~Togo - Alors qu’on croyait que le différend entre le ministère des Sports et des Loisirs et la Fédération Togolaise de football réglé avec l’intervention du Premier ministre, Arthème Ahoomey-Zunu et la mise sur pied d’un nouveau comité technique, pour reprendre à zéro la phase des interviews avec les postulants retenus lors de la présélection (Didier Six, Tom Saintfiet, Tchanilé Tchakala, Hubert Velud et Jean Paul Abalo Dosseh), la nomination du nouveau sélectionneur des Eperviers du Togo semble avoir de nouveau pris un coup ces derniers jours. A l’origine du nouveau blocage, le choix effectué par le comité technique. Selon les informations reçues de sources généralement bien informées, c’est le Togolais Tchanilé Tchakala qui a d’ailleurs rendu son rapport à la Primature. Un choix qui ne requiert pas l’assentiment au sommet de l’Etat qui préférerait un sélectionneur neutre après les empoignades qui ont opposé les membres du Comité technique mis en place par le ministère des Sports et des Loisirs. Prendre Tchanilé Tchakala ou Jean Paul Abalo Dosseh, ce serait la victoire d’un camp sur l’autre et les crocs-en-jambes se multiplieront. Mais les membres du Comité ne démordent pas et comptent rallier le sommet au choix de Tchanilé Tchakala en invoquant l’urgence de disposer d’un sélectionneur, de surcroît togolais, qui connaît bien la maison, afin de maximiser les chances du Togo lors des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations, Maroc 2015. Selon nos informations, le Togolais Tchanilé Tchakala était en tête avec une moyenne de 18 sur 20, suivi du Belge Tom Saintfiet et d’Abalo Dosseh. Néanmoins, l’ex capitaine des Eperviers n’a jamais dirigé une sélection nationale comme l’exigeait l’un des critères de l’appel d’offre. T.L /L’Equipe Sportive N°180 (Telegramme228) Source : | Telegramme228
TOGO Choix d’un sélectionneur pour les Eperviers / Comité technique.Nouveau blocage à l’horizon!
TOGO ALERTE ASSASSINAT de Ayité Garba, dit « Hanger » tirs dans le dos par les gendarmes d'Aného
~Togo - Des gendarmes « agissant dans le cadre d’une opération de police judiciaire », ont tiré à balles réelles sur un individu nommé Ayité Garba, dit « Hanger » appartenant selon le ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, Damehame Yark, à un réseau de braqueurs opérant dans la préfecture des Lacs. Ce dernier, selon un communiqué dudit ministre, a succombé des suites de ses blessures à l’hôpital d’Aného (40 km à l’est de Lomé) et les gendarmes ayant tiré ont été mis aux arrêts. A la suite de deux braquages, l’un opéré dans la journée du 31 mars 2014 à Kpogan à Agbodrafo par deux individus armés « d’un fusil d’assaut » et le second dans la nuit du 4 juin 2014 dans un quartier d’Aného, braquage qui s’est soldé par le vol d’une moto « Hoajin » appartenant à une coiffeuse du nom de Ayélé Juliette Ajavon, le nommé Ayité Garba a été « clairement identifié ». « C’est ainsi que dans le cadre des investigations en cours, la brigade de gendarmerie de la ville d’Aného, a réussi à localiser et interpeller le mercredi 11 juin 2014 ce dernier. Une opération de perquisition conduite à son domicile à Kpogan, sur instruction du procureur de la République près le tribunal d’Aného, a permis d’y découvrir la somme d’un million 198 140 francs CFA dissimulés dans un pneu. Confondu par les faits, notamment cette découverte d’argent, l’intéressé a dû avouer son appartenance au réseau de malfaiteurs confirmant ainsi toutes les allégations qui pèsent sur lui », dit le communiqué. Celui-ci, après avoir promis aux forces de sécurité de leur montrer les lieux où lui et le reste de sa bande cachaient leurs armes, il a tenté de fuguer, dit le colonel Damehame Yark avant d’ajouter qu’après l’avoir sommé de s’arrêter sans y parvenir, les gendarmes ont tiré sur lui et l’ont atteint à la hanche. Telli K. Source : | AfreePress
TOGO ASSASSINAT GABA :en principe, le présumé malfaiteur devrait être menotté. l'était-il?
TOGO ASSASSINAT de Garba ou Gaba ?
~chaque fois que ce ce ministre ouvre la bouche, c'est pour sortir des mensonges. et pourtant il paraît qu'il fait ses prières quotidiennes! si un individu, identifié, est en train de s'enfuir, est-on obligé de tirer sur lui au point de le blesser mortellement? en principe, le présumé malfaiteur devrait être menotté. l'était-il? si oui, comment quelqu'un aux membres supérieurs entravés pouvait-il échapper à des gendarmes? sinon, pourquoi ne lui a t-on pas mis les menottes? un malfaiteur reste un être humain qui doit être arrêté et mis à la disposition de la justice. pourquoi avoir abrogé la peine de mort?
Almadies
~Toi ministre yark tu est un grand menteur si je te vois apparaître a la rélévision je me rappelle du ministre irakien de l information et toi Yark es tu différent ?
Avec l affaire d incendie,des trafiquants d essence de Bassar... Monsieur tu fais la honte des Togolais arrêter vos comédies! Le monde évolue car maintenant il y a whatsapp, Facebook, viber,Skype et autre
.pardon Monsieur Yark tu est grand pour fait toujour cette comédie !
Le peuple Togolais est mûrs pour croire encore cette comédie a la kokouvito
HABAME
TOGO ASSASSINAT DE GARBA OU GABA à Aného par les milices de Gnassingbé?
TOGO ASSASSINAT DE GARBA OU GABA à Aného par les milices de Gnassingbé?
~Je pense vous devez revoir le nom du braqueur. Soit il s'appelle Ayité Gaba ou pas du tout car le Garba est souvent porté par des Nigérians ou Nigériens. Ayité est le premier fils d'une famille Guin/Mina.
