TOGO ABASS KABOUA CST à Liège Belgique le 15 juin 2014

TOGO Corruption au sein de l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC) ?

~~La société aéroportuaire de Lomé-Tokoin (SALT) qui gère l’aéroport international de Lomé a reçu vendredi, le certificat d’aérodrome qui lui confère un titre d’aéroport sûr, de sources proches de l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC), ce samedi à Lomé. Cette certification qui récompense les efforts du Togo en matière de sûreté aéroportuaire, réjouit le directeur de l’aviation civile du Togo, le Colonel Gnama Latta, qui soutient que Lomé opte pour «zéro accident» d’avion. Cette certification est valable pour trois ans. De sources proches de l’ANAC, l’aéroport de Lomé est le premier dans la Zone ASECNA à recevoir cette certification.

~ASKY Airlines (KP, Lomé) says it is open to offers from investors and organizations interested in acquiring a stake in the carrier.

Last week, South Africa's BusinessDay newspaper claimed SAA had considered acquiring a stake in the Togolese carrier with plans to relocate its hub from Lomé to Accra. “Any purchase of shares is highly welcome by any individual or organization,” ASKY spokeswoman, Traoré Afsath, told Bloomberg newswire, concerning the report. SAA is now reportedly in talks with Ethiopian Airlines (ET, Addis Ababa), which owns a 40% stake in the Togolese-based airline. Established in 2009, ASKY is a profitable joint venture between Ethiopian Airlines and various West African banks and private investors. Serving over 23 destinations scattered throughout West and Central Africa, the carrier has now set its sights on launching long haul flights with Johannesburg O.R. Tambo and Beirut flights on the cards. For its part, the struggling South African national carrier has pointed to an increased African presence as the panacea to its financial woes. As part of its latest turnaround strategy - its ninth - SAA says an increased West and Central African presence will allow it to compete more effectively with its fellow African rivals Kenya Airways (KQ, Nairobi Jomo Kenyatta), Ethiopian, EgyptAir (MS, Cairo Int'l), and Royal Air Maroc (AT, Casablanca Int'l). However, the carrier's record in the joint-venture department has been less than stellar. In 1995, SAA, in conjunction with the Tanzanian and Ugandan governments, their respective national carriers Air Tanzania (TC, Dar-es-Salaam) and Uganda Airlines (QU, Entebbe/Kampala), and various private east African investors, moved to establish a new long-haul carrier Alliance Air (Uganda) (Y2, Entebbe/Kampala), which offered flights between Europe and East Africa using a leased SAA B747SP. The venture collapsed just four years later having racked up debts totalling USD50million. Then, in 2002, SAA acquired a 49% stake in Air Tanzania only for that venture to collapse in 2006 again on the back of heavy sustained losses.

TOGO ASKY/SAA Tout achat d'actions est très bien accueillis par toute personne ou organisation," porte-parole ASKY, Traoré Afsath

~~ASKY Airlines (KP, Lomé) se dit ouvert à des offres des investisseurs et des organismes intéressés par l'acquisition d'une participation dans le transporteur. La semaine dernière, le journal BusinessDay de l'Afrique du Sud selon ASA a examiné l'acquisition d'une participation dans le transporteur togolaise avec des plans pour délocaliser son hub de Lomé à Accra. "Tout achat d'actions est très bien accueillis par toute personne ou organisation," porte-parole de ASKY, Traoré Afsath, a déclaré à Bloomberg fil de presse, au sujet du rapport. SAA est maintenant en pourparlers avec Ethiopian Airlines (ET, Addis-Abeba), qui détient une participation de 40% dans la compagnie aérienne basée à togolaise.

L'aéroport de Lomé est mort né avant d'ouvrir._

~~Mike Brown, le directeur général de Nedbank, fait savoir que son institution comptait faire preuve de «prudence» en ce qui concerne l’exercice de son option, suite à la grave crise de gouvernance qui a frappé le groupe bancaire panafricain.

