveurs institutionnels, structurels sont d’une comédie spectaculaire qui n’échappe guère à la conscience populaire. Cette conscience nationale réprouve le mode de conduite des affaires d’Etat. Elle se manifeste du Nord au Sud, de l’est à l’ouest de façon effervescente contre la dynastie GNASSINGBE, contre ses artifices, ses subterfuges, ses transgressions et abominations, ses fausses promesses, ses violations des Droits humains, sa conception fétide du pouvoir … La lourde abstention égale à la moitié de l’électorat lors des législatives du 25 Juillet 2013 témoigne éloquemment d’un désaveu populaire d’une parodie de gouvernance qui trouve ses fondements dans l’escroquerie de tous genres, dans le faux habillé en théâtre de réussite et dans la faiblesse de la force brutale.
Selon les mots de Kako Nubukpo : « Le processus de la politique nationale d’évaluation au Togo ne peut réussir que s’il est éminemment participatif ». Comment un pouvoir impopulaire dont on connaît le mode d’acquisition d’une majorité factice sous la base d’un découpage inique, sa capacité d’achat de consciences, ses fraudes, ses effractions électorales et son rejet citoyen peut-il encore espérer un accompagnement de la population ? Tous les pouvoirs qui traitent avec mépris les peuples qui violent leurs choix et droits sont dans l’impossibilité de solliciter leur notoriété pour se faire valoir.
Dans la tradition de la brutalité des pouvoirs autocratiques, le banditisme étatique s’installe, des crimes de masses et des crimes économiques tiennent en survie leurs acteurs et la réplique populaire est inévitable à travers le boycott, la résistance citoyenne, la non-coopération, le sabotage parce que la crise de confiance entre le sommet et la base est tenace. L’intérêt citoyen pour les politiques publiques se forge dans la conscience nationale à partir d’un socle de construction participative : la confiance. La culture de proximité des institutions de la République est inexistante au Togo. La preuve en est que la décentralisation est une chimère. Les élections locales sont redoutées par le pouvoir. Il préfère une autorité verticale de nomination des gestionnaires des collectivités locales qui, pour la plupart, sont en conflits ouverts ou larvés avec les populations. Dans ses conditions de terrorisme étatique, il est un leurre de croire à une quelconque participation des togolais, comme par enchantement, à une assistance républicaine de soutien à l’évaluation des politiques publiques.
Les togolais ont acquis une grande expérience politique. Ils connaissent parfaitement ce régime RPT/ UNIR ainsi que les gens qui l’animent. Les valeurs et la vertu n’habitent jamais ceux qui vivent du faux et de la roublardise, de la brutalité. Ils ont éloigné le peuple d’eux-mêmes.
L’exaspération populaire de la tragédie de gouvernance dans notre pays n’a-t-elle pas conduit des collectivités de l’Est et de l’Ouest à hisser des drapeaux des pays voisins sur le territoire de leurs régions ?
Comment Kako NUBUKPO va-t-il procéder pour intégrer à l’évaluation des politiques publiques des gens qui ne se sentent nullement concernés par l’action du gouvernement ?
Kako NUBUKPO n’est-il pas un pantin du pouvoir dans une tâche irréalisable pour dorer une illusion de participation citoyenne aux politiques publiques ?

1) Les éléments objectifs d’une bouffonnerie d’évaluation
La collectivité nationale peut seulement formuler un intérêt à la chose publique que si la gouvernance obéit à des règles de clarté, de justice sociale, de respect du peuple, des droits humains. Quand la délinquance judiciaire et les falsifications des rapports, les transgressions des procédures nous font payer des fortunes, quand les instances de régulation de la vie publique sont en faillite, quand nos institutions ne sont transparentes que par des écriteaux/chichement indicatifs, la révolte est au cœur de la citoyenneté, les lacérations de honte tenaillent les citoyens. Ils sont en situation de conflit avec le pouvoir. L’accompagnement des œuvres d’intérêt public est trop timide voire inexistant.
L’incivisme d’Etat a une interférence immense sur l’éthique citoyenne. Si le chef de l’Etat en personne reconnaît pratiquement la surfacturation et se livrent à l’enrichissement illicite en privant le peuple de ses ressources sans s’engager à sévir, l’onction aux détournements des deniers publics est une certification du désintérêt qu’il porte à la protection des citoyens, à leur bien-être. La gouvernance ne dispose plus d’aucune force de persuasion pour motiver les populations à l’accompagner dans ces choix politiques, dans ses œuvres.
Nos sociétés d’Etat sont, au gré des malversations débaptisées et rebaptisées sans audit. L’OTP, onze (11) années durant n’a pas un morceau de papier comptable. La SOTOCO se renouvelle en opacité sans un compte à la nation. La SAFER est toujours dans la caverne d’Ali Baba et ses quarante voleurs. Depuis plus de dix (10) ans, les communes d’installation du paysage sur nos routes ne savent pas le montant des recettes journalières, mensuelles, ni le pourcentage à rétrocéder aux collectivités locales, aux communes. Après plus de dix (10) années d’exploitation des centres de paysage du réseau routier, on livre quelques tables-bancs à certaines communes qui trop se plaignent. Cette moquerie administrative est si révoltante que le rejet de l’autorité n’est d’aucun doute chez les citoyens. La rage populaire contre la gouvernance conjuguée avec un dépit féroce ne servent guère à préparer l’esprit de la masse et à mettre en condition de soutien à l’évaluation des politiques publiques.
Le monologue de Kako NUBUKPO, dans une aventure solitaire, est clair. Dans notre pays, les administrateurs sont des commerçants assistés par une cour des comptes intelligemment accompagnatrice d’un réseau de libertins de la République. Ce paradoxe étonnant meuble toutes les formes de criminalité. L’homme de la Prospective et de l’Evaluation patauge dans un bourbier et peut encore bavarder, crier dans le désert des certitudes. Nous, peuple togolais, nous sommes très loin de la gesticulation et des mort-nés de nos institutions postiches
Le brouillard de la gouvernance, les malversations étayées par des primes d’excellence et des grades de promotion sont si courants que la fracture entre les jouisseurs du pouvoir et la masse populaire est béante. Elle n’est pas du tout disposée à prêter une quelconque attention à une sollicitation de suivi des politiques publiques. Si le pouvoir manifeste réellement un regain d’intérêt à l’endroit de nos populations pour l’instruire à l’évaluation des politiques publiques, la première étape de sa démarche, c’est d’organiser les élections locales, les préfectorales et les communales. Ce n’est pas dans un ministère ou à la présidence que s’organise l’intérêt des populations aux œuvres publiques. Si l’occasion ne s’offre pas aux collectivités locales de se responsabiliser, de faire des choix de leur propre épanouissement, de répondre aux besoins collectifs de leur milieu, de leur environnement, comment la population peut-elle être disposées à accorder son appui à des actions de ceux qui la méprise?
L’émergence économique, la croissance accélérée, la prospection et l’évaluation des politiques publiques demeurent des évasions contemplatives dans une monarchie rudimentaire et narcissique qui s’applaudit aux petites choses et qui est superposé à tout un peuple qui n’a de défense que le rejet implacable et massif. Toutes les fraudes réussites de gouvernance sont portées par les peuples. Donnez-leur le pouvoir, ils nous le rendront. S’ils en sont privés, les tâtonnements des gouvernants créent des structures inopérantes.
Les hommes d’esprit qui ne sont pas prétentieux ne jouent jamais aux ignorants. Quand ils se vendent aux sots, ils les transforment en des pantins. Marcel PROUST leur adresse un conseil dans Pastiches et mélanges : « Quand on travaille pour plaire aux autres ,on ne peut pas réussir, mais les choses qu’on a faites pour se contenter ont toujours chance d’intéresser quelqu’un ».