TOGO Dramatik Yark devrait être démis, jugé et placé en détention
~Oui ce monsieur est un grand menteur. la question qui se pose est que,pourquoi il ment toujours et toujours !!?? voici une indice du monsonge de Yark ! un malfrat arreté qui veut montrer aux forces de l´ordre leur cache d´armes ou de butins ,dans aucun pays du monde n´est jamais laissé les libres.il est soit il a les mains ménottées par devant ou par derriere. personne ne peut courir les mains ménottées. meme si elle tente de courir, il ne fera pas deux metres avant d´etre ratrapper, donc l´usage d´une arme dans ce cas n´est oas necessaire donc un abus ! Yark veut-il nous dire que le malfrat n´était pas ménotter ? et pourquoi ?
NESTA
Dramatik Yark à la tête d'éléments incontrôlés, de trafics de stupéfiants ainsi que d'attentats notamment du restaurant Okavango, des lycées français et du CCF de Lomé...
TOGO Médias au Togo Les états généraux de la presse organisés sur fond de marginalisation et de mépris .
~~Médias au Togo Les états généraux de la presse organisés sur fond de marginalisation et de mépris .
Ces assises ressemblent plus à une propagande politique qu’à une volonté de régler les problèmes Les fameux états généraux de la presse togolaise se tiendront du 30 juin au 2 juillet prochain à Kpalimé. Et dans cette optique, il est tacitement interdit à tous les professionnels des médias de « critiquer pour critiquer », quitte à être drainés tous à c es assises comme les moutons du Niger. Mais vu ce qui se passe du côté du ministère de la Communication où la marginalisation et le mépris sont devenus la norme, il y a lieu de faire sauter le verrou de l’omerta. Ces états généraux tels qu’ils sont organisés, s’apparentent plus à une propagande politique qu’à une volonté de régler réellement les problèmes qui se posent à la presse togolaise. Faux départ « Deux écueils à contourner : la parole de trop et le silence de trop. Les deux ont le même effet désastreux », enseigne la poète française, Marie-Josée Christien, dans « Petites notes d'amertume » publié cette année chez « Les Editions Sauvages ». C’est cette leçon qui commande le présent article dont le but est d’amener tous les acteurs à rectifier le tir. Mais connaissant les habitudes de la maison, il n’est pas exclu que les bondieusards de la presse togolaise lancent la fatwa contre nous… Pour rentrer dans le vif du sujet, martelons une fois encore que la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) est une institution de la République au même titre que la Cour constitutionnelle, la Cour suprême ! Elle n’est pas un prolongement du ministère de la Communication. Au Bénin, le Président Thomas Boni Yayi l’a compris quand, à l'occasion de la cérémonie d'échange des vœux de l’année 2013 avec les responsables des institutions de la République, il avait préconisé à la HAAC l'organisation des états généraux de la presse béninoise en vue de l'instauration de l'éthique et de la morale dans le milieu des médias. Là, tout le processus a été conduit de bout en bout par la HAAC, de concert avec toutes les organisations de presse et les différents ministères. C’est pourquoi d’ailleurs elle n’a invité que ses pairs du Niger, de la Cote d’Ivoire, du Ghana, du Burkina Faso et du Togo pour assister aux états généraux qui se sont déroulés du 19 au 21 février dernier à Cotonou. Mais au Togo, les états généraux sont devenus une affaire personnelle de la ministre de la Communication, Mme Kouméalo Anaté. Qu’est-ce qui s’est passé pour que la Professeure à l’université, qui avait déclaré au cours d’un séminaire organisé quelques jours avant sa nomination qu’elle fermerait 80% des médias si elle était présidente de la HAAC, se ravise et s’improvise désormais sauveur de la presse togolaise ? Une question à laquelle on n’aura jamais de réponse. Enigme de Kouméalo donc ! Disons-le, la ministre de la Communication a fait une OPA sur les états généraux de la presse afin de marquer son passage à la tête de ce département. Mieux, elle veut en faire un outil de promotion. Sa modeste contribution au processus d’admission du Togo au Millennium Challenge Account (MAC) cher à Faure Gnassingbé quoi ! De fait, elle crée un comité scientifique dans lequel elle fait appel à ses amis sans associer les premiers concernés, c’est-à-dire les organisations de presse. Tout avait l’air d’une confrérie qui devait faire tomber du ciel les solutions aux problèmes de la presse togolaise. Et ce qui est goguenard, c’est que ce comité scientifique est dirigé par le Vice-président de la HAAC qui est tenu de rendre compte à la ministre. C’est à croire que le Vice-président et les autres membres de la HAAC qui ont rejoint le comité d’organisation mis en place récemment, sont devenus des employés du ministère de la Communication. Mais compte tenu des gros sous mis en jeu – on parle de 150 millions FCFA -, personne n’ose s’opposer à cette dégaine. Marginalisation et mépris « La principale crainte dans la perspective de la tenue des états généraux de la presse, est qu’une partie des acteurs des médias boycotte les assises, sous prétexte de leur marginalisation. Cette crainte est susceptible de faire surface dans le suivi des recommandations si les dynamiques consensuelles et inclusives ne sont pas mises en avant. La conduite des débats des états généraux devra également relever d’une certaine expérience pour que les travaux ne débouchent pas en confrontations entre les clans ou acteurs antagonistes », lit-on au point 2.4 du document élaboré par le comité scientifique. En revanche, ce qui se passe actuellement rame à contre-courant de ces bonnes intentions. La marginalisation et le mépris semblent devenir le credo des organisateurs de cette rencontre. Disons-le, la ministre de la Communication n’a d’yeux que pour le CONAPP et n’hésite pas à confier à des amis qu’elle ne compte que sur cette organisation pour réussir son machin. Elle n’a que faire des autres associations de presse. L’invitation adressée à elles de désigner leur représentant pour le comité d’organisation n’est destinée qu’à donner une certaine légitimité à l’artifice qui est en cours. N’a-t-on pas dit aux représentants