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Togo : L’opposition en concertation avant la rencontre Faure et Fabre

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koaci.com – Le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé RechercherFaure Gnassingbé recevra cet près midi, le Président national de l’Alliance nationale pour le changement (Anc). Juste avant, les deux principaux regroupements qui animent l’opposition sont en concertation.

Les responsables du Collectif Sauvons le Togo (CST RechercherCST) et ceux de la Coalition Arc-en-ciel RechercherArc-en-ciel se concertent ce matin. Cette concertation qui intervient dans la matinée de la rencontre annoncée entre Faure Gnassingbé RechercherFaure Gnassingbé et Jean-Pierre Fabre RechercherJean-Pierre Fabre, fait suite à une invitation adressée par le président national de l’Anc à celui de la Coalition Arc-en-ciel RechercherArc-en-ciel, après la réponse non satisfaisante Faite dans sa lettre par Le Chef de l’Etat au leader de l’opposition.

Jean-Pierre Fabre RechercherJean-Pierre Fabre avait saisi le Chef de l’Etat pour qu’il ouvre un dialogue en vue de discuter des réformes constitutionnelles et institutionnelles, comme prévu par l’Accord politique global (Apg) signé en Août 2006. Faure Gnassingbé RechercherFaure Gnassingbé avait renvoyé Jean-Pierre Fabre RechercherJean-Pierre Fabre à l’Assemblée nationale pour débattre des réformes. C’est suite à cette réponse intervenue en fin de semaine passée et que le président de l’Anc a jugé non satisfaisante, qu’il a convoqué une concertation entre le Cst et la Coalition Arc-en-ciel RechercherArc-en-ciel.

Mais surpris par cette initiative, Bassabi Kagbara, actuel Coordinateur de la Coalition Arc-en-ciel RechercherArc-en-ciel et les siens ont donné rendez-vous à leurs collègues du Cst pour ce mercredi matin. C’est donc par hasard que cette rencontre coïncide avec l’audience que le Chef de l’Etat accorde à Jean-Pierre Fabre RechercherJean-Pierre Fabre ce jour.

La rencontre annoncée entre Faure Gnassingbé RechercherFaure Gnassingbé et Jean-Pierre Fabre RechercherJean-Pierre Fabre ce jour, est très appréciée dans l’opinion. Certains auraient souhaité que ce soit une délégation conjointe des deux blocs de l’opposition qui s’y rendent.

Visiblement, ce ne sera pas le cas. Le sujet n’étant même pas à l’ordre du jour de la concertation de ce matin.

Togo : L’opposition en concertation avant la rencontre Faure et Fabre



TOGO VIDEO Parole de militant: il faut que 2015 soit pour nous l'année du changement

TOGO VIDEO La population de Essè-Godjin (Yoto) accueille Jean-Pierre Fabre et la délégation ANC

BREAKING NEWS Togo : Incendie d'une Brigade de Gendarmerie à Bassar

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koaci.com – Le bâtiment abritant la Brigade de Gendarmerie  et le logement du Chef de Brigade  de Bassar, a été incendié dans la nuit de mardi à mercredi.

Le Togo n’en finit plus avec la série des incendies. Après les marchés, c’est au tour de la Brigade  de Gendarmerie  à Bassar . Dans la nuit du mardi 04 au mercredi 05 mars, c’est par la chambre à coucher des enfants du Chef de la Brigade  (CB ) que l’incendie a démarré.

Selon les informations, koaci.com apprend que c’est aux alentours de 23 heures que le début de cet incendie a été constaté.

Faute de disponibilité d’un service des sapeurs pompiers dans cette ville, aussi bien le poste de la Brigade que le logement ont été consumés.

Les documents et autres matériels de travail ont été totalement détruits. On ne déplore heureusement aucune perte en vies humaines.

Selon un responsable de la Compagnie de l’énergie électrique du Togo (Ceet), qui a fait le déplacement pour constater l’incendie, c’est un court-circuit électrique qui serait à l’origine de ce sinistre. Les fils utilisés pour l’installation électrique dans ce bâtiment, ne seraient pas appropriés et en seraient la cause.

Le nombre insuffisant de sapeurs pompiers et le manque de matériels devient préoccupant au regard de la fréquence des incendies et des dégâts causés. Déjà Lomé  la capitale n’est pas suffisamment couvert. Il n’existe qu’un seul centre des sapeurs pompiers à pour toute la capitale togolaise. A ce centre s’ajoute celui de l’aéroport international Gnassingbé Eyadéma et celui du Port autonome de Lomé .

A l’intérieur, seul la ville de Kara dispose d’un camp équipé pour les sapeurs pompiers.
Située dans la Région de la Kara, la ville de Bassar  est réputée pour le rite de la danse du feu. Une cérémonie traditionnelle qui a lieu au mois de septembre de chaque année.

Togo : Incendie d'une Brigade de Gendarmerie à Bassar

TOGO SCANDALE: ENI confirme dans son magazine ABO que le Togo a exporté plus de 28 000 barils/jour en 2011

TOGO PHOTO Délégation du CST sortant du Palais du résident des nuages

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TOGO PHOTO Délégation du CST sortant du Palais du résident des nuages

Photo : 30 mn d' échange entre le chef de l Etat togolais Faure Gnassingbe et la délagation du CsT cet Apres midi.Selon Zeus Ajavon du cst qui fesait parti des discussions apparemment le chef de l Etat ne partage pas leurs points de vue.Bref les échanges de ce 05mars 2015 ont accouché d 'une souris.Image la delegation du CST au sortir de la présidence . GILLES OBLASSE

‎TOGO‬/ PHOTO FACE A FACE JEAN PIERRE FABRE - FAURE GNASSINGBE CE 5 MARS 2014

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#TOGO/ FACE A FACE JEAN PIERRE FABRE - FAURE GNASSINGBE CE 5 MARS 2014 A 15H30. LES 1ERES IMAGES D'UNE RENCONTRE INÉDITE. #TGInfo #TGAlerte# freetogo #Team228

TOGO‬/ FACE A FACE JEAN PIERRE FABRE - FAURE GNASSINGBE CE 5 MARS 2014 A 15H30. LES 1ERES IMAGES D'UNE RENCONTRE INÉDITE.


TOGO COMMUNIQUE DE PRESSE SYNERGIE DES TRAVAILLEURS DU TOGO (STT)

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COMMUNIQUE DE PRESSE SYNERGIE DES TRAVAILLEURS DU TOGO (STT)

La SYNERGIE DES TRAVAILLEURS DU TOGO (STT) s’associe à la profonde douleur de la famille SINALENGUE, et annonce que l’élève Douti SINALENGUE, décédé tragiquement des suites des blessures lors des manifestations d’élèves du 15 Avril 2013 à Dapaong, sera conduit à sa dernière demeure le samedi 08 Mars 2014.
L’enterrement aura lieu dans son village natal à Tambonga dans la préfecture de Kpendjal.
Toutefois, la STT invite tous les travailleurs des secteurs p...ublic, parapublic, privé, formel et informel ainsi que les médias de Lomé et de ses environs, à assister très massivement à la messe pour le repos de l’âme de Douti SINALENGUE, qui sera célébrée le vendredi 07 Mars 2014 à partir de 12 heures 00 à la paroisse Franciscaine Saint Antoine de Padoue de Hanoukopé.
Venons très massivement, souhaiter dans la prière et le recueillement, que l’âme du martyr Douti repose enfin, en paix, dans la divine bienveillance de l’Eternel !!!!!
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A signé pour le Conseil de la STT,

Mr WALLA Atchi

TOGO Scandale: L'escroc Camerounais Simon Pierre Ndjeng est l'ami/partenaire du dictateur Faure Gnassingbé

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TOGO Scandale: L'escroc Camerounais Simon Pierre Ndjeng est l'ami/partenaire du dictateur Faure Gnassingbé





J'ai rencontré ce monsieur à Lomé. Il se vante d'être un agent secret du Mossad et est en passe de faire la même chose au Gabon ou il a acheté les membres du gouvernement. Idem au Togo ou il a réussi à devenir un proche d'un autre voleur, le président du Pays Faure Gnassingbé.