2)Les conditions d’une évaluation

Une théorie n’est utile que par les moyens dont on dispose pour la rendre applicable. C’est ce que KANT appelle les « conditions de possibilité » de la réalisation d’un objectif.
La faute est plus dans les moyens que dans les principes eux-mêmes. Une puissance de représentation d’un but n’a une valeur de fascination. Mais, elle n’est pas une puissance d’action. Ce qui est à priori demeure dans l’imagination. Quand le cadre d’expérimentation souffre du dispositif essentiel à la matérialisation particulière de ce que la raison a tôt fait de concevoir, alors la pensée se limite au stade de l’illusion. A quoi sert de compter sur une population qui rechigne à admettre l’autorité, qui lui tourne le dos, qui la frappe d’indifférence, qui est en conflit avec le système de gouvernance qui s’abstient de respecter ses aspirations, ses choix ?
Les citoyens obéissent à ceux qui ont de la considération pour eux ou qui tiennent compte de leur volonté libre. La duperie et le parjure les irritent, les contraignent à l’incivisme, à la désobéissance, à la non-coopération, à un devoir de révolte. Notre pays n’a pas encore retrouvé le sentier de la concorde nationale pour prédisposer le peuple à accorder sa confiance et une collaboration à des dirigeants d’une rare insouciance et qui sont résolus à commettre tous les sacrilèges, tous les crimes d’Etat pour garder le pouvoir par-devers eux. La volonté de puissance d’un homme est au faîte de la terreur qui guillotine la concorde nationale dont les fondements logiques sont dans notre traité politique républicain, l’APG. Comment un gouvernement antirépublicain peut-il remorquer une assistance participative et significative dans une évaluation des politiques publiques ? Comme l’écrit PROUDHON dans Qu’est-ce que la priorité ?: « Le gouvernement de l’homme par l’homme, sous quelque nom qu’il se désigne, est l’oppression »
La mort de SINANDARE, de SINANLENGUE, d’Etienne YAKANOU et toutes les formes de culpabilité décrétées pour punir les contrariétés suffisent à nous prouver que nous sommes sous l’oppression. Le peuple est témoin des manœuvres sordides dont use le pouvoir pour escamoter la substance du traité politique républicain. Un peuple martyrisé, violé, violenté jamais ne perd conscience. Il ne célèbre pas ses bourreaux ni ne se joins à eux dans un projet sans avoir soldé le passif et l’actif, c’est-à-dire le contentieux qui l’oppose à des tortionnaires. Le dépérissement de l’autorité de l’Etat est certain. Face à ce régime, on assiste à un dédain militant des citoyens togolais parce qu’ils ont de la peine à tolérer le mensonge permanent, les coups de force, les déguisements du pouvoir.
Les gouvernants ont fini par placer les togolais dans la cité des blâmes parce que ceux qui prétendent régenter la république sont toujours hors de leur rôle, du statut dans des immondices pestilentielles et détestables. Ce que les populations attendent du pouvoir, c’est précisément l’observation des conditions de la concorde nationale contenue dans les recommandations de la CVJR, dans l’APG et non une digression malheureuse d’évaluation des politiques publiques.
Combien de fois la conférence des Evêques du Togo est-elle sortie pour prier le gouvernement d’exécuter le consensus national pour refaire les fondements de la République et faire revenir la confiance entre le sommet et la base sans que le « Club du petit » ne daigne prêter attention à ce rappel de fidélité à l’engagement républicain ? Les pasteurs évangélistes et la société civile se mêlent avec insistance à ce rappel ainsi que les partis politiques en vain. La délinquance institutionnelle compromet toutes les possibilités d’évaluation des politiques publiques. C’est une honte national que le Tribunal communautaire d’Abuja écrive, noir sur blanc, dans l’arrêt de l’affaire des neuf (9) députés ANC que « la cour constitutionnelle du Togo a ignoré le droit ». L’Etat togolais perd tous les procès qui passent par Abuja dont notamment, le contentieux ANC, le procès Kpatcha GNASSINGBE, l’affaire AGBA Bertin. Jusqu’à ce jour, quelles sont les activités publiques que le peuple connaît de la cour des comptes ? L’autorité de régulation des marchés publics, la direction des examens et concours sont régulièrement indexées par la presse nationale et internationale, plus particulièrement, par « La lettre du continent » parce qu’elles se vautrent dans le flou…
Partout ce pouvoir se nourrit du vide. Ce tohu-bohu d’évaluation des politiques publiques est un greffon du néant en ce que l’évaluation n’est possible que dans la cogestion des actions du gouvernement : collectivités locales et pouvoir. Ce peuple est mûr en expérience. Il connaît parfaitement les vétilles auxquelles s’agrippent la dynastie GNASSINGBE et ses girouettes pour le détourner des vraies aspirations qui sont les siennes. L’accompagnement populaire de la gouvernance a pour socle la concorde nationale. Il faut d’abord la restaurer pour l’ensuite envisager, à partir de la confiance retrouvée, l’évaluation des politiques publiques.

Didier Amah DOSSAVI

Chronique politique, L’Alternative N° 318 du 08 Avril 2014

Togo, l’association des victimes de la torture dénonce les bavures policières.

$
0
0

Togo, l’association des victimes de la torture dénonce les bavures policières.

   

Dans une lettre ouverte en date du 07 avril 2014 et adressée aux directeurs généraux de la police, de la gendarmerie et des douanes nationales, l’association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO), du commandant Olivier Amah Poko, interpelle ces responsables en charge de la sécurité et de l’intégrité des citoyens togolais et de tous ceux qui sont sur le territoire togolais à prendre des mesures idoines pour la sécurité et l’intégrité de tous.

maxresdefault
L’Association des Victimes de la Torture au Togo, (ASVITTO), dit constater « la recrudescence de la violence et des actes de terreurs délibérément orchestrés par les éléments des forces de l’ordre et de sécurité ». Parmi les exemples énumérés l’association pointe du doigt l’opération entonnoir 2, qui est censé lutter contre le trafic du carburant frelaté mais est transformée selon ASVITTO « en opérations d’incivilités notoires caractérisées par des actes de barbarie entre autres les bastonnades, les violations de domiciles, la chasse à l’homme et par des comportements inouïs et abjects entrainant des conséquences affreuses et horribles dont les victimes sont souvent les populations civiles et quelques rares fois certains éléments des forces assignées à l’opération ».
Ensuite le commandant Olivier Amah et ses membres reviennent sur un incident qui s’est produit le dimanche 30 mars dernier dans le quartier Vakpo Logomé, l’une des banlieues de la ville de Lomé.
« Madame LIKILOUN Abna, âgée de 47ans, revendeuse de la boisson locale communément appelée ‘‘Tchoukoutou’’ a été sauvagement rouée de coups par cinq (5) de vos éléments, lui occasionnant des blessures ouvertes au cou, des hématomes au pied droit, des douleurs à la gorge et dans tout le corps ».
Tout en s’indignant du comportement sauvage et d’une autre époque dont font montre souvent les forces de l’ordre et de sécurité du Togo, ASVITTO ne manque pas de rappeler les dispositions de la convention contre la torture que le Togo a pourtant ratifié, notamment son article 2 qui engage clairement la responsabilité de l’Etat et condamne toute circonstance pouvant servir de justificatif à ces genres de comportement.
L’association des victimes de la torture au Togo, demande instamment aux directeurs généraux de mettre un accent particulier sur la sensibilisation des agents des forces de l’ordre « dont les agissements provoquent des pertes en vies humaines et laissent des séquelles gravissimes sur les populations ».
ASVITTO ne manque pas de rappeler qu’au delà des instruments internationaux, le Togo dispose dans sa loi fondamentale des arguments qui permettent aux forces de l’ordre de lutter efficacement contre ce manque de respect de la vie, à ce titre l’association rappelle aux directeurs généraux leur entière responsabilité dans ces bavures que commettent leurs éléments et les invite à prendre des mesures et dispositions urgentes pour les faire cesser.  FABBI KOUASSI

TOGO L'Alliance Nationale pour le changement (A.N.C ) a désormais une Section en Allemagne

$
0
0

L'Alliance Nationale pour le changement (A.N.C ) a désormais une Section en Allemagne

                       |- |                     |                        
 
 
                     
 

Togo  - Le Week end dernier, une forte délégation de la fédération internationale de l’A N.C était en déplacement à Winnenden en Allemagne pour rencontrer la diaspora togolaise. Cette rencontre que l’on considère comme une première prise de contact avec les togolais résidant en Allemagne a été aussi l’occasion pour des échanges fructueux sur la situation politico sociale du Togo.