des organisations de presse présentes à la réunion d’échange du lundi 12 mai dernier que « le comité préparatoire n’est pas le comité d’organisation » ? Mais à la première réunion de ce comité d’organisation, une scène inédite se produit : le bureau de ce comité est présenté et on demande aux participants si quelqu’un à quelque chose à dire. En clair, le bureau du comité d’organisation n’est qu’un reliquat du comité scientifique qu’on a imposé aux autres. En effet, pour qu’il y ait de la suite dans ce qui est fait jusque-là, il est normal qu’au moins deux membres du comité scientifique fassent partie du comité d’organisation. Mais parmi les cinq membres composant le bureau, il y a trois qui appartiennent au CONAPP. Comme quoi, on n’a que faire de la diversité au ministère de la Communication. Après cette machination, les représentants des autres organisations de presse sont répartis dans les sous-comités de façon mécanique sans l’avis des membres désignés. Propagande politique Les états généraux de la presse togolaise qui sont un décalquage malhabile de ceux organisés par le Bénin, ne changeront fondamentalement rien dans le landerneau médiatique togolais. Le système politique en place reste un obstacle à l’émergence d’une presse professionnelle et indépendante. Les clichés du parti unique et de la pensée unique demeurent intacts chez les affidés du pouvoir. Dans ces conditions, ils ne se gêneront pas pour donner les moyens à la presse. S’ils franchissent le pas, c’est pour conditionner tous les organes à jouer les griots du bord de la lagune de Bê. En octroyant en 2009 une enveloppe de 350 millions FCFA au titre de l’aide de l’Etat à la presse, le chef de l’Etat croyait que tous les médias allaient exclusivement regarder dans sa direction. Mais comme son souhait n’est pas exaucé, il a été décidé de ne plus accorder une enveloppe conséquente à « ces gens-là qui nous insultent ». Oui, c’est avec cette expression qu’on désigne la presse critique vis-à-vis du pouvoir. Depuis, le reste de l’argent est gardé ailleurs pour ne financer que les médias pro RPT-UNIR, les émissions radiotélévisées auxquelles leurs journalistes participent ainsi que leurs voyages. Ces états généraux ne participent donc qu’à une propagande politique dont le but est de faire croire que c’est désormais le grand amour entre les animateurs de la presse togolaise et leur gouvernement. Dès la fin de ces assises, les recommandations et les conclusions seront versées à la commission chargée du processus d’admission du Togo au MCA, et le tour est joué. Pour tout dire, le développement d’une presse plurielle au Togo n’est pas encore la priorité du gouvernement. Et ceux qui croient qu’après ces états généraux, tous les problèmes de la presse togolaise seront résolus et que l’argent de l’aide de l’Etat à la presse sera versé « waaa » sur eux, n’auront que leurs yeux pour pleurer. Affaire à suivre. R. Kédjagni Liberté N°1716 du 12 juin 2014
LA FIN DES ETATS-UNIS ? Paul Craig Roberts: "La Chine menace d’anéantir les Etats-Unis !"
~~ LA FIN DES ETATS-UNIS ? Paul Craig Roberts: "La Chine menace d’anéantir les Etats-Unis !"
Dr Roberts: « Washington met ses bases de missiles anti-balistiques à la frontière de la Russie. Ils affirment que cela est dirigé contre les ICBM iraniens, mais bien sûr, l’Iran n’a pas de missiles balistiques intercontinentaux. Ainsi, les Russes savent que les Américains prévoient une première frappe nucléaire et mettent des systèmes de missiles anti-balistiques en place pour abattre ces missiles en représailles … «Alors que les Russes regardent cet acte de folie de la part du gouvernement des Etats-Unis, les Chinois regardent aussi. En fait, les Chinois ont été si préoccupés par les plans de guerre américains contre la Chine qu’ils ont fait, il y a deux ou trois mois, ce qu’ils ont prétendu être une démonstration de la force de comment les représailles nucléaires chinoises balayeraient les États-Unis. Les Chinois ont dit qu’ils avaient des sous-marins au large de la côte de la Californie qui effaceraient tout du Pacifique aux Rocheuses. Et les ICBM (missiles balistiques) chinois passant au-dessus du pôle Nord anéantiraient tout depuis les Rocheuses à la côte est.Maintenant, pourquoi la Chine ferait cela ? Ce n’est pas leurs pratiques, de menacer. Ils évitent que les Russes le font. Ils ne menacent pas les gens avec une attaque militaire « . Eric King: « C’est un peu choquant, le langage qui a été utilisé (par les Chinois dans leur menace contre les États-Unis). Qu’en pensez vous ?" Dr Roberts: « Ils essaient de rendre le peuple américain conscient que le gouvernement des États-Unis a des plans pour attaquer la Chine et qu’il y aura un coût si cela se produit. La Chine ne veut pas la guerre, pas plus que la Russie. Et si ils disent cela en espérant que ça aura un certain impact et qu’il obtiendront une certaine attention, les gens vont se demander: «Pourquoi la Chine dit -elle cela? » Et puis quelqu’un dirait: «Eh bien, les Américains ont élaboré des plans de guerre. Un savant à Washington a écrit un article qui dit : «Qui a donné la permission à Washington pour élaborer des plans de guerre contre la Chine ? Ainsi, la presse chinoise a eu une telle façon de faire, pour faire en sorte que d’autres personnes influentes soient conscientes que Washington a tous ces plans de première frappe nucléaire contre la Russie et la Chine. Parce que quand vous faites cela (élaborer des plans de guerre contre la Chine) et que vous le faites savoir , vous mettez en avant le spectre de ces deux pays qui se disent: «Eh bien, si ils vont nous attaquer, alors peut-être nous devrions attaquer. » Donc, l’irresponsabilité de Washington est sans précédent. C’est l’une des plus graves erreurs stratégiques, qui n’a jamais été faite, qui est de signaler aux deux pays dotés d’armes nucléaires que vous avez élaboré des plans nucléaires pour les attaquer. C’est de la folie. C’est le genre d’idiotie, d’arrogance, et d’orgueil qui définit le gouvernement des États-Unis. C’est la plus grande collection de fous dangereux sur la surface de la Terre"
Togo : Faure Gnassingbé persiste et signe sa fuite en avant !