Il a même failli se faire tuer au Cameroun et évite bien de s'y rendre mais n'entends pas laisser passer une nouvelle chance de faire des affaires.... même si, pour cela, il doit faire tomber le président local du pays ...

Il réside à Lomé. Il a monté une autre société, "modul system Togo SA". 656 avenue Kléber Dadjo - 15BP 42 Lomé. mail : bureau@modulsystemtogo.com sur sa carte de visite : il est marqué président de la société. http://modulsystemtogo.com/home/


  En Espagne on a bien la trace de Timbal. Adresse de son associé : général san Martin 11 - Pta 3E - 46004 Valencia. Mobile pro 0034 654 044 538 Filaire : 0034 96 353 65 46 son téléphone au Togo : +22822229922 adresse mail perso : ndjeng1@yahoo.es Actuellement, il est en passe de se poser au Gabon après avoir piraté du côté du togo et avoir escroqué son monde au Cameroun. Vous le cherchez? nous aussi. Force restera à la justice.

Adresse Mº Simón Pierre NDJENG, 4,Rue. Gastón Tissandier, DP.75018, PARIS, (france)


Faure Gnassingbé est protégé par des barbouzes du MOSSAD c'est un secret de polichinelle et le Togo est un repère d'escocs, d'assassins , de mafieux et lui dans ce pays c'est le Capo di Tutti Capi.

Cameroun Escroquerie/ Corruption :Résidence Ongola : Aux sources d'une nébuleuse

La question du logement est préoccupante. La Communauté urbaine de Yaoundé, pour y faire face, décide d'ériger sur les ruines de l'ancien camp Sic Tsinga, des maisons d'un standing élevé.

Mutations / Mercredi 9 décembre 2009

Le partenaire appelé à réaliser cet ambitieux projet, Timbal Immobiliare, monte des maquettes séduisantes qui convainquent les sceptiques. Mais, des réserves sont émises sur l'expertise et les capacités financières de cette société inconnue du grand public, et dont les faits d'armes ne s'écrivent qu'en lettres d'échecs dans les milieux des entreprises du logement au Cameroun.

Ex camp Sic Tsinga, à Yaoundé. Des gardiens surveillent le chantier de la Résidence Ongola en arrêt d'activités depuis le 27 octobre 2009. On peut s'apercevoir que les travaux n'ont véritablement pas avancé depuis leur lancement le 9 juin 2009 par la société Cacoco Btp. Des montagnes de terre déblayée, quelques ouvriers tissent des fers, des chaises d'implantation, et des trous de semelles restés sans béton, le tout entouré de broussaille. Voilà le décor du chantier qui a charrié de l'espoir, et suscité beaucoup de passions à ses débuts. Les responsables de la société Timbal Immobiliare, chargée de la réalisation du projet de construction de 200 appartements sur le site de l'ex-camp Sic Tsinga, accusent Cacoco Btp l'entreprise chargée d'exécuter les travaux, d'avoir perdu beaucoup de temps. " Ils nous ont fait perdre trop de temps sur le chantier et leur manière de travailler ne correspondait plus à nos attentes, c'est pourquoi nous avons résilié le contrat qui nous liait le 26 octobre 2009 ", explique Achille Mballa, directeur administratif et financier de Timbal Immobiliare, en l'absence de Simon Pierre Ndjeng Pca de la société.

Engagements
L'arrêt des travaux fait suite au non respect des engagements de Timbal, réplique-t-on du côté de Cacoco. Selon le directeur général adjoint de la société, Timbal a tergiversé pour la fourniture des matériaux sur le chantier pendant plus de trois mois, non sans compter le non respect d'autres engagements avec les partenaires espagnols de l'entreprise. " Ils devaient nous livrer des fers, du ciment, importés d'Espagne comme il l'avait dit lui-même. Nous attendons les fers et le ciment qui ne viennent pas. Finalement, il se résout à prendre le fer au Cameroun, mais qui est de mauvaise qualité et que les contrôleurs de qualité refusent ", explique Victor Tamba le Dga. Pour toutes ces raisons et bien d'autres, le projet commence à tanguer, malgré le fait que Timbal ait déjà perçu l'avance de financement de la banque. Sur un montant global de 1,9milliard de Fcfa, Afriland First Bank, partenaire financier du projet octroie une avance de 980 millions de Fcfa pour la construction de trois immeubles au mois d'avril. Le 10 mai 2009, Cacoco perçoit 380 millions de Fcfa d'avance cautionnée par la banque pour le démarrage des travaux.

" Nous leur avons donné les fonds qu'ils ont placés dans les marchés publics. Voilà entre autres raisons qui nous ont poussé à leur écrire pour demander d'abord la révision du contrat le 5 octobre, et ensuite la résiliation le 26 du même mois ", précise Achille Mballa. Du côté de Cacoco, l'on explique que ce sont des affabulations. " Le matériel que nous avons acheté chez Oasis Motor est là, et tout le monde peut constater que l'argent a bien servi pour le chantier", explique Victor Tamba. D'après lui, une avance de 170 millions de Fcfa sur les 380 reçus a été versée à Oasis Motor. A la Communauté urbaine de Yaoundé, les responsables ne souhaitent pas s'exprimer sur le sujet. Le directeur des Services techniques, Arnauld Philippe Ndzana, s'est déclaré incompétent pour parler de la question, en indiquant que c'est le 6ème adjoint au délégué du gouvernement, Jean Ngougo, qui a suivi le dossier de bout en bout ; le concerné refuse de s'expliquer sur le sujet. " C'est la société qui peut en parler, moi je ne peux rien dire ", tranche -t-il

Partenariat
Le dossier en question a commencé par la signature de la convention de partenariat pour la réalisation d'un programme immobilier entre Gilbert Tsimi Evouna, délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé, et Timbal consulting S.L, une société de droit espagnol, Timbal Immobiliare SA, toutes deux représentées par Simon Pierre Ndjeng, le 30 juillet 2008. D'après les termes de cet accord entre les deux parties, la Communauté urbaine sur l'ensemble des 200 appartements, en bénéficierait de 40, et Timbal qui investit sur le site, sera propriétaire de 160 logements.

Les membres du Conseil de la Communauté urbaine y avaient vu un marché de dupes, et refusèrent le 19 décembre 2008 de l'approuver alors qu'il avait déjà été attribué des mois plutôt à Timbal.

La fin de non recevoir des membres du Conseil amène le délégué à procéder d'abord au remplacement du président de la Commission des affaires domaniales et des infrastructures André Mama Fouda et plus tard à l'exclusion de cette instance de Emile Onambélé Zibi qu'ils considèrent comme des meneurs de la fronde au sein de l'organe délibérant de la ville de Yaoundé. Le projet obtient l'aval du Conseil le 8 janvier 2009, et démarre en mai.

Aujourd'hui, les travaux sont réalisés à 2,83% selon une évaluation de Timbal, après avoir perçu près d'un milliard de Fcfa d'avance, dont 380 millions ont été remis à l'entreprise Cacoco Btp. Timbal affirme aussi avoir vendu déjà 24 appartements à 30% et huit autres cash. D'après les termes du contrat, la Communauté urbaine devrait entrer en possession de ses 40 appartements neuf mois après la délivrance du permis de bâtir à Timbal Immobiliare.