 

 





 

 

Mais l’objectif premier de la visite de cette forte délégation conduite par le secrétaire général de la Fédération Internationale M. Augustin MENSAH, c’était l’installation d’une section ANC dans ce pays où vivent plus de 15 000 togolais.

Il faut préciser que M. Augustin MENSAH était accompagné de M. Robert FABRE, 1er secrétaire-adjoint ; M. Idriss SOUBABE, trésorier Général ; MM. Augustin GLOKPON, et de M. Ayitegan DAMAWOUZAN tous deux conseillers.

Après une présentation du programme du parti, Mr Mensah est revenu sur les grandes orientations qu’entend prendre l’ANC afin de parvenir à faire plier le régime pour l’organisation des élections locales avant la fin de cette année,

Avant de se séparer, un bureau de onze membres fut élu pour un mandat de deux ans.
Il faut préciser que le président fraichement élu de la Section ANC –Allemagne n’est autre que l’ancien Président de l’U’FC Section –Alemagne Tossou Gbenoudé . qui a claqué la porte pour rejoindre l’’ANC. 

Pour www.togonews.info  K-David ATRA envoyé spécial à Winnenden

TOGO VIDEO Drama Dramani en tant que président de l'Assemblée Nationale, ne doit pas se mêler de l'exécutif"

TOGO PANIQUE sur le titre Ecobank-Togo à la BRVM suite à l'arrestation de cadres

$
0
0

TOGO PANIQUE sur le titre Ecobank-Togo à la BRVM suite à l'arrestation de cadres


Titres actifs à la BRVM: Ecobank-Togo 
 

Abidjan, Côte d’Ivoire - La BRVM a clôturé sa séance du lundi 7 avril 2014 en baisse par rapport à la séance précédente, avec l’Indice BRVM 10, qui est  passé de 256,66 à 256,09 points, soit un  repli de 0,22%, alors que à l’Indice BRVM-Composite, pour sa part, a cédé  0,16%  à  244,72 points contre 245,12 précédemment.


La valeur des transactions s’est établie à 478,64millions de francs CFA contre  774,14 millions de francs CFA le vendredi. Par ailleurs, la capitalisation boursière du marché des actions, elle , s’est chiffrée à 5.941,73 milliards de francs CFA, tandis que celle du marché obligataire s’est élevée à 1.162,61 milliards de francs CFA.

Le titre le plus actif en volume est revenu à Ecobank Transnational Incorporated-Togo avec 144.290 actions échangées quand ONATEL-Burkina Faso demeure le titre le plus actif en valeur avec 398,06 millions de  francs CFA de transactions.

Titres les plus actifs

Titres Volumes             Valeur en  CFA

Onatel Burkina Faso   41 051      398 063 520
Ecobank Transn. Inc. Togo          144 290      7 108 545
Palm Côte d’Ivoire           281              4 769 500
Sonatel Sénégal   1 277      29 302 015
Servair Abidjan Côte d’Ivoire         179      4 064 850

Pana 09/04/2014


C’est le plus grand scandale financier qui frappe aujourd’hui une personnalité que nous avons eu le mérite de présenter comme le plus grand fossoyeur impuni de l’économie togolaise et qui trône à la tête d’une institution économique. Jonathan Fiawoo est le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT). Sa compagne Blanchette Grunitzky, cadre d’Ecobank est arrêtée et détenue depuis hier à la direction de la police Judiciaire. Le Président de la CCIT est mis en cause dans cette sale affaire de détournement.

Elle est la fille d’un des anciens présidents de la république togolaise, elle vient de traîner dans la boue l’image de son feu père, Nicolas Grunitzky en commentant des malversations dans l’exercice de sa fonction. Blanchette Grunitzky a été arrêtée hier lundi 7 mars 2014 et est détenue à la DPJ. Elle va y passer la nuit. Accusée de détourner la bagatelle somme de plus de 300 millions de Francs CFA d’argent des actionnaires.

La responsabilité du président de la Chambre de Commerce dans ce dossier est que le pactole est viré sur son compte bancaire, ce qui fait de lui un complice actif dans ce détournement.

D’après nos investigations auprès de plusieurs sources, la tension est montée d’un cran après l’interpellation de la dame qui se trouve être la compagne de Fiawoo Jonathan.

Les deux sont en relation depuis très longtemps, une relation d’enfance qui est restée imperturbable malgré le temps et le fait que dame Grunitzky n’a jamais réussi à concevoir un enfant pour le sieur Fiawoo.

Mais, on comprend aujourd’hui que la relation en question est plutôt basée sur des malversations, des magouilles, des détournements de fonds caractéristiques de Jonathan Fiawoo.

Une avance de 150 millions, d’après nos informations a été déjà versée par la famille de la fille de l’ancien président togolais à la DPJ pour obtenir sa libération. Un autre montant de 30 millions de FCFA est venu s’ajouter, mais Ecobank qui traverse aujourd’hui une crise n’est pas prête à relâcher la dame sans qu’elle n’ait versé la totalité de la somme volée. Donc a priori, elle passe la nuit dans la cellule de la DPJ.

Une enquête menée autour de la dame a donné plutôt des résultats positifs sur elle. Une personnalité du monde politique qui la connaît assez bien s’étonne qu’elle s’engage dans cette manœuvre très risquée. Elle est présentée comme avoir mené une carrière exemplaire à Ecobank qui est en train d’être ternie par cette sale affaire.

Selon des témoins, ou, bien elle est une voleuse stratégique qui efface les traces de ses détournements, ou bien elle est induite en erreur par quelqu’un qui d’ailleurs n’est pas à chercher loin : Jonathan Fiawoo.

Fiawoo Jonathan : magouilles pour vocation

Ceux qui connaissent le tout puissant Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo s’étonnent de son ascension qui est d’ailleurs parsemée de fracassants scandales.

Apprenti plombier, il s’est converti rapidement dans les affaires en multipliant des malversations qui ne sont pas moins punies.

En 2001, Jonathan Fiawoo a été arrêté et jeté en prison par la Commission anti corruption pour avoir organisé de graves malversations dans la construction de la cité OUA. Sa méthode frauduleuse était simple. Il gagne les marchés par la corruption, ne livre pas les produits et encaisse l’argent de façon frauduleuse avec la complicité des comptables et de payeurs. Le communiqué dénonçant sa méthode frauduleuse, son interpellation en 2001, et sa détention a mystérieusement disparu du site de la Commission anti-corruption. Une autre affaire de corruption sur laquelle nous reviendrons.

Ce parcours en zigzag le conduira à la Chambre de Commerce où il arrivera à se faire élire dans la pagaille totale et la contestation et depuis plus de 5 ans, il s’est imposé à la tête de cette institution qu’il ne vaut pas quitter.

Imbu de sa personne, arrogant, frimeur et excessivement dépensier, Jonathan Fiawoo fera de la chambre de commerce une épicerie privée qu’il gère dans l’opacité et le mépris des membres consulaires.

Brandissant le Chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, comme ami personnel, il n’est jamais inquiété malgré les multiples dérives qu’il organise à la tête de cette institution.

Aujourd’hui, il aurait réussi à entraîner sa compagne Blanchette dans cette façon d’avoir l’argent et le pouvoir en l’envoyant tout droit dans le mur.

Jonathan Fiawoo Bientôt arrêté

D’après nos investigations qui se poursuivent d’ailleurs pour ce dossier, la police entend interpeller le Président de la Chambre de commerce pour en savoir plus sur la façon dont la complicité est tissée avec sa compagne pour détourner l’argent d’Ecobank.

Il aurait d’après d’autres sources investit une partie de cet argent dans la création et le fonctionnement de la société Cristal qui produit de l’eau minérale, une société qu’il a mis sous la responsabilité de son fils.