~~Togo : Faure Gnassingbé persiste et signe sa fuite en avant !
~~koaci.com – Le dialogue d’application du reliquat de l’Accord politique global (APG) relatif aux réformes constitutionnelles et institutionnelles n’aura pas lieu. Les réformes comme l’avait soutenu Faure Gnassingbé, seront fonction des rapports de force à l’Assemblée nationale largement dominée par ses partisans. Il y a bien longtemps que Faure Gnassingbé considère comme caduque l’APG, qui a pourtant servi à le légitimer en août 2006. En décidant le jeudi 12 juin en Conseil des ministres d’envoyé à l’Assemblée nationale un projet de loi portant réformes sans un accord préalable, Faure Gnassingbé ne laisse persister plus aucune ambiguïté. Cette approche, le Chef de l’Etat concerné particulièrement par le point relatif à la limitation du mandat présidentiel, l’avait exprimé au chef de file de l’opposition Jean-Pierre Fabre, qui avait sollicité et obtenu une audience en vue de s’entretenir sur le sujet avec le Président de la république. Cette position du chef de l’Etat soutenue par son allié de l’Union des Forces de Changement (UFC), a pourtant été publiquement désavouée par les diplomates occidentaux installés au Togo ainsi que les deux groupes de l’opposition parlementaire (Collectif Sauvons le Togo et la Coalition Arc-en-ciel). Ce dialogue qui sera finalement concédé par le pouvoir, et s’est déroulé du 19 mai au 02 juin. Il a pris fin sur un constat d’échec. Au cours des discussions les délégués du parti au pouvoir rechignaient selon leurs protagonistes de l’opposition, à donner leurs positions sur les 12 points inscrits à l’agenda. Une attitude qui en dit long sur leur refus de dialoguer que va réitérer le ministre Gilbert Bawara en disant que « c’est l’opposition qui a besoin d’un dialogue ». Seuls de petits points sans enjeu de pouvoir, relatifs aux conditions d’éligibilité et à la question du financement des partis ainsi que le principe des réformes institutionnelles (CENI, Cour Constitutionnelle, HAAC…) ont fait l’objet d’accord. -
Le jeudi 12 juin, le ministre Gilbert Bawara a fait le rapport de cet échec en Conseil des ministres. C’est alors que comme cela se disait dans les couloirs bien avant l’entame du dialogue, il a été décidé qu’un projet de loi soit adressé à l’Assemblée nationale, exposant les positions des différentes parties au dialogue, en vue de débats sur les réformes. L’Assemblée nationale est composée de 63 députés de l’Union pour la République et 2 de l’UFC sur un total de 91. Le reste est réparti entre les formations de l’opposition et deux (02) indépendants. Il faut réunir une majorité qualifiée de 4/5ème pour pouvoir effectuer les modifications qui touchent à une disposition constitutionnelle. Outre la question de l’application immédiate de la limitation du mandat présidentiel, le pouvoir rejette le rétablissement du scrutin uninominal majoritaire à deux tours, plébiscité lors du référendum de septembre 1992. Pourtant, ce point avait fait l’objet d’accord entre le parti au pouvoir et son allié l’UFC dans d’autres cadres de discussions. Fustigeant une stratégie du pouvoir visant à maintenir le statut quo, en refusant de dialoguer sur des points qui par ailleurs ont déjà fait l’objet de pertinentes recommandations de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation (CVJR), le CST a décidé de recourir à la mobilisation populaire les 26, 27 et 28 juin prochains. Il pourrait être rejoint dans cette dynamique par son homologue de la Coalition Arc-en-ciel. L’élection présidentielle a été annoncée récemment par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) pour mars 2015.
TOGO COMMUNIQUE DE PRESSE du GRAD pour une mobilisation de la société civile
~~COMMUNIQUE DE PRESSE du GRAD pour une mobilisation de la société civile
"Le Groupe de Réflexion et D'Action pour le Dialogue, la Démocratie et le Développement (GRAD) propose aux Togolaises et aux Togolais un engagement citoyen dans un courant constitutionnaliste pour sortir le Togo de l'impasse politique. Constat Le Togo, depuis bientôt vingt-quatre (24) ans est entré dans une crise sociopolitique qui a compromis la vie de toute une population qui croupit dans une misère rampante. Des tentatives de sortie de crise ont été faites par une série de négociations, de dialogues et d'accords. En fait de dialogue, il faut reconnaître que le dernier en date du 19 mai au 03 juin 2014, présidé par Monseigneur Nicodème BARRIGAH, évêque d'Atakpamé, a échoué. Ceci dénote l'incapacité de la classe politique, à savoir les partis représentés à l'Assemblée Nationale et le pouvoir à trouver des solutions de sortie de crise pour permettre aux Togolaises et aux Togolais un meilleur vivre ensemble. Tentatives de solution Pour sortir de la crise, le GRAD avait, dans ses différentes publications, proposé des approches de solution. Malheureusement rien n'a été fait. En outre, les divers accords, notamment l'Accord Politique Global (APG) signé le 20 août 2006, aurait pu, s'il avait été mis en œuvre, permettre de sortir définitivement le Togo de la crise. Mais les parties signataires de l' APG ne se sont pas du tout impliquées dans son application. Elles se sont, au contraire, contentées de concentrer toutes leurs énergies sur le Cadre Permanent de Dialogue et de Concertation (CPDC) au détriment du Comité de Suivi, lequel, dans sa composition est chargé de veiller à la mise en œuvre effective de l'APG. Par ailleurs, dans le souci de régler les problèmes de l'impunité qui ont longtemps compris la cohésion et la paix sociales, la Commission Vérité Justice et Réconciliation (CVJR) a été mise en place pour faire des propositions aux fins d'apaisement. Malheureusement ses recommandations sont demeurées lettres mortes. Comment sortir de la crise? Face aux échecs répétés qui ont marqué les différentes tentatives de solution, le GRAD rend responsables toute la classe politique et le pouvoir (les partis de l'opposition et les partis au pouvoir). Pour sortir de la crise, le GRAD pense qu'il est temps que les Togolaises et les Togolais reprennent entre leurs mains leur souveraineté. Pour ce faire, la société civile a un rôle déterminant à jouer dans la mobilisation des citoyens dans un courant constitutionnaliste. Il s'agira en 2015, d'une transition politique avec un gouvernement d'unité nationale et une assemblée constituante. Ces deux institutions auront pour mission de restaurer la légitimité des institutions actuelles, la confiance mutuelle et la cohésion sociale". Fait à Lomé, le 11 juin 2014 Par Victor Alipui
TOGO : L’hypocrisie de l’église catholique
TOGO : L’hypocrisie de l’église catholique
Religion et mensonge
Les hommages à Mgr Dosseh-Anyron et l’hypocrisie des ténors de l’église catholique togolaise
Le 15 avril 2014, le 1er archevêque du Togo, feu Mgr Robert-Casimir Dosseh-Anyron, a été rappelé à Dieu à l’âge de 89 ans et des hommages nationaux et internationaux lui ont été rendus. On a souvenance que le drapeau togolais a été mis en berne pour observer le deuil national des 7, 8 et 9 mai, ainsi que sa décoration par le chef de l’Etat, à titre posthume. Dans la foulée des obsèques, des personnalités ont relevé le défi herculéen de parcourir deux kilomètres à pieds.