 

 

Une enquête De Pierre Célestin Atangana


les informations concernant l´entreprise TIMBAL S.A et TIMBAL S.L et appartient à SIMON PIERRE NDJENG,ce´n´est pas español et qui a été condamné en espagne d´enlèvement et vol, par citoyen Camerounais,il se vante d´être un entrepeneur espagnol il et un escroc menteur compulsif qui ont de lárgent avancé pour l´achat RESIDENCE ONGOLA CAMP-TSINGA,il aura perdre tous,RAPPORTEST dans AMBASSADE CAMEROUN.MADRID ESPAGNE,tel-00 34 911571160.-Email:ambacammadrid@telefónica.net.-

Résidence Ongola:Le pacte secret entre Tsimi Evouna et la société Timbal Immobiliare

Les travaux de construction de la Résidence Ongola sont à l’arrêt. Après avoir pris la première tranche des fonds destinés  à la réalisation des travaux, Simon Pierre Ndjeng, promoteur de Timbal immobiliare a pris la poudre d’escampette. Il sait qu’il tient Gilbert Tsimi Evouna
Qu'est-ce qui ne tourne pas rond avec le projet de construction de la Résidence Ongola ?, se demandent les visiteurs et éventuels candidats à l’achat des appartements ou des maisons que devait construire la société Timbal Immobiliare. La réponse donnée par Gilbert Tsimi Evouna, Délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de Yaoundé, reste vivace dans les esprits : «j'ai passé un contrat en bonne et due forme avec un partenaire, lequel partenaire a passé un contrat avec Afriland First Bank pour obtenir des financements nécessaires pour la réalisation des travaux. Il s'est donc trouvé selon Afriland First Bank, que le montant débloqué ne correspondait pas aux travaux faits sur le terrain. Afriland m'a donc fait comprendre que le monsieur doit utiliser une partie de l'argent à d'autres fins et qu'il n'est pas là pour satisfaire les mesures autres que celles qui concernent la résidence Ongola.» Dans la foulée, le délégué du gouvernement avait donné les noms de trois entreprises qui l’avaient approché pour la reprise du chantier de la Résidence Ongola : «Afriland First Bank m'a approché, le Crédit foncier m'a approché, le Feicom via le Minatd m'a approché ; et c'est au cours de ce mois de juillet (2010, ndlr) que je vais prendre une décision sur qui de ces trois sera choisi pour la poursuite des travaux des Résidences Ongola.» À l’entendre parler, on dirait que l’argent, près d’un milliard de Francs Cfa, débloqué par Afriland First Bank au profit de Timbal Immobiliare ne le préoccupe pas. Les poursuites judiciaires ne semblaient pas être à l’ordre du jour. Tsimi Evouna n’avait-il pas montré son désintérêt pour cet argent ?  «Cela ne me regarde pas. J'ai donné une mise en demeure au partenaire et passé la date que nous avons convenue, je serai obligé de résilier le contrat », déclarait-t-il. Et rien de plus.
Cette dernière réponse n’avait pas laissé certains observateurs indifférents. Pour ceux-ci, il y a anguille sous roche. Sinon pourquoi Tsimi Evouna ne saisit-il pas la justice dans ce différend qui l’oppose à Timbal immobiliare, représenté par son Directeur général, Simon Pierre Ndjeng, alors que celui-ci a déjà été bénéficiaire de près d’un milliard de francs auprès d’Afriland First Bank ? Pour ceux-ci, la réponse est simple. Elle coule même de source. Elle est la suivante : « Tsimi Evouna avait noué un pacte secret avec, Simon Pierre Ndjeng, promoteur Timbal immobiliare », affirme une source proche du dossier ayant requis l’anonymat. Selon cette source, les closes de ce pacte secret prévoyaient que parmi les 10 immeubles à construire sur le site de l’ancien camp sic Tsinga, 5 (cinq) immeubles devaient revenir à Timbal immobiliare, 3 (trois) immeubles à Tsimi Evouna qu’il devait gérer par l’intermédiaire d’une société-écran et 02 (deux) immeubles revenaient à la Communauté urbaine de Yaoundé.

Pacte secret

C’est sur la base de ce pacte secret, poursuit-elle, que le marché a été attribué à Timbal Immobiliare et que la Convention de partenariat avait été signée entre les deux « larrons ». Après la signature de la convention, la société Timbal a obtenu un déblocage de près d’un milliard de francs cfa (environ 900 millions sur les 1,9 milliard prévu pour le projet)  auprès d’Afriland First Bank. L’utilisation des 900 millions s’est faite de la manière suivante : entre 200-et 300 ont été destinés au terrassement, le reste a été viré dans une banque en Espagne où serait localisé le siège de Timbal, soi-disant pour achat du matériel de construction. Dès que l’argent a atterri dans ce compte, le Dg de Timbal l’a utilisé à d’autres fins. C’est donc l’existence de ce pacte secret qui empêcherait Tsimi Evouna d’ester en justice la société Timbal et son promoteur.
D’autres sources soutiennent que Tsimi Evouna avait pourtant été mis en garde par des personnes avisées ayant essuyé des déboires avec Simon Pierre Ndjeng.  Selon ces sources, le délégué du gouvernement avait fait la sourde oreille. Pour faire passer son projet, il n’avait pas hésité de procéder à la chasse aux sorcières en nettoyant l’équipe des conseillers, en remplaçant André Mama Fouda (actuel ministre de la Santé) à la présidence de la commission des affaires domaniales et des infrastructures, et en excluant Emile Onambélé Zibi de cette commission. Aujourd’hui, le projet est à l’arrêt. Le promoteur Simon Pierre Ndjeng a pris la poudre d’escampette. Le délégué du gouvernement est  dos au mur. Lui qui, le 17 décembre 2009, en visite sur le site de construction de la Résidence Ongola, affirmait crânement dans les colonnes de Cameroon Tribune que dès la fin du mois de janvier 2010, les premières maisons seraient achevées. Nous sommes en août 2010, à la place des maisons, ce sont des herbes qui ont envahi cet espace abandonné. Tsimi Evouna se trouve dans l’obligation de se tourner vers d’autres partenaires sans dire aux Camerounais comment il doit gérer le passif. Plaise à Dieu que ces nouveaux partenaires ne signent pas eux aussi un pacte secret qui leur permettrait de se faire du beurre sur le dos de la Communauté urbaine.
Junior Étienne Lantier.

TOGO : Colonel Kuma Biténéwé Un des criminels du régime RPT/UNIR et son clan

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TOGO : Colonel Kuma Biténéwé Un des criminels du régime RPT/UNIR et son clan

C’est très surprenant qu’un homme dont la main est taché de sang des togolais, cris sur les toits qu’il est menacé de mort par un ancien compagnon de l’armée togolaise.
Le monde est à l’envers et on aura tout vu au royaume des Gnassingbé.
...
Depuis des décennies au Togo, le Colonel Kuma Biténéwé, a plus de 100 morts à son actif pour le compte du régime RPT/UNIR, au moment fort où il était tout puissant Capitaine de l’armée togolais.
Il tuait et assassinait les citoyens togolais comme des mouches pour disait-il à l’époque vouloir sauver le pouvoir de feu Général Président Etienne Gnassingbé Eyadéma.

Le Colonel Kuma Biténéwé, actuel directeur de cabinet au ministrère de la défense et des anciens combattants, est un grand criminel et assassin. C’est lui l’auteur de l’assassinat de Tavio Amorin et de temps d’autres togolais, qu’il avait tué où faire disparaître. Il tuait les gens qui sont des opposants au régime dictatorial des Gnassingbé. Et on mettait tout sur le compte actif du feu Général. Mais lui le Général n’est n’on plus un saint. Bref.