Une interpellation de Jonathan est prévue dans les prochains jours pour voir clair dans cette affaire. Mais, Jonathan Fiawoo, d’après d’autres sources ne veut pas se laisser faire.

Il intimide les responsables de la police à travers les menaces des réseaux franc-maçonniques, et de certaines personnalités, non seulement pour étouffer cette affaire et libérer sa compagne, mais aussi, le préserver contre toute arrestation qui serait synonyme d’humiliation.

Du côté de la dame, au plus haut niveau, on brandit l’image de son feu père, ancien président de la république togolais pour laisser le crime impuni.

Les procédures judiciaires togolaises souffrent naturellement de ces tares, où les plus forts et les plus puissants bénéficient allègrement d’impunité alors que les petits voleurs de poules passent des années en prison sans assistance juridique et sans procès.

Nous suivons de près ce dossier et attendons de voir la justice qui sera faite dans cette affaire qui met en cause le Président de la Chambre de commerce et d’industrie du Togo.

A suivre…

Carlos KETOHOU
http://independantexpress.com/?p=6995


Epinglée par la SEC, Ecobank promet de faire des efforts

          

L’enfer libanais: C'est la dernière trouvaille des SR Togolais de l'ANR/MOSSAD sous la plume du HC JP Agboh

$
0
0

L’enfer libanais: C'est la dernière trouvaille des SR Togolais de l'ANR/MOSSAD sous la plume du HC JP Agboh

                                                                               
   

 

L’enfer libanais

L’appel à l’aide le mois dernier de jeunes Togolaises travaillant au Liban avait ému tout le pays. Prises au piège dans leur pays d’accueil, soumises à des conditions de vie et de travail scandaleuses.

Focus Infos, en vente mercredi, a décidé d’enquêter. Entre témoignages poignants des victimes ayant pu fuir l’enfer libanais et les cris de détresse de celles qui sont toujours coincés là-bas. Un récit édifiant.

TOGO VIDEO Abass KABOUA: "L'armée Togolaise est budgetivore. Elle est exclusivement au service d'un parti" UNIR


Koffi Yamgnane: « Je ne vois pas en quoi le fait d’avoir acquis une expérience politique à l’étranger serait honteux »

$
0
0

Koffi Yamgnane, candidat déclaré à la présidentielle de 2015 : « Je ne vois pas en quoi le fait d’avoir acquis une expérience politique à l’étranger serait honteux »

                         | | Telegramme228 |                     |                                                
 
                     
 

Togo  -  

 

 

 



 

 

Candidat déclaré à la présidentielle de 2015 au Togo, Kofi Yamgnane, recalé avant le scrutin de 2010 continue de nourrir des espoirs pour son élection à la magistrature suprême du Togo, son pays natal.

Dans une interview accordée en fin du mois dernier à nos confrères de Jeune Afrique, l’ancien maire de Saint-Coulitz (Bretagne / France) a semblé justifier sa double vie de politicien. « Les hommes politiques togolais me reprochent en effet d’avoir "donné ma jeunesse" à un autre pays que le Togo. Mais je ne vois pas en quoi le fait d’avoir acquis une expérience politique à l’étranger serait honteux. Ce que j’ai appris en France me servira, à n’en pas douter », a-t-il indiqué.
Pour se dédouaner, le député PS Franco-togolais dit avoir « toujours eu pour ambition d’aider le Togo, ma terre natale. J’ai des projets pour ce pays, où tout reste à faire ». Pour ce faire, Yamgnane s’active sur le terrain. Ainsi, son association, Sursaut Togo participe depuis quelques semaines aux différentes réunions des initiateurs de « L’Appel des Patriotes », en vue de dégager un candidat de consensus autour duquel doit se fédérer toutes les forces vives de l’opposition togolaise. Reste à savoir si les forces en présence sur le terrain politique avant lui, OBUTS et la Coalition Arc-En-Ciel, accepteront facilement lui reconnaitre les qualités pour conduire la candidature unique de cette frange de l’opposition, excepté le CST, à ce scrutin de 2015. Et au cas où ceci ne se produira pas, s’alignera-t-il facilement derrière celui qui sera choisi ou va-t-il se jeter dans la bataille en solo ?

Maire de Saint-Coulitz (Bretagne) de 1989 à 2001, secrétaire d’état à l’Intégration sous Mitterrand entre 1991 et 1993, député du Finistère de 1997 à 2002... Kofi Yamgnane a posé les fondements de sa carrière politique en France, où il arriva, jeune étudiant en mathématiques, en 1964. Après deux premières tentatives avortées, le Franco-Togolais se présentera en 2015 à l’élection présidentielle de son pays natal, où il réside actuellement.
G.K, Lomé (
Source : | Telegramme228

TOGO Faure Gnassingbé provide a togolese girl to Albert Prince for closing these eyes ont the Coltan Business in Monaco

$
0
0

TOGO Faure Gnassingbé provide a togolese girl to Albert Prince for closing these eyes ont the Coltan Business in Monaco

Monaco royal wedding: No bridesmaid or page boy role for Albert's children

There is no mention of them in the official biography on the official Monaco royal wedding site.

And it's highly unlikely they will appear at the wedding.

But Prince Albert of Monaco, who has talked of his desire to start a family with his bride Charlene Wittstock, is already father to two children from previous relationships.



null



The Monegasque royal has an 19-year-old daughter, Jazmin Grace Grimaldi, whose mother is American, and a son, Alexandre Eric Stephane Coste, eight, by a Togolese flight attendant (pictured).

Neither have succession rights, but both will be looked after financially by their father, who is estimated to have a personal fortune of more than $1 billion.

Albert said so himself during a TV interview with Larry King in 2005.

It's not very often he talks about his children, but he responded to the interviewer's questions about the little boy.

"You know – and I've always said this, he will be very well taken care of," he said, adding: "He will have everything he needs and I will see him as often as possible."

News of the little boy's existence broke a month after the death of Albert's father Prince Rainier - while he was still in mourning. 

The story appeared on the front of the French papers revealing that Nicole Coste (pictured above) - a former air steward originally from the west African nation of Togo - had a 22-month-old son by the prince.

"When an event like this that is strictly in the private realm and it concerns your private life when that is made public it's sort of a shock and you do feel betrayed in many ways," said Albert of his feelings when the news became public.

He adds: "I felt as though it would come out at some point."

When Larry asked why the story came out, Albert answered:

"I had already taken care and pledged support and had already started supporting. But I think the lure of recognition and being in the public eye was very appealing to her."

Alexandre lives with his mother, whom Albert met on a flight, in France. They share an estate provided and secured by his father near Monaco.

In this same interview, Albert responded to questions as to whether he had any other children, saying: "I don't know of any other case."

But eight months after the interview he issued a statement through his lawyer confirming he was the father to a second child – Jazmin.

He had planned to keep his relationship with the teenager a secret until she was an adult, he said.

But he came forward after increasing speculation about the identity of her father had been making life difficult for the little girl. She was then 14 at the time and living with her mother in California.

Tamara Jean Rotolo, a real estate agent, had a brief relationship with Albert in July 1991 while she was in Monaco. Her daughter was born roughly nine months later.

She filed a paternity suit which went to trial in 1993 but was thrown out by the judge, who deemed that – since the encounter happened in Monaco – and because there was insufficient contact between Albert and the State of California, the court had no jurisdiction.

A DNA test eventually confirmed the little girl's parentage, and Albert extended an offer for her to live and study in Monaco.

 

 

null



For the moment, though, the 18-year-old – who is described by the press as "a mature, sweet and intelligent girl" is continuing further education in New York.

After graduating from JSerra High School in Orange County, California – where she was an honour student and a soloist in a school choir that performed with Barry Manilow – she took up a place at Fordham University.

As well as her father's intelligence, it seems she has also inherited his love of supporting humanitarian issues.

In November 2006, the youngster visited eight islands in Fiji on a mission to help bring the local children assistance relating to education, medicine, and community development.

In the case of both of his children, Albert is keen to shield both of them from the spotlight.