Les hommages à l’endroit du disparu n’ont pas tari jusqu’à ce jour. Mais parmi ceux qui voyaient en lui un être immaculé de tout péché, se trouvait Mgr Denis Amuzu-Djakpa. Ce dernier dans son homélie lors de la messe d’enterrement a rappelé « le grand parcours » du disparu, le nommant affectueusement « le sportif de la foi ». « Séchez vos larmes et suivez plutôt ses pas », a-t-il adressé à l’assistance pour qui la vie de l’archevêque se résume à l’humilité, l’amour et le sacrifice.
Des mots empreints d’hypocrisie quand on sait que le défunt n’aura pas fait que du bien à ses brebis, notamment dans la construction du séminaire Jean-Paul II dans les années 1990. Celui qui invitait les fidèles à suivre les pas de feu Mgr Robert-Casimir Dosseh-Anyron, était à la tête des prêtres qui avaient signé une lettre ouverte dénonçant les malversations financières qui ont freiné la construction du séminaire et 220 millions FCFA auraient été détournés. Son hommage était-il sincère ?
Nous vous proposons la lettre ouverte que les prêtres parmi lesquels Mgr Amuzu-Djakpa ont adressée à l’époque à Mgr Robert-Casimir Dosseh-Anyron. Lecture.
A Son Excellence Monseigneur DOSSEH Archevêque de Lomé.
Excellence,
Plus d'un ont désormais conscience du désastre dans lequel vous avez plongé l'Eglise particulière de Lomé. Vous essayez à tout instant d'exploiter l'ignorance du peuple de Dieu pour détourner son attention du gouffre abyssal béant que vous avez ouvert devant lui. Faute de science, les fidèles du Christ n'arrivent pas à pénétrer le sens profond des événements que vit l'Archidiocèse de Lomé depuis mars 1990.
Vous n'avez pas le courage de leur dire la vérité et de leur présenter les choses telles qu'elles sont. Mais bien au contraire, vous tentez de noyer les prêtres qui ont cru bon d'élever la voix pour extirper le mal. Contre ces prêtres que vous appelez petits prêtres qui sentent la nécessité d'une amputation salvatrice, vous ne manquez pas de monter vos "hommes" pour qu’ils voient en eux des "contestataires et des révolutionnaires".
Ce que nous savons pour notre part, c'est qu'il n'y a jamais de révolutionnaire ou de contestataire dans l'Eglise. Ce qu'il y a toujours eu et qui est vrai. C’est le combat prophétique pour le bonheur pour que les pasteurs ne s'engraissent pas au détriment des brebis.
C'est notre communion avec l'Eglise qui nous pousse à cette nouvelle intervention face à une situation qui se détériore de plus en plus et dans laquelle vous ne cessez de dire: "Je vais voir jusqu'où ils vont aller".
Nous ne dénonçons pas ici le refus de dialogue, la non-communion avec l'Eglise, les tentatives d’incitation contre ceux qui ont le cœur blessé qui luttent avec les opprimés, les simulacres de changement, les doubles bureaux…
En ce qui nous concerne, nous voulons savoir ce que représentent pour vous les séminaires et les séminaristes. La réponse ne se fait sans doute pas attendre: le séminaire est le cœur du diocèse. Tous ont le souci de s'occuper de ce cœur en lui procurant le minimum nécessaire afin de pourvoir avec soin à sa constitution, à son entretien, à sa subsistance, en un mot à ses besoins.
C'est ainsi que sur votre demande depuis 1982, les chrétiens du monde entier n'ont cessé de financer la construction du Grand séminaire Jean-Paul II. Les documents joints a celle lettre en témoignent.
Nous constatons fort malheureusement que malgré cette masse d'argent (au moins 220 000 000F CFA parvenus à notre connaissance pour le moment), presque rien n'a été réalisé.
A quelles fins avez-vous utilisé l'obole de la veuve?
A voir tout ce que vous avez reçu en abusant de la bonne foi des chrétiens qui pensaient voir en vous un Evêque, c'est-à-dire un successeur des Apôtre non mondains, non cupides .... nous arrivons à la conclusion suivante:
Pour vous:
-Les Séminaires sont conçus comme une entreprise commerciale. Leur construction ne doit jamais être achevée, autrement les sources de revenu risquent de tarir. La vocation d'un séminaire est-elle d'être une source de revenu pour des fins inavouées?
-Les séminaristes n'ont qu'une valeur de marchandise. Le plus important, c'est leur présence au lieu déterminé à être un séminaire pour donner l'impression à ceux qui ignorent le système et qui sont loin, que le séminaire existe.