Tombé en disgrâce auprès de Feu Etienne Eyadéma, dans une affaire de coup d’Etat, Biténéwé avait pris la poudre d’escampettes pour aller se réfugier auprès de Blaise Compaoré Président de la République de Burkina- Faso. Un autre criminel.

Etant donné que c’est un ami à Faure Gnassingbé, Béténéwé revient au pays, après la prise sanglante du pouvoir du fils du père en 2005.
Kuma Biténéwé, nommé directeur de cabinet au ministère de la défense, il se croit tout permis, et fait emprisonné le capitaine Kao Patouloussim, parce que ce dernier tente de rentrer dans son droit suite à l’affaire de coup de Biténéwé lui-même, contre le pouvoir de feu Général Eyadéma.

Convoqué par le juge du tribunal de Lomé, le 05 mars 20014, comme plaignant contre le capitaine Kao Patouloussim qui est en prison civile de Lomé par la volonté de Biténéwé, le Colonel criminel dont la main est entaché de sang, ne s’est pas présenté au tribunal et le procès est renvoyé au 15 mars 2014.

Il est très important de savoir que le Colonel est l’assassin de Tavio Amorin, et il se moque royalement des juges du tribunal.

Ce dernier soutien gauchement que le capitaine Kao Patouloussim le menacé de mort. Donc Biténéwé aussi a peur de la mort à ce point. Quand lui-même assassinait, tuait les gens sans état d’âme et avec plaisir, il n’avait pas peur en ce moment.

Tôt où tard, le Colonel Biténéwé répondra de tous les crimes qu’il avait commis au nom du régime RPT/UNIR.

Journal La Nouvelle
TOGO : Un des criminels du régime RPT/UNIR et son clan C’est très surprenant qu’un homme dont la main est taché de sang des togolais, cris sur les toits qu’il est menacé de mort par un ancien compagnon de l’armée togolaise. Le monde est à l’envers et on aura tout vu au royaume des Gnassingbé. Depuis des décennies au Togo, le Colonel Kuma Biténéwé, a plus de 100 morts à son actif pour le compte du régime RPT/UNIR, au moment fort où il était tout puissant Capitaine de l’armée togolais. Il tuait et assassinait les citoyens togolais comme des mouches pour disait-il à l’époque vouloir sauver le pouvoir de feu Général Président Etienne Gnassingbé Eyadéma. Le Colonel Kuma Biténéwé, actuel directeur de cabinet au ministrère de la défense et des anciens combattants, est un grand criminel et assassin. C’est lui l’auteur de l’assassinat de Tavio Amorin et de temps d’autres togolais, qu’il avait tué où faire disparaître. Il tuait les gens qui sont des opposants au régime dictatorial des Gnassingbé. Et on mettait tout sur le compte actif du feu Général. Mais lui le Général n’est n’on plus un saint. Bref. Tombé en disgrâce auprès de Feu Etienne Eyadéma, dans une affaire de coup d’Etat, Biténéwé avait pris la poudre d’escampettes pour aller se réfugier auprès de Blaise Compaoré Président de la République de Burkina- Faso. Un autre criminel. Etant donné que c’est un ami à Faure Gnassingbé, Béténéwé revient au pays, après la prise sanglante du pouvoir du fils du père en 2005. Kuma Biténéwé, nommé directeur de cabinet au ministère de la défense, il se croit tout permis, et fait emprisonné le capitaine Kao Patouloussim, parce que ce dernier tente de rentrer dans son droit suite à l’affaire de coup de Biténéwé lui-même, contre le pouvoir de feu Général Eyadéma. Convoqué par le juge du tribunal de Lomé, le 05 mars 20014, comme plaignant contre le capitaine Kao Patouloussim qui est en prison civile de Lomé par la volonté de Biténéwé, le Colonel criminel dont la main est entaché de sang, ne s’est pas présenté au tribunal et le procès est renvoyé au 15 mars 2014. Il est très important de savoir que le Colonel est l’assassin de Tavio Amorin, et il se moque royalement des juges du tribunal. Ce dernier soutien gauchement que le capitaine Kao Patouloussim le menacé de mort. Donc Biténéwé aussi a peur de la mort à ce point. Quand lui-même assassinait, tuait les gens sans état d’âme et avec plaisir, il n’avait pas peur en ce moment. Tôt où tard, le Colonel Biténéwé répondra de tous les crimes qu’il avait commis au nom du régime RPT/UNIR. Journal La Nouvelle

 

Gabon : Le geste de Jacques Adiahénot sera-t-il suivi par d’autres barons du PDG ? Et au Togo le parti UNIR et au gouvernement les démissions arrivent !...

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Gabon : Le geste de Jacques Adiahénot sera-t-il suivi par d’autres barons du PDG ? Et au Togo le parti UNIR et au gouvernement  les démissions arrivent !...


Gabon : Le geste de Jacques Adiahénot sera-t-il suivi par d’autres barons du PDG ?
    
Apparemment, les réformes apportées par le dernier congrès du PDG n’ont pas convaincu le député du 4e arrondissement de Libreville, qui a décidé de reprendre sa liberté. Va-t-il rejoindre une formation de l’opposition pour se donner les moyens de reconquérir le siège de député qu’il perd par son départ du PDG ?

Pour l’instant, l’élu du 1er siège du 4e arrondissement de Libreville depuis les années 90 n’a pas encore levé le voile sur son destin politique. Toutefois, tout porte à croire qu’il ira rejoindre ses «amis» à l’Union nationale (UN), un choix stratégique pour espérer conserver son siège qui sera âprement disputé par son ancien parti.

Le geste de Jacques Adiahénot sera-t-il suivi par d’autres barons du PDG, surtout la cohorte des sexagénaires et enfants gâtés du «bongoïsme», relégués à la périphérie des instances dirigeantes et qui se morfondent dans les allées du parti au pouvoir ? Les déçus et les indécis « sont nombreux mais beaucoup n’ont pas le courage de partir pour ne pas perdre l’essentiel, le gagne-pain », commente un observateur averti. La saison de la transhumance est ouverte, les partielles indiqueront d’ici peu l’ampleur du mouvement.
     

CIA accused of spying on the U.S. Senate , imagine what it does with the Togolese oil ? ...

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CIA accused of spying on the U.S. Senate , imagine what it does with the Togolese oil ? ...
• ◦ For lefigaro.fr with AFP

 






 

The CIA is under the influence of an internal investigation for allegedly spying on parliamentary staff of the Senate investigating the secret and controversial program of " muscular interrogation " in the 2000s , confirmed a senator today. Democrat Dianne Feinstein , chairwoman of the Intelligence Committee , confirmed that the Inspector General of the CIA had opened an investigation, as was revealed Tuesday the New York Times. " The Inspector General is interested in the situation," she told reporters .

According to the New York Times, the investigation began when parliamentarians complained that some of their employees , authorized by secret defense were monitored by the CIA. The daily quoted an unnamed official, who explains that the CIA has penetrated the computer network of the Senate used by these employees to write the lengthy report , approved closed in December 2012 by the Committee , which concluded that the creation of clandestine " black sites " had been a "terrible mistake."

The confidential report , 6,000 pages long and fruit three and a half year investigation , concluded that the aggressive questioning techniques , such as waterboarding , did not lead to information that allowed to locate Osama bin Laden, killed in 2011 in Pakistan. He has to date not been declassified .

Monitoring these personal brand by the CIA renewed tensions between the intelligence and powerful supervisory board , who must constitutionally accountable. " If that's what they did, I am shocked ," said Republican John McCain told reporters Wednesday. " We can not tolerate that in a democracy , there is a separation of powers ."