"What matters to me is that they are certain of my affection for them," he told magazine Paris Match.

He is not alone in his desire to shield his children – his sister Stephanie is equally protective of her daughter Camille Marie Kelly, whose father she has not identified.

With this in mind, it is perhaps understandable why Albert and Charlene have declined to ask any of the Grimaldi children to appear as bridesmaids, flower girls or page boys.

Instead the couple are giving their citizens the chance to be a key part of their special day.

They have selected six bridesmaids and two page boys from Monaco and the surrounding communities of Cap d’Ail, la Turbie, Menton, Beausolei and Peille Roquebrune.


Faure Gnassingbé associé à un riche financier togolais résidant à Monaco traite l'exportation du Coltan/Uranium togolais clandestinement

En ce qui concerne la Société Monégaste, c'est qu'elle est dirigée par un Togolais très prospère vivant dans une superbe villa et très versé dans les affaires financières.


Nous possédons le nom de tous les protagonistes et même leurs photos.

A suivre...





TOGO Confidentiel Gnassingbé exploite de l'Uranium/Coltan au Togo via une société basée à Monaco


Voici le lien du document du laboratoire de Strasbourg qui confirme la radioactivité des cailloux prélevés au Togo (Trace de Coltant et d'Uranium)

https://www.flickr.com/photos/85974330@N07/7877594646/in/photostream



Voici pour mémoire une lettre que j'ai reçu un jour d'un M. Dutaye habitant à Strasbourg antérieurement marié à une Togolaise avec laquelle il aurait vécu dans la région d'Agou. Ce Monsieur, je l'ai rencontré un jour par hasard en France et ayant su que je suis d'origine Togolaise m'a raconté son histoire d'avoir été mêlé à une exploitation clandestine de Coltan sur la frontière Ghanéo-Togolaise et il souhaitait que cette exploitation mafieuse fût connue de l'opinion publique internationale. Je lui ai demandé des preuves de ses accusations. Rentré chez lui, il m'a envoyé une lettre dont la copie suit. Selon ses déclarations les exploitants clandestins seraient la famille Gnassingbé et la société qui s'en occupe serait basée à Monaco. Depuis, je n'ai eu de nouvelles de M. Dutaye dont l'adresse mail est:

dutaye@aliceadsl.fr

Si quelqu'un désire en savoir plus, il peut donc écrire à M. Dutaye.

Mathieu Cichocki PEUPLES OBSERVATEURS

voici la lettre que M. Dutaye Georges est censé avoir envoyée à ses acolytes de l'époque pour leur signifier qu'il était le mieux placé pour négocier l'exploitation paisible de la mine avec les villageois alors que ses amis préconisaient la méthode forte dite "Tienamen" c'est à dire le nettoyage du village par des Forces Armées comme ce fut précédemment le cas pour les mines de phosphates quand les villageois du Yoto voulaient s'opposer à l'ouverture des carrières.




Bonjour,

J’attire votre attention sur le fait que je suis très aimablement connu dans ce village et bien qu’en minéralogie je n’y connaisse rien, ma présence au cour de tractations qui risque d’être difficile peu rassurer la population. C’est pour cette raison que je désire être tenu au courant de ce qui peu ou ne peu pas se faire, afin de pouvoir dans la mesure du possible arrondir les angles. Les petits cailloux se ramassent à ciel ouvert sur une distance de 4 km surtout après la pluie qui entraîne une boue rouge comme de la bauxite. Si vous envoyez une équipe pour examiner les lieux sans moi, il y aura des risques, avec les anciens de ce village il est nécessaire de parlementer avec diplomatie et des cadeaux du sodabi par exemple (vin de palme) sans oublier que dans nombre de familles des enfants sont expatriés en France, Canada, Amérique, Allemagne, Italie Etc.… et que parmi eux il y a des gens très instruit qui seraient capable de compliquer la situation. Ce que personnellement je voudrais éviter, c’est une intervention brutale qui disperserait la population sans ménagements comme cela a été fait pour le phosphate. Région de Akoumapé. Système « place Tienanmen » quand les contestataires sont tous mort, il n’y a plus de contestataires. Je ne voudrais pas que ce village s’éteigne dans un bain de sang comme au Congo avec le Coltan.

Je viens d’avoir avec vous un entretien téléphonique. Je vous remercie des explications que vous m’avez donné, j’en ferais un résumé que je communiquerais à monsieur Gagoba Koku le chef du village, à savoir que dans un premier temps, il y auras exploration de la région avec possible retombés économiques si le gisement s’avère rentable, Qu’en tout état de cause, il ne pourra pas être fait de recherche sur le terrain sans l’accord des autorités Togolaises, qui seul sont habilités à donner concession d’exploitation.

Encore une fois je vous confirme que je n’ai aucune intention d’exploitation pour mon propre compte, ce que je désire c’est le bien pour cette population parmi laquelle je désire finir ma retraite dans la sérénité.



Au plaisir de vous lire



Georges Duteil

MINE CLANDESTINE DE COLTAN/URANIUM AU TOGO!



Aujourd'hui nous revenons vers vous afin de compléter les informations sur cette mine qui exite bien dans la région de la ville/préfecture de KPALIME.

A partir de la ville d'AGOU-GADZEPE prendre la route qui va vers le sud jusqu'à ce fameux village "MARTYR" dénommé: NYITOE.

Il est situé avant la ville de ZUKPE qui est la ville frontière du GHANA délimitée elle même par une rivière dénommée TODJIE.

Le site est exploité pour l'instant sur une superficie d'environ 4 km carré.

Hélas comme la plupart des taches ingrates effectuées au Togo, ce sont des enfants qui sont chargés de ramassés "les cailloux" RADIOACTIF !

Un génocide générationel se prépare dans la région de KPALIME car une multitude d'enfants travaillent sur ce site radioactif et un pic de maladies mystérieuses se déclarent chaque jour dans les dispensaires du coin !...
Les exploitants du gisement leurs rachètent les "cailloux" 1 500 FCFA le Kilo !

Le COLTAN est ensuite convoyé vers le GHANA pour prendre un avion à destination de l'ASIE...

De sources croisées et fiables nous pouvons déclarer que les CHINOIS supervisent tout ce processus...

______________________?
La Chine offre des bâtiments scolaires à Agou-gadzépé !???

UN CADEAU POUR ACHETER LE SILENCE DES VILLAGEOIS ?!...
La préfecture d'Agou-gadzépé a désormais de nouveaux édifices scolaires. Fruits de la coopération sino-togolaise, ces écoles sont construites par la société chinoise d'ingénierie et de construction avec l'appui des autorités togolaises.
D'un coût total de 300 millions F CFA, chaque établissement est composé de six salles de classe ventilées comprenant des tables-bancs. Les deux écoles sont notamment dotées:
•d'une bibliothèque
•d'une salle de réunion des enseignants
•d'une salle de repos
•de deux blocs de toilettes pour filles et garçons
•d'un bureau climatisé et meublé pour le Directeur
•d'un bureau pour le Secrétariat
•d'un terrain de football

______________________

DES AGENTS DE L AIEA agence internationale s'occupant de la sûreté nucléaire sont deja au TOGO depuis mercredi 29 aout 2012.





TOGO CONFIRMATION DE RADIOACTIVITE SUR LE SITE DE NYITOE! 4ème Volet


document d'analyses minéralogiques effectuées sur des échantillons de "cailloux" prélevés à NYITOE au TOGO. Ces analyses ont été effectuées dans les laboratoires de l'Ecole des Sciences de la terre, musée minéralogique de Strasbourg dont voici l'adresse. Le Document est signé par le Dr Denis Leypold.
1 Rue Blessig 67084 Strasbourg-FRANCE

VALIDATION DE PRESENCE DE RADIOACTIVITE (URANIUM...)

Il y a quelques jours nous vous avions dévoilé une information en EXCLUSIVITE sur une activité extractive de minerais: le COLTAN à la surprise de nombreux lecteurs incrédules pourtant en majorité de bonne foi.