Ce qui compte, ce n'est pas la mise en condition pour une bonne formation des futurs prêtres, mais l’argent qu'ils peuvent faire rentrer.
Finalement où allons-nous avec tout cela? Qu’apportons-nous au monde en matière d'honnêteté et de transparence de la gestion? Qui fait plus de mal à l'institution et aux séminaristes? Est- ce ceux qui sont déterminés à combattre pour la justice et la vérité en vue d'assurer aux séminaristes une formation intégrale adéquate qui ne compromet pas leur avenir humain, chrétien et sacerdotal, ou bien vous qui, sous l'apparence de discours trompeurs, flatteurs et mystificateurs faites croire qu'il n'y a jamais d'argent, sacrifiant ainsi le véritable épanouissement des prêtres et des futurs prêtres, et méconnaissant par là la générosité et la charité des chrétiens d'ici et d'ailleurs?
Notre démarche voudra aider chaque fidèle du Christ à se rendre compte que celui qui fait plus de tort à la formation des séminaristes, ce ne sont pas ceux qui interpellent la conscience de l’Evêque que vous êtes, mais bien celui qui se livre à des "jeux de tiroirs" dommageables à l'édification du milieu naturel d'éclosion normale des vocations.
Jusqu’à quand maintiendrez-vous les séminaires en chantier? Malgré nos démarches évangéliques de fils, votre cœur se refuse de manifester un véritable amour pour l'Eglise.
Vous connaissez bien le mal que le clergé diocésain continue de dénoncer, mais vous persistez à l'entretenir. Dans quel but le faites-vous? Est-ce pour donner une succession difficile à celui qui viendra après vous?
Nous ne pouvons plus supporter trop longtemps celle situation qui ne fait que déshonorer l'Eglise. Nous estimons qu'il vaudrait mieux arrêter par exemple les cours, pour ne pas bâcler la formation des séminaristes, plutôt que de se rendre complice d'une formation qu'en définitive vous bâclez par le système que vous maintenez en place. Faites la vérité et la vérité vous libérera. Ainsi tout sera clair pour tous. Sentiments sincères en Christ.
Les Pères : Amuzu Dénis, Amédjonékou Pière, Koumaglo Joseph, Gaglo Isaac, Tossou Raphaël, Gakpé Sévérin, Kpodzo Cyprien et Hodanou Benoit.
TOGO : A quoi joue Victoire Dogbé-Tomégah la ministre et intime de Faure Gnassingbé !?
TOGO : A quoi joue Victoire Dogbé-Tomégah la ministre et intime de Faure Gnassingbé !?
Le père n’avait jamais en 38 ans passés au pouvoir, associé aucune de ses multiples femmes (compagnons et maitresses) aux affaires de la République.
Mais le fils du père, Faure Gnassingbé c’est complètement le contraire. Toutes ses panoplies d’intimes, sont associées directement aux affaires de l’Etat. Elles font toute la pluie et le beau temps avec l’argent du contribuable, comme si le pays est la propriété privée de leur supposé « mari », sans rendre compte a qui que se soit.
Victoire Dogbé-Tomégah, ministre de développement à la base et directrice de cabinet de Faure Gnassingbé, Chef de l’Etat, est une divorcée avec 3 filles qui vivent au Canada.
C’est grâce à Gilbert Fossoun Hougbo, l’ancien premier ministre, que dame Dogbé-Tomégah avait été copté du PNUD pour devenir ministre.
Comme de coutume pour Faure Gnassingbé, cette dame de PNUD est vite passée à la casserole, et elle prit des ailes.
Dame de PNUD, se permet tout et faire ce qu’elle veut avec l’argent du contribuable togolais, sans que le prince héritier du trône des Gnassingbé ne dit rien.
Depuis un temps, elle se cache derrière les journalistes de ventre pour les manipuler à sa guise.
Cette dame de 2*5, est l’instigatrice de ce qui est arrivé d’anormal pour le changement du bureau de CONPP. Elle a réussit à imposer à la tête de ce cette association vidée des vrais membres, un certain Jean-Paul Agboh Ahouélété, usurpateur du journal Focus info au vraie propriétaire avec le concours et l’aide du régime dictatorial RPT.
Dame intime de Faure Gnassingbé, met l’argent de l’Etat, des bons d’essence et des ordinateurs a distribués, à la disposition de cette association des bitosards de la République. Afin que ce groupe sillonne tout le territoire dans le but et l’objectif de corrompre les journalistes, surtout ceux de l’intérieur du pays.
Comment peut-on comprendre, que tous les membres de ce faux bureau de CONAPP, regorge en son sein des directeurs de publication qui sont irréguliers dans la sortie de leurs journaux et surtout qui n’arrivent même pas à payer les personnels de leurs rédactions.
Nous disons à dame Victoire Dogbé-Tomégah, qu’elle peut même distribuer des maisons, des avions, des bateaux, etc.. à chaque togolais. Ils ne vous aimeront jamais.
La seule chose que les togolais veulent et aspirent, c’est l’alternance et la démocratie.
Le peuple togolais en a marre de votre bande.
Journal La Nouvelle
TOGO PHOTOS Dussey Dracula: Mon job à plein temps c'est faire des SELFIE !
TOGO PHOTOS Dussey Dracula: Mon job à plein temps c'est faire des SELFIE !
Le ministronc Bob Dussey des affaires "étranges" de la dictature togolaise est un champion du marketing politique !
Il fait du "vent" avec son cul et sa bouche mais avec son appareil photo ça, il est le "boss" !
"Vous me reconnaissez ? C'est moi le Dracula togolais, j'essaie de prendre des photos avec me sstars du ghota préféres !!!!
Dussey semble vraiment croire qu'il aide le génocidaire gnassingbé de 2005 à tenir le pays en faisant des SELFIE chaqu semaine avec les derniers soutiens du régime cramoisie togolais...
Azui !
Dussey le complice de l'assassinat de son oncle ancien ministre Atsutse Agbogbli ne paie rien pour attendre...