The U.S. Ambassador to Togo should stop covering the other fucking Gnassingbé Patricia Hawkins who sold the scam Contour Gloabal the Togolese People who always found in the black and the impact of oil export Togo to USA sly as during the years of embargo ...

TOGO SCANDAL : ENI confirms its ABO magazine that Togo has exported more than 28,000 barrels / day in 2011 mainly to the USA


Here is the link : http://www.abo.net/en_IT/pages/visuals.shtml?visual_on=yes&databid=2197227


The U.S. ambassador Whitehead must account to the Togolese People !







El estafador camerunés Ndjeng Simón Pedro responsable de Modul System dice que vendió sus acciones a su secuestrador se encuentra en Togo

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 El estafador camerunés Ndjeng Simón Pedro responsable de Modul System dice que vendió sus acciones a su secuestrador se encuentra en Togo 





AMBASSADE CAMEROUN.MADRID ESPAGNE,tel-00 34 911571160.-Email:ambacammadrid@telefónica.net.-

 El estafador camerunés Ndjeng Simón Pedro responsable de Modul System dice que vendió sus acciones a su secuestrador se encuentra en Togo 


Espana group Timbal. Adress  : général san Martin 11 - Pta 3E - 46004 Valencia. Mobile pro 0034 654 044 538 Filaire : 0034 96 353 65 46 son téléphone au Togo : +22822229922 adresse mail perso : ndjeng1@yahoo.es 

TOGO Escándalo: El estafador camerunés Ndjeng Simón Pedro es el dictador amigo / pareja Gnassingbé 

 

Fernando Dólera, responsable de la empresa de construcción Modul System, que se instaló en Castelnou a raíz del proyecto municipal de la Caravana de Niños, dice que lo secuestraron en Togo (África), donde, según Fernando, la empresa intentaba desarrollar varios proyectos. Dólera habló de su secuestro en el programa “Aragón en Abierto” de Aragón Televisión emitido el pasado jueves. En él dice que lo secuestró su propio socio, de origen camerunés, durante cuatro días y que “a cambio de venir aquí entero le he tenido que vender las acciones de la empresa”. Dice que en Togo tenía otro socio vinculado al gobierno de allí, pero que murió hace un mes y medio.

Del secuestro del que habla Dólera hace aproximadamente un mes, según fuentes del ayuntamiento, pero la empresa, ya cerrada, continúa debiendo desde hace 7 meses nóminas a sus trabajadores, muchos de los cuales han denunciado a Modul System y están pendientes de la celebración de sus respectivos juicios. También esperan cobrar del Fondo de Garantía Salarial.

Es el caso de Laura Ibáñez, a la que la empresa debe 9.300 euros por su trabajo como secretaria. Laura opina que “han venido a engañarnos y a aprovecharse de los servicios y todavía siguen aquí aprovechándose del pueblo a pesar de que el ayuntamiento les ha pedido que se vayan” (según Laura el ayuntamiento, en una reciente reunión, comunicó a los trabajadores que habían pedido a los responsables de la empresa que se marchasen de la población). Las que sí se han marchado a buscar trabajo a otros lugares son varias familias, que acudieron ilusionadas a Castelnou con la Caravana de Niños y cuyos ingresos venían de su trabajo en esa empresa.

Laura Ibáñez lamenta que Fernando Dólera no ha dado explicaciones a los trabajadores a su regreso de Togo, cuando ella y otros trabajadores afirman que sí les habló de que volvería con dinero tras sus proyectos en el país africano.

Hace unas dos semanas, concejales del ayuntamiento se reunieron con parte de los trabajadores afectados por los impagos de la empresa. Entre otras cosas, el ayuntamiento comunicó a los afectados que Fernando Dólera había sido detenido varios días en Togo. Uno de los trabajadores presentes en la reunión, Ignasi Illamola, cuenta que en la reunión se dijo que Dólera había sido detenido, denunciado por su socio “por falsificación de documentos” y que para quedar en libertad había tenido que traspasar la empresa a su socio, un tal Simon. El concejal Tomás Herrera, también presente en la reunión, declaró a este diario que esa información es la que el propio Fernando Dólera había comunicado al ayuntamiento de Castelnou.

El propio concejal Tomás Herrera es otro de los afectados por los impagos de la empresa, para la que trabajó durante dos meses. Explica que le deben parte de las pagas extraordinarias, que ha denunciado y que está pendiente del acto de conciliación.

Extrabajadores de Modul System y miembros del ayuntamiento de Castelnou aseguran haber visto al tal Simon, de origen camerunés, en la población hablando con Dolera al tiempo en que comenzaban a anunciarse los proyectos de Modul System en África.

Según puede comprobarse en internet, en marzo de 2006 Simon Ndjeng hizo declaraciones a la publicación digital Levante-emv.com como gerente de Timbal Consulting, una empresa valenciana ”dedicada al asesoramiento sobre el África francófona”.

El valenciano Fernando Dólera dijo no querer hacer declaraciones a este medio de comunicación. De hecho, se negó a hacerlas desde que este diario comenzó a publicar las primeras quejas de los trabajadores hacia la empresa.

Fotografía extraída de http://www.facebook.com/pages/Espacio-Modular-Modul-System/212842192099708#!/photo.php?fbid=259487380768522&set=pb.212842192099708.-2207520000.1350928222&type

TOGO René Sounou Tiem menace le comité villageois d'emprisonnement au nom du dictateur Fraude Gnassingbé à cause d'un terrain dans le canton de Badja

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René Sounou Tiem menace le comité villageois d'emprisonnement au nom du dictateur Fraude Gnassingbé à cause d'un terrain dans le canton de Badja

TOGO Suite de la visite du Fraudeur au Gilcrétin :Volet maladie du vieux traitre qui doit être hospitalisé en Europe mais n'a plus d'argent..

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TOGO Suite de la visite du Fraudeur au Gilcrétin :Volet maladie du vieux traitre qui doit être hospitalisé en Europe mais n'a plus d'argent..



Gilcrétin est très malade au point qu'il doit falloir l'évacuer sur Val de Grace et qu'il se pose le problème d'argent.

La presse a dit même que le Petit Prince de Pya serait allé le voir dans sa maison pour lui donner quelques Alagbin et agbapoume et Gnagan Pobol. Toujours selon la même source, Faure aurait demandé à Fo Gil combien va coûter son déplacement sur Paris et il lui a dit que ses agents vont faire le calcul et lui donner le montant après sa rencontre avec JP Fabre le lendemain. Alors on s'est dit de notre côté que la facture sera plus salée si jamais Faure reçoit le nouveau chef des teints clairs avec honneur et dans les mêmes bureaux que lui.

Apparemment Gilcrétin n'aurait pas regardé la TVT hier.....

C'est votre figure qui est la route...

Habame



TOGO URGENT Michel Roussin ami de Chirac et Gnassingbé: Viré du MEDEF International et du poste conseiller d'EDF

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Michel Roussin l'ami de Chirac et des Gnassingbé se fait virer du MEDEF International et de son poste de conseiller d'EDF et  retourne chez Bolloré.


Ancien n°2 de la DGSE, Ministre sous Chriac, c'est le crépuscule des mafieux de la FrançAfrique...

Roussin devait venir avec une délégation moisie du MEDEF International et du CIAN en janvier 2014 au Togo où la dictature de Gnassingbé 2 sévit de manière ininterrompue depuis 1967...

Mais les affaires, les crises auront eu raison de Roussin et bientôt de Gnassingbé 2 et de Bongo 2...

Les grands bouleversements de fonds de la techtonique des réseaux va faire des victimes...