Pourtant depuis des semaines nous dévoilons des informations chaque fois des plus extraordinaires dans le négatif sous le règne de fraude gnassingbé comme dernièrement sur l'organisation du trafic de stupéfiant dont la "baronne" n'est que BADAGNAKI GNASSINGBE.

Aujourd'hui nous revenons vers vous afin de compléter les informations sur cette mine qui exite bien dans la région de la ville/préfecture de KPALIME.

A partir de la ville d'AGOU-GADZEPE prendre la route qui va vers le sud jusqu'à ce fameux village "MARTYR" dénommé: NYITOE.

Il est situé avant la ville de ZUKPE qui est la ville frontière du GHANA délimitée elle même par une rivière dénommée TODJIE.

Le site est exploité pour l'instant sur une superficie d'environ 4 km carré.

Hélas comme la plupart des taches ingrates effectuées au Togo, ce sont des enfants qui sont chargés de ramassés "les cailloux" RADIOACTIF !


Un génocide générationel se prépare dans la région de KPALIME car une multitude d'enfants travaillent sur ce site radioactif et un pic de maladies mystérieuses se déclarent chaque jour dans les dispensaires du coin !...
Les exploitants du gisement leurs rachètent les "cailloux" 1 500 FCFA le Kilo !

Le COLTAN est ensuite convoyé vers le GHANA pour prendre un avion à destination de l'ASIE...





Si vous restez toujours incrédules après ce complément d'informations, alors il ne vous reste plus qu'à prendre
Pourtant depuis des semaines nous dévoilons des informations chaque fois des plus extraordinaires dans le négatif sous le règne de fraude gnassingbé comme dernièrement sur l'organisation du trafic de stupéfiant dont la "baronne" n'est que BADAGNAKI GNASSINGBE.

Au votre voiture et à tenter d'aller sur place ! Vous pourrez confirmer nos dires si seulement la mafia FAT prépositionnée sur place vous laisse approcher...

De même pour ceux qui croient que les mines d'or et de diamant n'existent pas au Togo, pouvez-vous alors vous expliquez à vous mêmes pourquoi il y en a juste à côté au Ghana, juste au dessus au Burkina et à l'est au Bénin ?!... Est-ce que la "veine" s'arrête aux frontières du Togo dessinées par le colon au 20 ème siècle !?

Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas ! Peuple bouge toi! Réveille toi car on te PILLE FATA! Rappellez-vous, le Togo a souffert du commerce négrier que lui ont fait subir les liens commerciaux entre négriers occidentaux et rois tribaux à partir du XVIe

et cela continue toujours, victime de sa richesse minière...







IL N'Y A PAS QU'AU KONGO QUE L'ON RAMASSE DU COLTAN POUR LES MULTINATIONALES DE TELEPHONIES MOBILES
MAIS AUSSI AU TOGO

LA MINE EST EXPLOITEE CLANDESTINEMENT ET CE SONT DES ENFANTS QUI RAMASSENT LES "CAILLOUX" RADIOCATIF !

CES ENFANTS IRRADIES MEURENT TRES JEUNES SOUS LE REGIME DE FRAUDE PEDOPHILE GNASSINGBE!

LE COLTAN contient de l’uranium en petites doses. Maladies respiratoires, irritations des yeux… autant de problèmes de santé développés par les prospecteurs de coltan. Autre danger : l’exploitation du coltan engendre des bouleversements environnementaux importants.

Un travail qui commence tôt le matin jusque tard le soir. Ils ont pour seuls outils, burins, pelles, barres à mine, marteaux… Une fois les particules de coltan obtenues, elles sont déversées dans des sacs, puis acheminées jusqu’au comptoir.

LE COLTAN TOGOLAIS SE RAMASSE A CIEL OUVERT SUR UNE DISTANCE D'ENVIRON 4 KM SURTOUT APRES LA PLUIE QUI ENTRAINE UNE BOUE ROUGE.

LE MINISTRE DAMMIPI A SUR LA CONSCIENCE LES ENFANTS MALADES TOGOLAIS TRAVAILLANT DE MANIERE CLANDESTINE DANS UNE MINE NON REPERTORIEE OFFICIELLEMENT AU MINISTERE DES MINES QUI SE TROUVE A SA CHARGE !

UNE NOUVELLE BOMBE DANS LE JARDIN DE LA DICTATURE DE FRAUDE PEDOPHILE GNASSINGBE !

ZUNU ENCORE PREMIER MINISTRON A L'HEURE ACTUELLE DE LA GNASSION PEDOPHILE DOIT S'EXPLIQUER MAINTENANT DEVANT LE PEUPLE ET RENDRE COMPTE!

LE REGIME DU FRAUDEUR ASSASSIN GNASSINGBE EST A ABATTRE CHAQUE JOUR D'AVANTAGE CAR LES DOSSIERS QUE NOUS AVONS SONT HORRIBLES._ NOUS ALLONS CONTINUER A INFORMER LE PEUPLE ET LE MONDE !

Nicole se dit mère du fils d'Albert II
Albert II tout sourire serrant près de lui un bébé métisse de quelques mois. Albert II allongé sur un lit tenant dans ses bras ce même bébé qui veut visiblement faire quelques pas. Albert II lui donnant à manger. Autant de scènes dignes d'un père avec son fils immortalisées et publiées dans Paris-Match, au lendemain d'un article du Daily Mail. L'hebdomadaire révèle que le nouveau monarque monégasque serait père d'un petit Alexandre, 19 mois.


Sa maman s'appelle Nicole Coste, 33 ans, d'origine togolaise, ex-hôtesse de l'air, elle affirme dans le magazine avoir rencontré le prince héritier à l'été 1997, lors d'un vol Nice-Paris. Autographe, échange de civilités, puis de numéro de téléphone. Bref, le coup de foudre, raconte-t-elle. Et ce serait le début d'une romance, comme on en a tant prêtées au prince. Le magazine publie d'ailleurs aussi deux photos des tourtereaux datant de 2001 et 2002, à Monaco. Car la jeune femme affirme être venue durant cinq ans sur le Rocher, environ une fois par mois, dans l'appartement du prince dont il lui avait donné les clés.

"Garde-le, je m'en occuperai", puis "l'enfant est impossible"
C'est là que tout se gâte... Convoqué par son père, Albert II met officiellement fin à leur histoire. Il continue de fréquenter Nicole mais plus discrètement, en catimini. C'est là, en décembre 2002, que Nicole tombe enceinte, par accident. La jeune femme, divorcée et déjà mère de deux garçons, raconte que le prince lui a dit de le garder et qu'il s'en occuperait, tout en ne pouvant lui promettre de l'épouser et en restant distant pendant la grossesse. Et c'est "très seule" qu'elle a accouché d'Alexandre à Paris le 24 août 2003.

Là, des membres d'un laboratoire seraient venus faire un prélèvement d'ADN sur l'enfant. Albert II a fini par venir rencontrer Alexandre deux mois et demi après sa naissance. La seule préoccupation de la mère, raconte-t-elle, est alors qu'Albert II reconaisse son fils. Chose qu'il aurait fait en décembre 2003, mais la mère ne possède pas de trace de cet acte notarié, seulement un numéro d'enregistrement. Elle affirme en outre que le prince monégasque, qui "voit régulièrement son fils", lui verse depuis lors et toujours une somme tous les trois mois.

Pourquoi parle-t-elle aujoud'hui ?
Venons-en aux motivation de cette jeune maman. Pourquoi parler et pourquoi parler maintenant ? Nicole affirme ne pas vouloir d'agrent -"je ne suis pas une chercheuse d'or"-, mais vouloir ne pas faire subir à son fils une vie cachée, dans le mensonge, ne pas en faire une Mazarine Pingeot. Elle dit vouloir ainsi réagir à des rumeurs qui circulent à propos de l'enfant et "rétablir la vérité", pour ne plus avoir à mentir et à "passer pour la maîtresse de ses amis", souhaitant seulement qu'Albert II prenne d'avantage ses responsabilités. Elle en appelle à son "coeur". Il semble d'ailleurs que si elle a attendu pour révéler cet enfant, c'est qu'Albert II soit libre de décider seul après le décès de son père, le prince Rainier.