P.S. Bientot il fera des SELFIE depuis la prison civile de Lomé en compagnie de son poto "leucémique" et du kadangha "incendiaire"._
TOGO PHOTO SCANDALE Le petit château de l'ancien Premier Ministre Eugène ADOBOLI
Le chatelet abandonné d’Eugene Koffi ADOBOLI, niché sur les collines de Danyi Ahlon-Bogo
TOGO VIDEO Le chatelet abandonné d'Eugene Koffi ADOBOLI, niché sur les collines de Danyi Ahlon-Bogo
Ancien premier ministre de GNASSINGBE Eyadema, le propriétaire des lieux est actuellement en Europe et est poursuivi pour détournement par le fils Faure.Bien mal acquis? En tout cas, il n’en profite pas.
TOGO VIDEO Si Faure GNASSINGBE "et son père avaient bien travaillé, aucun Togolais n'irait se soigner" ailleurs
TOGO VIDEO De Tsiko à Yikpa, il y avait de l'asphalte... il fut un temps!
Togo Gnassingbé 2 offre le phosphate "cadeau" à l'Ethiopie en échange du hub à Lomé avec Ethiopian airlines
Togo Gnassingbé 2 offre le phosphate "cadeau" à l'Ethiopie en échange du hub à Lomé avec Ethiopian airlines et ASKY
Le Peuple togolais est dépossédé de ses richesses minières au profit de consortium et états étrangers voyous !
Nous ne laisserons plus faire ce bordel !
Premier African Minerals Ltd, listée sur London Stock Exchange, a annoncé vendredi avoir entamé des tractations pour se libérer de sa filiale togolaise G and B African Resources SARL qui tombera dans l’escarcelle d’Ethiopian Potash Corp (EPC).
La vente de la filiale du Togo, inscrite dans des transactions combinées, intervient après un amendement à l’accord de la récente vente de la filiale du Mali de Premier African Minerals Ltd à la société canadienne EPC, listée sur le Toronto Stock Exchange.
Elle porte sur notamment le projet de phosphate à 25 km au nord-est de Lomé, le projet d’argile (attapulgite et bentonite) de ressources comprises entre 108 millions et 254 millions de tonnes dans le sud du Togo, et le projet de phosphate à Bassar, qui disposerait de 22 millions de tonnes à une teneur de 22% P2O5 que doit confirmer un programme d’exploration, dans la région de la Kara dans le nord du Togo.
Pour l’heure, le projet d’or de Premier à Dapaong dans l’extrême-nord du Togo et sa branche béninoise portant sur le coltan et la cassitérite sont épargnés. Ils restent détenus à 100% par Premier African Minerals Ltd.
Après Addis Abeba, Lomé va accueillir le second hub cargo d'Ethiopian Airlines. Cette annonce confirme la place de la capitale togolaise dans la stratégie de croissance du groupe éthiopien.
La division cargo d’Ethiopian Airlines va démarrer, à partir de septembre 2013, son second centre de fret à l’aéroport de Lomé pour le transport des biens et des marchandises entre l'Afrique de l'Ouest et le reste du monde. L'ouverture de cette plateforme - gérée en association avec Asky Airlines - confirme l'importance de la capitale togolaise dans la stratégie d'expansion du géant éthiopien. En effet, Lomé accueille déjà le siège d'Asky Airlines et sert de hub passager pour une vingtaine de pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre desservis par le transporteur.
Interviewé par Jeune Afrique en novembre 2011, Tewolde Gebremariam, DG d'Ethiopian Airlines, avaitrappelé l'ambition du groupe qui était "d'étendre (les) activités cargo afin de mieux desservir l'Afrique et de satisfaire les besoins des consommateurs". Dans un communiqué publié le 21 août, l'entreprise éthiopienne, qui est l'opérateur et l'un des principaux actionnaires d'Asky Airline, insiste sur l'importance du nouveau hub cargo de Lomé, après celui d'Addis Abeba, dans sa stratégie "Vision 2025". Celle-ci est de devenir "le premier groupe d'aviation en Afrique" à l'horizon 2025 et s'appuie en partie "sur la multiplication des plateformes sur le continent et le renforcement des partenariats avec les compagnies aériennes africaines".
Sur l'année fiscale 2012, Ethiopian Airlines a réalisé un chiffre d'affaires de 33,815 milliards de birrs, soit environ 1,95 milliard de dollars (en hausse de 37%), répartis entre 25,8 milliards de biirs (1,49 milliard de dollars) pour la branche passagers et 4,54 milliards (261 millions de dollars) pour la branche fret. D'autre part, Ethiopian Cargo exploite le plus important réseau de fret d'Afrique : sa flotte de six appareils dessert 25 destinations à travers le monde.
Ethiopian Cargo, the largest cargo operator in Africa, is opening a second cargo hub in Africa based in Lomé, Togo, in partnership with ASKY Airlines, a Togo airline.
The new cargo hub will begin operations in September after the phase-in of a B737-400F.
For the past three years, Ethiopian and ASKY have been serving passengers travelling within, to and from West and Central Africa through the Lomé hub.
Now, Ethiopian and ASKY are partnering in the establishment of a new cargo hub in Lomé for the transportation of goods between West Africa and the rest of the world. This partnership will enable air transport of high-value and perishable goods to and from West and Central Africa, thereby playing a role in the growth of trade and the economic development of the region.
“As Africa continues with its fast economic growth, we are expanding our cargo network to serve the continent better and make air cargo accessible to more countries and more people,” Tewolde Gebremariam, CEO of Ethiopian, said. “Africa is a large continent in landmass, economy and population, and multiple hubs with multiple African airline partnerships are critically essential to ensure global standard air transport. Over the last three years, in line with our Vision 2025 multiple-hub strategy in Africa, we have successfully established a second passenger network hub in Lomé, in partnership with ASKY to better serve the West Africa community. We are now extending this successful partnership to the cargo business.”