~~(Agence Ecofin) - Le capital du groupe bancaire panafricaine Ecobank Transnational Incorporated devrait augmenter de 4,9% à partir du premier juillet 2014, après qu'aura été réalisée la conversion en nouvelles actions, des prêts à lui consentis par deux fonds appartenant à la Société Financière Internationale (SFI), a-t-on appris d'un communiqué publié par le groupe sur les différents marchés financiers où il est cotée. Les prêts obtenus par ETI, de Capitalization (Equity) Fund L.P. et IFC ALAC Holding Company II, respectivement de 56,38 millions $ et 18,79 millions $, seront convertis dans le même ordre, en 628 742 514 et 209 580 838 actions nouvelles qui seront émises et totalement libérées par le groupe financier présent dans plus de 30 pays en Afrique. On peut dès lors, comprendre l'ordre du jour, de l'Assemblée générale extraordinaire d'ETI convoquée en marge de son AG annuelle prévue le 30 juin prochain, et dont l'unique résolution annoncée, porte sur la modification de certains termes de la participation au sein du groupe. Avec cette opération, Ecobank réduit surtout son exposition aux créances convertibles, de 75,18 millions $. Il est cependant difficile de dire si cette décision de la SFI aura un effet déclencheur chez Nedbank, quatrième banque d'Afrique du sud et détenteur d'un crédit convertible de 285 millions $ octroyé en 2011, au groupe financier basé au Togo.Le 16 mai dernier, Mike Brown, le directeur général de Nedbank, fait savoir que son institution comptait faire preuve de «prudence» en ce qui concerne l’exercice de son option, suite à la grave crise de gouvernance qui a frappé le groupe bancaire panafricain. Nedbank a jusqu'en fin novembre 2014 pour se décider. Pour ce qui est des nouvelles actions émises dans le cadre de la conversion des prêts SFI, elles seront cotées sur les trois places financières où le groupe est présents, notamment le Ghana Stock Exchange, le Nigeria Stock Exchange et la Bourse Régionale des Valeurs Mobilière de l'UEMOA

~~TOGO ALERT Expected increase of Ecobank capital by conversion of claims Mike Brown, CEO of Nedbank, said that his institution had to exercise "caution" with regard to the exercise of its option, following the serious governance crisis that hit the Pan-African banking group.

TOGO Mauvaise gouvernance de l'Etat togolais, son économie viable dépecée par les forts Ghana, Nigeria, AFS

La banque ECOBANK ayant son siège à Lomé, la compagnie aérienne ASKY idem sont les derniers bijoux de famille (Gnassingbé) qui vont changer de mains (capital) et de lieu géographique: pour ASKY ce sera Accra au Ghana et pour ECOBANK , Abuja au Nigéria !

C'est le résultat de l'incurie généralisée depuis plus de 50 ans de la mafia Gnassingbé père et fils au Togo: Corruption endémique, trafics en tout genre, politique sans aucune vision, investissement frénétique d'éléphants blancs", incompétence totale du régime...

Le Togo a été vendu aux intérêts étrangers depuis belle lurette, il ne restait que ces 2 joyaux créés par le génie de quelques togolais qui hélas viennent de se faire une seconde fois "voler" leurs bébés...

Les togolais doivent savoir que leur pays va s'écrouler car l'ossature de son économie est basée à plus de 75% de financement du crime.

C'est la dernière étape qui vient, de la guerre souterraine qui prévaut dans cette latitude depuis plus de 50 ans où le crime a digéré tous les pans de l'économie, de la politique etc...

Il faut dès à présent des femmes et des hommes courageux pour "nettoyer" le coin puis pour construire un pays enfin "viable" après la mort de la mafia Gnassingbé._

Vive le grand nettoyage togolais !

Mathieu Cichocki PEUPLES OBSERVATEURS Dankpen, le 12 juin 2014

~~TOGO Poor governance of the Togolese State, his dismembered by strong viable economy Ghana, Nigeria, AFS

Ecobank bank based in Lomé, the airline ASKY idem are the last family jewels (Gnassingbe) who will change hands (capital) and geographic location: it will ASKY to Accra in Ghana and Ecobank, Abuja, Nigeria ! This is the result of the widespread neglect for more than 50 years of mafia Gnassingbé father and son in Togo: Endemic corruption, trafficking of all kinds, without any political vision, investment frenzy "white elephants" d, total incompetence of the regime ... Togo has been sold to foreign interests for a long time, there were only these two jewels created by the genius of some Togolese unfortunately come to be again "steal" their babies ... Togolese must know that their country will collapse as the backbone of its economy is based on more than 75% financing of the crime. This is the last step comes from the underground war that prevails in this latitude for over 50 years where the crime has digested all sectors of the economy, politics, etc ... It now brave women and men need to "clean up" the area and to build a country finally "viable" after the death of the mafia Gnassingbé._ Long live the great Togolese cleaning!

Mathieu Cichocki Peuples Observateurs Dankpen , June 12, 2014

TOGO Confidentiel: L'économie togolaise gangrénée par plus de 75% de fonds douteux !