Réunion de crise au Rocher
Sur le Rocher, on n'aime pas trop cette nouvelle affaire de famille. Les Monégasques ne tiennent visiblement pas à une nouvelle affaire, et certains parlent même d'"acharnement" contre la famille princière qui n'a pas toujours pas réagi, ni pour démentir ni pour confirmer, mais se tient en réunion de crise pour envisager une éventuelle action en justice. Il faut dire que la question ne se résume pas à un comportement de père, mais engendre aussi le problème d'un potentiel héritier.

D'après RTL             

TOGO JF Mambo de la société Farbioz Corporation négociant en Coltan à partir du Togo

$
0
0







Farbioz Corporation Limited


we sell diamond, copper, coltan.
Also we have cashew nuts and diesel generators at affordable price.
Please contact us if you are really serious buyer to avoid wasting of time.
We are waiting for you .

Thanks

CEO

Mr. Mambo Jean Fabrice

We are FARBIOZ CORPORATION LIMITED, a Trading Company with many networks which allow us to deal in many areas. We are new comers in this trading site but we are an experience team in our areas (more than 12 years). Don't waste your time in looking for genuine suppliers in Copper, Coltan, Manganese, Diamond and Generators sets. Only serious buyers. No contacts given no answer.

Thanks

Mambo Jean Fabrice
CEO
farbioz. corporation@gmail. com
skype: mambo. farbiozcorporation
We are regularly Selling: copper, coltan, diamond, manganese, generators sets, cocoa beans.



Mr Mambo Jean Fabrice is a company’s staff,who is currently working in Togo.This is a Trading Company, Agent, Distributor,Wholesaler and address in 228,Av Dr Duisburg,Lome,,Togo. Mr Mambo Jean Fabrice in the company mainly engaged in exportation and advertisement of Diamond,Manganese,Coltan,Cashew nuts,Diesel Generator sets and other products.Mr Mambo Jean Fabrice is a nice person,you can call 228-99-32 13

Jean Fabrice Mambo



TOGO Last News: Gnassingbé 2 a vraiment disparu ! Aucune photo de lui sur les sites officiels du Togo et du Bénin !

$
0
0

TOGO Last News: Gnassingbé 2 a vraiment disparu ! Aucune photo de lui sur les sites officiels du Togo et du Bénin !

Le président du Bénin Yayi renvoie-t-il "l'ascenceur" à son voisin en perdition totale en ne publiant aucune photo de la cérémonie du 08 avril imaginaire...

Une chimère de plus dans l'histoire nauséabonde du génocidaire gnassingbé 2.


Au temps de l'Union Soviétique lorsqu'un apparatchik comme Brejnev ou Gromiko décédèrent les médias officiels du régime stalinien les faisaient danser sur les écrans et les ondes radios pendant des jours entiers...

Gnassingbé peut être se balance-t-il sous une corde ? Ou bien se fait picouser les fesses en urgence dans son Hôpital fétiche de Tel-Aviv où le criminel de guerre Ariel Sharon comatait pendant des années...

Le professeur Zeev Rotstein de cet hôpital tente le tout pour le tout avec des techniques inédites pour sauver le Furher Togolais leucémique suicidaire...


TOGO/MONACO AFFAIRE COLTAN: Le fils de l'associé de Gnassingbé a été assassiné par les SR Togolais et Israéliens

$
0
0


TOGO/MONACO AFFAIRE COLTAN: Le fils de l'associé de Gnassingbé a été assassiné par les SR Togolais et Israéliens


Le résident monégasque de 30 ans qui a perdu la vie ce matin sur l'A8 était de nationalité togolaise.

L'homme, passager à l'arrière du véhicule qui a percuté violemment un poids lourd espagnol ce matin peu après 6 heures, travaillait en Principauté.

Il accompagnait trois autres jeunes personnes qui, elles, ne sont pas résidentes monégasques.





TOGO Confidentiel Gnassingbé exploite de l'Uranium/Coltan au Togo via une société basée à Monaco


Voici le lien du document du laboratoire de Strasbourg qui confirme la radioactivité des cailloux prélevés au Togo (Trace de Coltant et d'Uranium)

https://www.flickr.com/photos/85974330@N07/7877594646/in/photostream

Voici pour mémoire une lettre que j'ai reçu un jour d'un M. Dutaye habitant à Strasbourg antérieurement marié à une Togolaise avec laquelle il aurait vécu dans la région d'Agou. Ce Monsieur, je l'ai rencontré un jour par hasard en France et ayant su que je suis d'origine Togolaise m'a raconté son histoire d'avoir été mêlé à une exploitation clandestine de Coltan sur la frontière Ghanéo-Togolaise et il souhaitait que cette exploitation mafieuse fût connue de l'opinion publique internationale. Je lui ai demandé des preuves de ses accusations. Rentré chez lui, il m'a envoyé une lettre dont la copie suit. Selon ses déclarations les exploitants clandestins seraient la famille Gnassingbé et la société qui s'en occupe serait basée à Monaco.  Depuis, je n'ai eu de nouvelles de M. Dutaye dont l'adresse mail est:
dutaye@aliceadsl.fr
Si quelqu'un désire en savoir plus, il peut donc écrire à M. Dutaye.
Mathieu Cichocki PEUPLES OBSERVATEURS
voici la lettre que M. Dutaye Georges est censé avoir envoyée à ses acolytes de l'époque pour leur signifier qu'il était le mieux placé pour négocier l'exploitation paisible de la mine avec les villageois alors que ses amis préconisaient la méthode forte dite "Tienamen" c'est à dire le nettoyage du village par des Forces Armées comme ce fut précédemment le cas pour les mines de phosphates quand les villageois du Yoto voulaient s'opposer à l'ouverture des carrières.
Bonjour,
J’attire votre attention sur le fait que je suis très aimablement connu dans ce village et bien qu’en minéralogie je n’y connaisse rien, ma présence au cour de tractations qui risque d’être difficile peu rassurer la population. C’est pour cette raison que je désire être tenu au courant de ce qui peu ou ne peu pas se faire, afin de pouvoir dans la mesure du possible arrondir les angles. Les petits cailloux se ramassent à ciel ouvert sur une distance de 4 km surtout après la pluie qui entraîne une boue rouge comme de la bauxite. Si vous envoyez une équipe pour examiner les lieux sans moi, il y aura des risques, avec les anciens de ce village il est nécessaire de parlementer avec diplomatie et des cadeaux du sodabi par exemple (vin de palme) sans oublier que dans nombre de familles des enfants sont expatriés en France, Canada, Amérique, Allemagne, Italie Etc.… et que parmi eux il y a des gens très instruit qui seraient capable de compliquer la situation. Ce que personnellement je voudrais éviter, c’est une intervention brutale qui disperserait la population sans ménagements comme cela a été fait pour le phosphate. Région de Akoumapé. Système « place Tienanmen » quand les contestataires sont tous mort, il n’y a plus de contestataires. Je ne voudrais pas que ce village s’éteigne dans un bain de sang comme au Congo avec le Coltan. 
Je viens d’avoir avec vous un entretien téléphonique. Je vous remercie des explications que vous m’avez donné, j’en ferais un résumé que je communiquerais à monsieur Gagoba Koku le chef du village, à savoir que dans un premier temps, il y auras exploration de la région avec possible retombés économiques si le gisement s’avère rentable, Qu’en tout état de cause, il ne pourra pas être fait de recherche sur le terrain sans l’accord des autorités Togolaises, qui seul sont habilités à donner concession d’exploitation.
Encore une fois je vous confirme que je n’ai aucune intention d’exploitation pour mon propre compte, ce que je désire c’est le bien pour cette population parmi laquelle je désire finir ma retraite dans la sérénité.
 
Au plaisir de vous lire
 
Georges Duteil

MINE CLANDESTINE DE COLTAN/URANIUM AU TOGO!