Les derniers vont devenir les premiers._


OFFICIAL VISIT OF MICHEL ROUSSIN TO TOGO












TOGO Confidentiel Comlan Paka viré de l'Ambassade du Togo en Allemagne

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Confidentiel : Comlan Paka viré de l'Ambassade du Togo en Allemagne

Tu sais, nous on savait depuis que Comlan paka le chat était viré comme Ambassadeur mais on a déposé nos yeux et bouche puisque lui même se fait le grand RPTiste.... Sagbo lui même semble prendre ses disposition sinon.....

Est ce que Paka est déjà rentré ou bien il a demandé Asile Diplomatique? Héhéhéhéhéhéhéhéhéhéhé.

Habame

TOGO Vers des réformes aux couleurs d’UNIR et aux conséquences fâcheuses pour le Togo

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Vers des réformes aux couleurs d’UNIR et aux conséquences fâcheuses pour le Togo

liberte-togo

 

Echange épistolaire entre Jean-Pierre Fabre et la présidence de la République

Faure Gnassingbé ferme la porte à tout dialogue inclusif sur les réformes de l’APG

Vers des réformes aux couleurs d’UNIR et aux conséquences fâcheuses pour le Togo

 

Le CST envoie un second courrier à Faure Gnassingbé et demande à le rencontrer

            L’actualité politique en lien avec la présidentielle de 2015 est rythmée depuis plusieurs jours par un échange de courriers entre Jean-Pierre Fabre et Faure Gnassingbé au sujet des réformes politiques. Après plus de deux semaines de silence, le locataire de la présidence de la République a (enfin) répondu le mardi 25 février dernier au président de l’Alliance nationale pour le changement (Anc) et chef de file de l’opposition. Mais la réponse augure des conséquences fâcheuses pour la démocratie au Togo.

 

            Pas de dialogue en dehors de l’Assemblée Nationale

            Après avoir pris acte (sic) de la correspondance du chef de file de l’opposition –une expression chère à Leopold Gnininvi et à la Cdpa et souvent utilisée quand on ne veut pas clairement exprimer sa position ou donner une suite favorable à une idée, le locataire du palais de la présidence a joué au professeur agrégé de  démocratie. “Comme vous le savez, la constitution de la démocratie dans notre pays exige que chaque institution joue pleinement son rôle. Le peuple togolais a aujourd’hui l’avantage de disposer d’une Assemblée nationale où les principaux courants politiques sont représentés. Elle offre ainsi le cadre le plus indiqué pour débattre utilement des réformes envisagées, conformément à l’esprit de l’Accord politique global (Apg)” a-t-il écrit, avant d’informer on interlocuteur qu’il a “instruit à cet effet le Premier ministre afin qu’il prenne les dispositions pour l’ouverture prochaine au sein de l’Assemblée nationale des discussions sur les propositions de réformes institutionnelles et constitutionnelles“, et que ce dernier “prendra attache avec [lui] dans ce cadre et restera à l’écoute de toutes bonnes volontés qui se manifestent”.

            Acte anodin, grande portée; c’est ainsi  qu’on devrait résumer ce courrier-réponse de Faure Gnassingbé à Jean-Pierre Fabre. Car au-delà de la réponse, le véritable message que fait passer le Prince de la République est qu’il n’y aura pas de discussions préalables à travers un dialogue inclusif devant regrouper les composantes les plus représentatives de la classe politique pour plancher sur les réformes en dehors de l’Assemblée nationale, et que le reste du processus s’y déroulera désormais.

            Evidemment, cette sortie suscite des réactions au sein de l’opposition. Me commérage, j’allais dire Me Dodji Apévon, le président du Comité d’action pour le renouveau (Car) parle de “moquerie” de Faure Gnassingbé à l’égard de l’opposition qui lui en aurait donné l’occasion; Fulbert Attisso de l’Appel des Patriotes, lui, parle de “provocation“, de “casus belli”. Aux dernières nouvelles, le Collectif “Sauvons le Togo” aurait saisi à son tour Faure Gnassingbé par un nouveau courrier dans lequel il sollicite une rencontre avec lui  pour lui dire de vive voix pourquoi il est impossible de faire les réformes sans compromis politique, comme il semble le suggérer.

            Des réformes en perspective taillées au profit de Faure Gnassingbé

            C’est la grande crainte qu’il faudra nourrir, à voir la configuration de l’Assemblée nationale actuelle. Et c’est sans doute le dessein secret de Faure Gnassingbé en renvoyant son interlocuteur vers l’Assemblée nationale pour la satisfaction de la doléance formulée dans sa lettre. C’est une constance qu’une réforme constitutionnelle doit dans une certaine mesure avoir l’onction du Parlement pour passer. Mais en l’orientant vers l’Assemblée nationale, le locataire du Palais de la Marina occulte savamment l’autre voie, celle du référendum. C’est là qu’apparait toute la manipulation de l’homme, et c’est loin d’être gratuit.

            Qui dit réformes constitutionnelles, en rapport avec l’élection présidentielle de 2015 parle forcément de réforme du mode de scrutin, de la durée et surtout de la limitation du mandat présidentiel. Et dans le cas des échéances à venir et dans la dynamique de créer des conditions d’alternance politique au pouvoir, l’opposition a toujours réclamé le retour à la Constitution de 1992 adoptée par référendum et qui a donc eu l’onction du peuple togolais, nommément l’adoption d’un mode de scrutin à deux tours, la limitation du mandat présidentiel à deux  avec effet immédiat –tout comme Macky Sall veut le faire au Sénégal. Mai les représentants du parti au pouvoir se sont farouchement opposés à ces propositions lors des simulacres de discussions dans les différents formats du Cadre permanent de dialogue et de concertation (Cpdc). Et ce ne serait que la suite logique à l’Assemblée nationale, dominée par l’Union pour la République  avec soixante-deux (62) députés.

            Même si ce nombre de sièges n’est pas suffisant pour modifier la Constitution, il ne serait pas trop difficile pour le pouvoir de rassembler le quorum des 4/5 des membres de l’Assemblée nationale requis pour ce faire, avec la redoutable arme de la corruption dont il use à loisir. Une chose est évidente, les trois (03) députés de l’Union des forces de changement (Ufc), toujours dans la logique de la collaboration avec le pouvoir sur la base de l’accord du 26 mai 2010, vont l’accompagner. Certaines sources voient même la visite inopinée le 21 février dernier du prince de la République à l’”opposant historique” périmé, le début des manœuvres dans ce sens. Et avec quelques billets craquants, il pourra également acheter le vote de certains députés des autres courants politiques, et le tour serait joué. Dans le cas d’espèce, les réformes constitutionnelles, surtout celle relative à la limitation du mandat présidentiel à opérer ne va nullement insister sur son application immédiate. Ainsi, Faure Gnassingbé aura la latitude de se représenter en 2015, et ce sera parti pour 2025, et peut-être plus…

 

Mgr Nicodème Barrigah, Robert Whitehead… interpellés

            Les réformes de l’Accord politique global (Apg) sont trainées par le pouvoir comme un boulet depuis 2006. Au-delà des appels traditionnels à leur matérialisation, à l’orée de chaque compétition électorale ayant suivi sa signature (législative d’octobre 2007, présidentielle de mars 2010 et législative de juillet 2013), l’opposition traditionnelle saisit l’occasion et remet cette exigence sur le tapi. Elle en fait souvent la condition de sa participation aux élections; mais à chaque fois, ses leaders  en sont dissuadés  par le pouvoir, et souvent avec l’aide des partenaires en développement. On leur promet de réaliser ce chantier après le scrutin; mais ces réformes se font désirer depuis huit (08) ans. On retiendra particulièrement les tractations de dernière minute ayant abouti à la participation de l’opposition aux dernières législatives, et surtout le rôle joué par le président de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation (CVJR) et l’ambassadeur des Etats-Unis au Togo.