~~Confidential TOGO: Togo's economy infested with more than 75% of suspicious funds!

~~Togo Le député Targone de Danpken arrêté dimanche dernier, sur instigation d'un préfet, provisoirement libéré à Lomé.

Le Député Targone Sambiri du PDP arreté manu militari dimanche vient de bénéficier d'une liberté provisoire, contacté au téléphone l'intéressé dit que ses détracteurs ont réduits leurs charges contre sa personne à trois et vont poursuivre l'enquête

Ferdinand Ayité

~~TOGO : Faure Gnassingbé et sa bande de criminels

Il est temps que ce qui on prit le peuple togolais en otage depuis plus de 50 ans, doit savoir que ça suffit. Faure Gnassingbé, chef de l’Etat, sa bande d’incompétent voleur, pilleur et ceux qui sont à la tête des institutions de la république font la honte du pays. Comment peut-on comprendre que sans investigation, enquête préalable et vérification des faits, on enlève avec fantaisie et à la halte l’immunité du député Targone Sambrini N’wakin, et on va l’arrêter à son domicile le dimanche 08 juin 2014. Tout ça par la volonté du Colonel Dadja Maganawé, qui est un préfet depuis plus de 12 ans à Danpken et qui sème des ordres et des crimes sans impunité. C’est ce Colonel préfet qui a monté des fausses accusations contre le député Targone Sambrini, tout simplement parce que ce dernier est de l’opposition. En tout 8 griefs égrenés de plainte contre le député. Au lieu que la justice fait d’abord son enquête, elle saisie Drama Dramani, président de l’Assemblée Nationale qui par le passé avait volé lui-même l’argent de RPT et mit dans son fosse septique chez lui à la maison. Par un coup de baguette magique, le doyen des juges d’instructions en est revenu à 3 charges contre le député Targone, puis remis en liberté provisoire et placé sous contrôle judiciaire. Le député va devoir reprendre son siège à l’Assemblée Nationale, en attendant un jour si un procès aura lieu dans cette affaire monté de toute pièce par le Colonel Dadja Maganawé, préfet de son état et en complicité avec Barry Moussa Barqué l’éternel ministre conseiller du père au fils. Encore une énième fois Faure Gnassingbé et sa bande ont montré au peuple togolais et au monde entier leurs tares. Honte à vous. Journal La Nouvelle