 

Aujourd'hui nous revenons vers vous afin de compléter les informations sur cette mine qui exite bien dans la région de la ville/préfecture de KPALIME.

A partir de la ville d'AGOU-GADZEPE prendre la route qui va vers le sud jusqu'à ce fameux village "MARTYR" dénommé: NYITOE.

Il est situé avant la ville de ZUKPE qui est la ville frontière du GHANA délimitée elle même par une rivière dénommée TODJIE.

Le site est exploité pour l'instant sur une superficie d'environ 4 km carré.

Hélas comme la plupart des taches ingrates effectuées au Togo, ce sont des enfants qui sont chargés de ramassés "les cailloux" RADIOACTIF !

Un génocide générationel se prépare dans la région de KPALIME car une multitude d'enfants travaillent sur ce site radioactif et un pic de maladies mystérieuses se déclarent chaque jour dans les dispensaires du coin !...
Les exploitants du gisement leurs rachètent les "cailloux" 1 500 FCFA le Kilo !

Le COLTAN est ensuite convoyé vers le GHANA pour prendre un avion à destination de l'ASIE...

De sources croisées et fiables nous pouvons déclarer que les CHINOIS supervisent tout ce processus...

______________________?
La Chine offre des bâtiments scolaires à Agou-gadzépé !???

UN CADEAU POUR ACHETER LE SILENCE DES VILLAGEOIS ?!...
La préfecture d'Agou-gadzépé a désormais de nouveaux édifices scolaires. Fruits de la coopération sino-togolaise, ces écoles sont construites par la société chinoise d'ingénierie et de construction avec l'appui des autorités togolaises.
D'un coût total de 300 millions F CFA, chaque établissement est composé de six salles de classe ventilées comprenant des tables-bancs. Les deux écoles sont notamment dotées:
•d'une bibliothèque
•d'une salle de réunion des enseignants
•d'une salle de repos
•de deux blocs de toilettes pour filles et garçons
•d'un bureau climatisé et meublé pour le Directeur
•d'un bureau pour le Secrétariat
•d'un terrain de football

______________________

DES AGENTS DE L AIEA agence internationale s'occupant de la sûreté nucléaire sont deja au TOGO depuis mercredi 29 aout 2012.

http://www.flickr.com/photos/85974330@N07/7877594646/in/photostream

TOGO CONFIRMATION DE RADIOACTIVITE SUR LE SITE DE NYITOE! 4ème Volet http://fb.me/212d6xJMY


document d'analyses minéralogiques effectuées sur des échantillons de "cailloux" prélevés à NYITOE au TOGO. Ces analyses ont été effectuées dans les laboratoires de l'Ecole des Sciences de la terre, musée minéralogique de Strasbourg dont voici l'adresse. Le Document est signé par le Dr Denis Leypold.
1 Rue Blessig 67084 Strasbourg-FRANCE

VALIDATION DE PRESENCE DE RADIOACTIVITE (URANIUM...)

Il y a quelques jours nous vous avions dévoilé une information en EXCLUSIVITE sur une activité extractive de minerais: le COLTAN à la surprise de nombreux lecteurs incrédules pourtant en majorité de bonne foi.

Pourtant depuis des semaines nous dévoilons des informations chaque fois des plus extraordinaires dans le négatif sous le règne de fraude gnassingbé comme dernièrement sur l'organisation du trafic de stupéfiant dont la "baronne" n'est que BADAGNAKI GNASSINGBE.

Aujourd'hui nous revenons vers vous afin de compléter les informations sur cette mine qui exite bien dans la région de la ville/préfecture de KPALIME.

A partir de la ville d'AGOU-GADZEPE prendre la route qui va vers le sud jusqu'à ce fameux village "MARTYR" dénommé:
NYITOE.

Il est situé avant la ville de ZUKPE qui est la ville frontière du GHANA délimitée elle même par une rivière dénommée TODJIE.

Le site est exploité pour l'instant sur une superficie d'environ 4 km carré.

Hélas comme la plupart des taches ingrates effectuées au Togo, ce sont des enfants qui sont chargés de ramassés "les cailloux" RADIOACTIF !


Un génocide générationel se prépare dans la région de KPALIME car une multitude d'enfants travaillent sur ce site radioactif et un pic de maladies mystérieuses se déclarent chaque jour dans les dispensaires du coin !...
Les exploitants du gisement leurs rachètent les "cailloux" 1 500 FCFA le Kilo !

Le COLTAN est ensuite convoyé vers le GHANA pour prendre un avion à destination de l'ASIE...


 

Si vous restez toujours incrédules après ce complément d'informations, alors il ne vous reste plus qu'à prendre
Pourtant depuis des semaines nous dévoilons des informations chaque fois des plus extraordinaires dans le négatif sous le règne de fraude gnassingbé comme dernièrement sur l'organisation du trafic de stupéfiant dont la "baronne" n'est que BADAGNAKI GNASSINGBE.

Au votre voiture et à tenter d'aller sur place ! Vous pourrez confirmer nos dires si seulement la mafia FAT prépositionnée sur place vous laisse approcher...

De même pour ceux qui croient que les mines d'or et de diamant n'existent pas au Togo, pouvez-vous alors vous expliquez à vous mêmes pourquoi il y en a juste à côté au Ghana, juste au dessus au Burkina et à l'est au Bénin ?!... Est-ce que la "veine" s'arrête aux frontières du Togo dessinées par le colon au 20 ème siècle !?

Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas ! Peuple bouge toi! Réveille toi car on te PILLE FATA! Rappellez-vous, le Togo a souffert du commerce négrier que lui ont fait subir les liens commerciaux entre négriers occidentaux et rois tribaux à partir du XVIe

et cela continue toujours, victime de sa richesse minière...

 

 

 

IL N'Y A PAS QU'AU KONGO QUE L'ON RAMASSE DU COLTAN POUR LES MULTINATIONALES DE TELEPHONIES MOBILES
                               MAIS AUSSI AU TOGO


LA MINE EST EXPLOITEE CLANDESTINEMENT  ET CE SONT DES ENFANTS QUI RAMASSENT LES "CAILLOUX" RADIOCATIF !

CES ENFANTS IRRADIES MEURENT TRES JEUNES SOUS LE REGIME DE FRAUDE PEDOPHILE GNASSINGBE!

LE COLTAN contient de l’uranium en petites doses. Maladies respiratoires, irritations des yeux… autant de problèmes de santé développés par les prospecteurs de coltan. Autre danger : l’exploitation du coltan engendre des bouleversements environnementaux importants.

Un travail qui commence tôt le matin jusque tard le soir. Ils ont pour seuls outils, burins, pelles, barres à mine, marteaux… Une fois les particules de coltan obtenues, elles sont déversées dans des sacs, puis acheminées jusqu’au comptoir.

LE COLTAN TOGOLAIS SE RAMASSE A CIEL OUVERT SUR UNE DISTANCE D'ENVIRON 4 KM SURTOUT APRES LA PLUIE QUI ENTRAINE UNE BOUE ROUGE.

LE MINISTRE DAMMIPI A SUR LA CONSCIENCE LES ENFANTS MALADES TOGOLAIS TRAVAILLANT DE MANIERE CLANDESTINE DANS UNE MINE NON REPERTORIEE OFFICIELLEMENT AU MINISTERE DES MINES QUI SE TROUVE A SA CHARGE !

UNE NOUVELLE BOMBE DANS LE JARDIN DE LA DICTATURE DE FRAUDE PEDOPHILE GNASSINGBE !

ZUNU ENCORE PREMIER MINISTRON A L'HEURE ACTUELLE DE LA GNASSION PEDOPHILE DOIT S'EXPLIQUER MAINTENANT DEVANT LE PEUPLE ET RENDRE COMPTE!

LE REGIME DU FRAUDEUR ASSASSIN GNASSINGBE EST A ABATTRE CHAQUE JOUR D'AVANTAGE CAR LES DOSSIERS QUE NOUS AVONS SONT HORRIBLES._ NOUS ALLONS CONTINUER A INFORMER LE PEUPLE ET LE MONDE !



Viewing all 2508 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>