            En effet, ce sont Mgr Nicodème Barrigah-Bénisan et Robert Whitehead qui ont conduit la médiation entre le pouvoir et l’opposition au siège de l’OCDI à Lomé. A ces discussions, le Collectif “Sauvons le Togo” et la Coalition Arc-en-ciel étaient arrivés à harmoniser leurs positions et avaient posé comme préalable fondamental l’exécution des réformes institutionnelles et constitutionnelles de l’Apg. Mais tous les efforts furent déployés par le pouvoir pour les en dissuader, avec l’argument de temps, et avec la promesse d’engager  ce chantier après le scrutin du 25 juillet. Et sur ce chemin, le régime était aidé par les deux médiateurs qui avaient mis du leur pour amener l’opposition à mettre de l’eau dans son vin. Il était promis l’ouverture d’un dialogue sur ces réformes et le président de la Cvjr et l’ambassadeur des Etats-Unis au Togo avaient servi de garanties de la bonne foi et de cautions du pouvoir. Mais voilà qu’aujourd’hui, Faure Gnassingbé ferme la porte à tout débat inclusif et oriente vers l’Assemblée nationale qu’il sait dominée par son parti.

            Mine de rien, c’est la mort confirmée de l’Accord politique global (Apg), avec ces manœuvres entreprises. Toutes choses qui scellent le sort de l’alternance pacifique au pouvoir qui est un principe démocratique et jettent un voile noir sur le futur du pays. Il y a un réel danger qui plane à l’horizon Mgr Nicodème Barrigah, Robert Whitehead, et derrière eux, les diplomates accrédités au Togo et les partenaires en développement dont l’Union européenne qui étaient cautions solidaires de ces discussions de dernière minute et des pourparlers ayant abouti à l’Apg, afin de sauver le pouvoir de Faure Gnassingbé, sont interpellés. Ils devront intervenir pour ramener le prince de la République à la raison, car il y a un véritable danger à l’horizon. Et leur responsabilité est aussi engagée.

 

Tino Kossi

Liberté N° 1648 du Lundi 03 Mars 2014

TOGO L'Eni cerca petrolio offshore in Togo.

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L'Eni cerca petrolio offshore in Togo.

L'Eni cerca petrolio offshore in Togo.



La globalizzazione e la battaglia per le risorse tra le multinazionali prendono complicate e inaspettate strade.
Mentre le multinazionali petrolifere australiane cercano di colonizzare con le loro piattaforme offshore il mare tra Linosa e Pantelleria e le coste africane, le nostre multinazionali continuano ad espandersi nel Golfo di Guinea, in una parte di Oceano Atlantico che è considerata ormai stabilmente inquinata a livelli che fanno impallidire la marea nera provocata dall'affondamento della piattaforma Bp nel Golfo del Messico.

La concorrenza è sempre più forte e le risorse sempre più limitate ed ambite, tanto che diventa preziosa anche la minuscola fascia costiera di un piccolo Paese come il Togo e che, per farsi spazio, le democratiche imprese italiane facciano con regimi discussi ed autoritari come quello del presidente togolese Faure Gnassingbé (rieletto tra accuse di brogli e scontri di piazza) le stesse ciniche cose delle quali accusiamo le spregiudicate imprese di Stato cinesi, riporta il sito internet greenreport.

Nella serata di ieri un comunicato dell'Eni informava che «Il ministro dell'Energia e delle Risorse minerarie del Togo Dammipi Noupokou e l'amministratore delegato di Eni Paolo Scaroni, insieme al direttore generale Eni E&P Claudio Descalzi, hanno firmato oggi due contratti per l'esplorazione e la produzione di idrocarburi nell'offshore togolese. Questi accordi sanciscono l'ingresso di Eni nel Paese.

Durante la cerimonia, che si è svolta alla presenza del Presidente della Repubblica del Togo Faure Gnassingbe, è stato illustrato il ruolo di Eni nella valorizzazione delle potenziali risorse di idrocarburi del Paese, così come il modello di cooperazione applicato con successo negli altri Paesi della regione in cui Eni opera da tempo. La firma dei contratti permetterà a Eni, operatore dei blocchi 1 e 2 con una partecipazione del 100%, di effettuare tutti gli studi necessari per valorizzare l'area situata nel Dahomey Basin, una regione scarsamente esplorata del Golfo di Guinea e confinante a Ovest con il Tano Basin, dove si sono già avute significative scoperte e dove Eni è già presente».

Poi la nostra multinazionale ci informa che «Con questa operazione Eni consolida la sua leadership nella regione subsahariana, dove è già presente in Nigeria, Repubblica del Congo, Ghana, Angola, Repubblica Democratica del Congo e Mozambico con una produzione operata complessiva di 450.000 barili di olio equivalente al giorno e un'attività esplorativa in forte crescita. In questa regione Eni è inoltre impegnata nella formazione del personale locale e nella realizzazione di numerosi progetti sociali, sanitari, agricoli e di conservazione dell'ambiente anche mediante la produzione di energia elettrica da gas».

Insomma, quando su greenreport vi informiamo sulla "maledizione del petrolio" che ha colpito questi Paesi, quasi tutti a basso tasso di democrazia e ad alto tasso di corruzione (quando non con guerre civili ed etniche in corso), bisogna pensare che anche le nostre aziende stanno facendo la loro parte, a volte con una buona dose di pelo sullo stomaco.

D'altronde il regime di Faure Gnassingbé il giorno prima della firma dell'accordo con l'Eni aveva emesso un comunicato del Consiglio dei ministri che lo annunciava: «Il Togo pensa di riprendere l'esplorazione petrolifera e di conferire a delle società straniere il compito di realizzare delle trivellazioni offshore. Il ministro delle miniere e dell'energia, Noupokou Damipi, è stato incoraggiato a proseguire le discussioni ed a firmare, se è il caso, dei contratti di partnership». Damipi aveva già la penna pronta per firmare l'accordo con gli italiani.

Per la sua avventura petrolifera il Consiglio dei ministri del Togo parte da alcune domande: «C'è del petrolio nel sottosuolo togolese? E in che quantità e a quale profondità? Sono altrettanti elementi che determineranno l'interesse delle compagnie straniere. Dei segnali spingono ad un prudente ottimismo». Infatti il vicino Ghana ha deciso di proseguire l'esplorazione sulla costa est, in prossimità della frontiera col Togo.

Secondo la rivista Bloomberg Business Week, che ha dato l'informazione a giugno, "Il bacino di Keta, che sarà esplorato, si estende dalla città di Accra fino alla frontiera col Togo¨. Diverse compagnie vogliono partecipare alle trivellazioni ed agli studi sismologici tra le quali l'australiana Tap Oil, l'americana Afex e la società pubblica Ghana National Petroleum Company. I risultati sono particolarmente attesi dal regime del Togo perché se verranno scoperte riserve nella zona frontaliera, potranno autorizzare trivellazioni alla ricerca di petrolio anche in questa zona, e aprire tasche e cassaforti per far entrare i petrodollari.

Il Togo però ha qualche problema di democrazia su cui tutti sorvolano: proprio in questi giorni il consiglio di amministrazione dell'Extractive industries transparency iniziative (Eiti) riunito fino al 20 ottobre a Dar-es-Salaam, in Tanzania, doveva decidere se accettare come candidato (quindi non ancora come membro) il Togo che solo in quell'occasione si è impegnato a pubblicare tutti i pagamenti delle sue industrie estrattive. Il piccolo Paese africano attualmente esporta fosfato, calcare ed è in attesa di esportare ferro, oro e marmo, oltre naturalmente il petrolio che l'Eni spera di trovare al largo delle sue coste.