~~Trois faits majeurs troublent le sommeil du tyran Faure Gnassingbé

par TOGO INFOS

Le fait pour le fils dégénéré du feu général de vouloir s’accrocher indéfiniment au pouvoir ne vient pas du néant, il tient de plusieurs faits et ratés qui perturbent sérieusement le sommeil de ce dernier. Certes, l’homme qui au départ jouait à l’innocent et au félin, a fini par prendre un goût inassouvissable au pouvoir au point de se délecter, autant que possible, de ses délices et privilèges sans retenue. Mais ce n’est pas tout. Au-delà de cette jouissance pleine et entière, le Prince a en réalité peur de lâcher le pouvoir à cause notamment d’au moins trois faits scandaleux. Le premier tient des évènements de 2005 consécutifs à son arrivée forcée au pouvoir. En effet, suite au triple coup de force opéré à la fois par l’armée et par l’Assemblée Nationale monocolore d’alors pour l’imposer de go dans le fauteuil de son père défunt, des actes graves et imprescriptibles avaient été posés par l’armée et les milices du pouvoir qui ont fini par décimer la vie de près de 500 citoyens togolais et engendrer plus de 40 mille exilés hors de nos frontières. Ces actes graves ont été dûment consignés dans des rapports dressés à l’époque par les Nations-Unies et la commission Koffigoh d’alors. De toute évidence, ces faits risquent de le rattraper une fois hors du pouvoir, du fait qu’il en a été l’unique et principal bénéficiaire. Il faudra alors qu’un jour ou l’autre il réponde de ces faits surtout que jusqu’à présent, il n’a pas trouvé le moyen de mettre en œuvre les recommandations de la CVJR qui pourraient, d’une manière ou d’une autre, atténuer la colère des familles des différentes victimes de l’époque. Le deuxième fait qui perturbe sérieusement le sommeil du dictateur est lié à l’affaire d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat. En effet, lorsque les éléments de Félix Katanga, à l’époque patron de la Force d’Intervention Rapide avaient pris position au domicile de Kpatcha Gnassingbé, le projet était d’éliminer purement et simplement ce dernier. Les obus et autres armes de guerre tirés directement sur le domicile de celui-ci en sont la preuve. Heureusement que très tôt, Rock Gnassingbé, un autre fils du père défunt a su extirper Kpatcha Gnassingbé et sa famille de la maison. Par la suite l’arrestation et le rocambolesque jugement de Kpatcha Gnassingbé et coaccusés qui ont abouti à leur incarcération dans de différentes prisons du Togo n’ont rien réglé de cette affaire, surtout qu’il est aujourd’hui avéré que nombre de ces accusés ont été abondamment torturés pendant leur détention à l’agence nationale de renseignement (ANR). Et Faure sait très bien que la torture est un crime imprescriptible qui peut le rattraper à tout moment. Pire, le tyran a même du mal à libérer ceux-ci malgré l’arrêt rendu l’année dernière par la Cour de Justice de la CEDEAO intimant l’ordre à l’Etat du Togo de prendre toutes les mesures urgentes et nécessaires pour mettre fin à la violation du droit de ces derniers à un procès équitable. Au final, l’on retient que tôt ou tard, Kpatcha Gnassingbé qui a eu l’heureuse chance d’avoir échappé à ce projet de meurtre contre sa personne, aura à demander des comptes à son frère. Ce n’est même pas tout, Faure devra aussi rendre compte à ce dernier et à ses frères de la gestion opaque qu’il est en train de faire de l’immense héritage laissé par leur père défunt. Pour l’instant, il échappe à cette contrainte du fait qu’il est dans le trône et étouffe toute velléité de revendication venant de ces derniers. Tout compte fait, il devra un jour ou l’autre se soumettre à cet exercice dès que les manettes du pouvoir vont lui échapper. Dernier fait sérieux qui donne du tournis à Faure Gnanssingbé reste l’affaire Bodjona, une affaire à la fois immorale, indécente, lâche et irresponsable que le tyran et ses sbires ont monté de toutes pièces pour démolir le redoutable homme politique qui a tout donné pour offrir une présence et un visage humain au pouvoir que Faure incarne aujourd’hui. Qui l’aurait cru !!! Qui aurait cru que Faure Gnassingbé, un néophyte en politique dont les doigts brûlaient de toutes parts en 2005 et qui a été sauvé de bout en bout par le fils de Kouméa allait oser 7 ans après, initier un projet aussi lugubre qu’abscond contre ce dernier en vue de le neutraliser politiquement !!! Finalement, ce combat de David et Goliath que le Prince a cru devoir enclencher constitue aujourd’hui une grosse arrête dans la gorge de ce dernier. Le coup a littéralement raté. Pascal Bodjona a su démontrer avec élégance et éloquence que loin d’être une affaire de droit commun, cette fameuse et hideuse affaire d’escroquerie internationale dans laquelle le palais de la Marina a cru devoir l’impliquer, n’était rien d’autre qu’un projet immoral visant sa démolition politique. Mieux, un des principaux concernés par cette affaire, Loïck Le Floch-Prigent a systématiquement éventré ce projet en mettant à la place publique, toutes les demandes malsaines qui lui ont été adressées, pendant qu’il était devant les larbins de juges à Lomé, pour qu’il décrète l’implication forcée de Akoussoulèlou Bodjona dans cette ignoble affaire. Non seulement il a étalé tout cela sur les principaux médias en France, mais il a aussi pris soin de consigner tous ces faits dans un livre dûment écrit, Le Mouton Noir, qui fait aujourd’hui partie de ses best-sellers. Qui dit mieux ? Qui dit que Dieu est sourd et muet et qu’il n’agit guère ? Mais alors, que fera Faure Gnassingbé pour réparer ce lourd tort causé injustement à Pascal Bodjona qui l’a fabriqué de toutes pièces pour faire de lui ce qu’il est aujourd’hui ? Lui et son pouvoir devront, d’une manière ou d’une autre payer le prix de cette ingratitude flagrante manifestée à l’égard du fils du feu Antoine Lébilaki Bodjona. Au total, tous ces faits dont nous venons de faire état ne rassurent guère le dictateur. Et pendant qu’il n’en a pas encore trouvé une solution, il préfère alors utiliser le pouvoir comme une couverture et un instrument de protection qui le dédouane des comptes qu’il devra faire. Mais ce sera jusqu’à quand ? L’intelligence et le bon sens ne voudraient-ils pas qu’il profite plutôt de sa position actuelle pour réparer tous ces torts ? Malheureusement, à l’opposé de l’esprit, l’orgueil et le complexe, propres à la chair, l’empêchent manifestement de s’activer dans ce sens.