L'Eiti è una coalizione di governi ed imprese di Ong, investitori e organizzazioni internazionali che vigila sulla qualità della governante nei Paesi ricchi di risorse, attraverso verifiche e la pubblicazione completa dei pagamenti effettuati dale imprese e delle entrate percepite dai governi provenienti da petrolio, gas e minerali.

Però, a scorrere i nomi dei Paesi aderenti e candidati non sempre (anzi quasi mai) la trasparenza fa rima con democrazia e diritti umani e dei lavoratori e tutela


TOGO La Francia a caccia di risorse fa affari con i dittatori come Gnassingbe

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La Francia a caccia di risorse fa affari con i dittatori


L’Onu autorizza l’intervento militare nel caos sanguinoso della Repubblica Centrafricana [6 dicembre 2013] diUmberto Mazzantini A 6 mesi dall’intervento in Mali, ieri il Consiglio di sicurezza dell’Onu ha adottato la risoluzione presentata dalla Francia per intervenire nella Repubblica Centrafricana, mentre a Bangui gli scontri tra i miliziani nuovamente ribelli della Séléka si scontravano con i fedeli dell’ex presidente Francois Bozize e i gruppi di autodifesa “cristiani”. La capitale centrafricana annega nel sangue di quella che, da sedizione e golpe di milizie, sta diventando un conflitto etnico-religioso che non risparmia chiese e moschee. A Bangui ci sono già soldati francesi in azione ed altri ne arriveranno, invocati dal presidente golpista Michel Djotodia, a rimpolpare la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (Misca) che ha dimostrato tutta la sua impotenza. ADVERTISEMENTTutto questo avviene proprio mentre a Parigi si apre il Sommet de l’Elysée sur la paix et la sécurité en Afrique, il primo vertice Francia–Africa organizzato sotto la presidenza di François Hollande, che molte Ong hanno subito ribattezzato il summit della vergogna. In un incontro precedente con i presidenti senegalese Macky Sall, ivoriano Alassane Outtara e tanzaniano Jakaya Kikwete, Holland ha detto che la Francia vuole raddoppiare gli scambi commerciali con l’Africa ed anche gli aiuti destinati al continente: «20 miliardi di dollari potrebbero così essere messi a disposizione dei provetti di sviluppo nei prossimi 5 anni, contro i 10 miliardi tra il 2008 e il 2013. Al centro del nuovo partenariato dovrebbero esserci la formazione professionale e la condivisione di tecnologie». Nel 2014 dovrebbe essere istituita una “fondation franco-africaine pour la croissance”. Ma Hollande viene accusato da Ong africane e francesi come Survie, Afriques en lutte, La Fédération des Congolais de la Diaspora, Sortir du Colonialisme, di seguire le orme neocolonialiste dei suoi predecessori e di considerare l’Africa come un’area che non può sfuggire all’influenza francese. Quel che è sicuramente vero è che a Parigi sono presenti tutti quei dittatori dai quali in campagna elettorale Holland aveva detto che bisognava prendere le distanze. Come il ciadiano Idriss Déby, al potere dal 1990, Paul Biya del Camerun, in sella dal 1982), Denis Sassou Nguesso, che comanda in Congo, prima come marxista-leninista e poi come liberista dal 1979, Blaise Compaoré il presidente del Burkina Faso, al potere dal 1987 grazie all’assassinio di Thomas Sankara. Poi ci sono i presidenti per diritto ereditario, come Ali Bongo Ondimba in Gabon e Faure Essozimna Gnassingbé nel Togo o il presidente di Gibuti Oumar Guelleh. Tutta gente che come minimo ha truccato le elezioni e che comunque ha continuato a beneficiare del sostegno diplomatico, economico e militare della Francia. Tutti questi non proprio raccomandabili signori sono stati in pellegrinaggio all’Eliseo almeno una volta dopo l’elezione di Hollande, tutti sostengono la Francia nei suoi interventi militari in Africa, dove dispone di basi militari e di truppe pronte ad intervenire, come accaduto recentemente in Mali e ora nella Repubblica Centrafricana. E’ anche vero che di fronte alle violazioni dei diritti umani ed alle stragi l’intervento dei Francesi viene spesso invocato dalla comunità internazionale e dagli stessi africani, ma è anche vero che è anche lecito chiedersi come mai più di 50 anni di neocolonialismo francese in Africa abbiano prodotto questa situazione di eterna instabilità nei Paesi francofoni fedeli alleati di Parigi. Viene anche da chiedersi perché il presidente socialista della patria dei diritti umani non ascolti le grida dei democratici ciadiani, togolesi, burkinabe e gibutiani e di chi non pensa che Stati poverissimi debbano dissanguarsi per sostenere l’operazione Serval in Mali. Quella riunita a Parigi è nuovamente la faccia peggiore della Françafrique, a quel summit che dovrebbe essere di pace partecipano gli autori di numerose violazioni dei diritti umani documentate in molti rapporti. Françafrique rivela, dietro il viso bonario di Hollande, il suo vero volto fatto di sostegno ai dittatori, vendita d’armi, interventi militari noti e segreti per sostenere regimi che niente hanno fatto per migliorare le condizioni di vita dei loro popoli. La Repubblica Centrafricana è forse l’esempio più lampante del fallimento di Françafrique, con Parigi che ha sostenuto tutti i dittatori che hanno sbranato questo sfortunato Paese ricchissimo di risorse, ridotto ormai ad uno Stato fantasma dove ogni pietà sembra morta. Ed anche gli interventi “umanitari” e per ripristinare o installare un regime democratico, come quelli in Costa d’Avorio, Libia e Mali, nel contesto di Françafrique mostrano tutta la loro ambiguità ed il loro legame con gli interessi geostrategici e per le risorse della Francia. Il 4 dicembre il tribunal citoyen de la Françafrique ha fatto il bilancio di 50 anni di Françafrique e di interventi francesi sul suolo africano, per capire le cause e le responsabilità su temi come la sicurezza/insicurezza e kla pace/guerra negli ultimi 15 anni trascorsi dal Sommet France-Afrique du Louvre. Ieri a Parigi una manifestazione convocata da numerose Organizzazioni francesi ed africane ha chiesto l’annullamemnto del summit Francia-Africa; la fine del sostegno diplomatico, economico, militare e poliziesco e delle vendite di armi ai regimi repressivi; la soppressione delle basi militari francesi in Africa. Le Monde fa però notare che sono proprio le crisi africane a vanificare la volontà di rottura con il passato espressa da Hollande riguardo alle relazioni della Francia con l’Africa e sono stragi come quella in atto in Centrafrica a richiamare i francesi al loro ruolo di gendarme. Così Hollande è vittima degli stessi “dinosauri africani” che voleva combattere e l’atto di morte di Françafrique non pouò essere firmato. Come spiega il senatore francese Jean-Marie Bockel, «Quando la Francia interviene in Mali e nella Republica Centrafricana, è in un quadro che non ha più nulla a che vedere con quello che conoscevamo: è quel che ci si aspetta in Africa ed il processo si iscrive in un format multilaterale. La scelta è poco contestata». Anche se volesse probabilmente Hollande non potrebbe permetterselo, la Francia ha perso terreno nei mercati africani e per questo a Parigi più che alla pace pensa ad un nuovo partenariato economico con le sue ex colonie ed a creare una nuova dinamica economica all’interno di Françafrique, con un occhio all’invasione cinese che ha verso i dittatori ancor più pelo sullo stomaco dei francesi. Hollande ha detto che questo nuovo partenariato dovrà fondarsi su tre principi: «Co-localizazione industriale, trasparenza, impegno duraturo». Il contrario di quella che è stata fino ad oggi Françafrique.
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