TOGO SCANDALE Des délinquants anglais exploitent l'Uranium/Coltan au Togo via le paradis fiscal des Iles Vierges anglaise
TOGO SCANDALE Des délinquants anglais exploitent l'Uranium/Coltan au Togo via le paradis fiscal des Iles Vierges anglaise
Registered Office
Craigmuir Chambers
PO Box 71
Road Town
Tortola VG 1110
British Virgin Islands
Kara-Niamtougou Project
Commodity: Uranium
The Kara-Niamtougou Project comprises nine contiguous Exploration Permits granted for uranium and associated minerals.
Historical exploration undertaken in the 1970s included mapping, ground spectrometer traversing, trenching and pitting. Three priority targets were drilled: Sondage 1. Sondage 10-11 and Sondage 13. U3O8 content was discovered to be variable. Low-end averages stood at 0.14% U3O8 and maximum values reached 0.45% U3O8.
Previous workers established a non-SAMREC Compliant Exploration Target of 100 tonnes uranium metal.
Although further exploration is required to define the genetic model for the known mineralisation, there are indications of associations to both local and regional structures, lithology and alteration.
Through its exploration work, Premier has confirmed the nature and host lithology of the uranium mineralisation and has identified a 60km strike of anomalous aero-radiometric anomalies and associated structural controls.
Premier believes that two geological models exist:
Sondage 1 and Extension
• Structurally controlled
• Alteration controlling precipitation of uranium
• Mineralisation associated with biotite schist
Siou
• Uncomformity-style
Premier intends, funds permitting, to drill test the two top priority targets at Sondage 1 and Siou with a combined total of 1,500m core drilling. Further work will be dependant on identifying sufficient potential mineralisation to warrant more extensive drill programmes.
Dapaong Project
Commodity: Gold
Dapong consists of two permits, covering 400 sq km, for the exploration of gold and associated metals, which are valid for an initial period of three years.
The Project is underlain by volcanic and sedimentary Birimian-aged intrusive rocks with minor volcanosedimentary sequences, quartz veins and pegmatites, which form part of the larger West African Craton geologic region. Gold mineralisation generally occurs along north to north east trending shear zones and faults that cut Birimian belts or form the margins of these Birimian belts where sedimentary rocks often include paleo-placer gravels. Substantial gold mineralisation has previously been discovered within Birimian-aged formation belts located in Ghana, Côte d’Ivoire, Mali, Guinea and Burkina Faso. Major gold mines in the region include Tarkwa in Ghana operated by GoldFields which has a 15.Moz resource and produces circa 700,000 oz per annum; Oubasi mine in Ghana operated by AngloGold which produces circa 300,000 oz of gold per annum; and the Youga gold mine operated by Etruscan Resources in southern Burkina Faso which produces circa 80,000 oz of gold per annum.
Multiple rivers draining Birimian rocks in the West African Craton hold alluvial gold deposits and an initial reconnaissance visit by Premier geological teams have already identified four areas in the drainage systems where there has been recent artisanal activity.
The Project is considered to be highly prospective for gold, having extensive artisanal activity but has not yet been the subject of systematic exploration. The Board believes that the area offers excellent development potential due to its location and geological signature. Accordingly, using its existing resources in Togo, the Company intends to immediately commence exploration in order to quantify the full potential of the highly prospective area.
Pagala Project
Commodity: Zinc
Located 20km west of a main North–South road artery in Western Togo and within easy assess of a freight rail connection, the Pagala Project consists of four contiguous Exploration Permits issued for zinc and associated minerals. Mineralisation is hosted in a graphite-sericite schist and sideritic breccias within a volcano sedimentary sequence.
Exploration of this area began in 1983, since when both BRGM and Anglo American have previously undertaken drill testing. In 2000, Ambase Exploration Limited recorded a non-SAMREC compliant ‘exploration target’, as defined in the SAMREC code, of 3.6 Mt at 2.7% zinc.
Premier believes that BRGM and Anglo American may have failed to recognise the controlling geological structures and did not drill deep enough to identify the deposit’s true scope. A 2,000m core drilling programme is planned, funds permitting, to drill test the portions of an untested nappe structure where duplication and an increase in grade of the mineralisation may exist. Further work on the project will be results driven.
Haito Project
Commodity: Nickel
Located in southwest Togo (a two-hour drive from the capital, Lomé) and close to the railhead at Kpalime, the Haito Project is a highly prospective grassroots project with good development potential.
The project consists of three Exploration Permits issued for nickel and associated minerals. In May 2009, a JORC compliant Inferred Mineral Resource estimate was established for the Mont Kpote prospect by Datageo Geological Consultants. The estimate was based on assays from 94 pits excavated by the Group and 23 historical pits. This Inferred Mineral Resource was calculated with a cut-off grade of 0.7% nickel and has been estimated as 7.2Mt at 0.99% nickel.
Haito sits within the greater Kpote Deposit area, which has the potential to build 10-15Mt at 0.8-1.05% nickel. Should Premier's geological expectations be realised, a nickel mine at Haito could have a potential mine life in excess of 20 years. Higher-grade portions of the resource would be targeted during the first 10 years of mining.
The viability of the nickel resources at Kpote revolves around the atmospheric leachability of the laterite (i.e. acid consumption, leach times and iron residues). Premier intends funds permitting, to send four bulk samples for atmospheric acid leach testing and to develop further exploration at Haito once the results of this test work are known.
Dapaong Gold Project –
Togo
In January 2013 we were delighted to have
secured two gold Exploration Permits
totalling 400 sq km in the Dapaong area of
northern Togo. The licence areas are
considered to be highly prospective for gold,
having extensive artisanal activity, but have
not yet been the subject of systematic
exploration.
The Project is underlain by volcanic and
sedimentary Birimian-aged intrusive rocks
with minor volcano-sedimentary sequences,
quartz veins and pegmatites, which form part
of the larger West African Craton geologic
region. Gold mineralisation generally occurs
along north to north east trending shear
zones and faults that cut Birimian belts or
form the margins of these Birimian belts
where sedimentary rocks often include
paleo-placer gravels. Substantial gold
mineralisation has previously been
discovered within Birimian-aged formation
belts located in Ghana, Côte d’Ivoire, Mali,
Guinea and Burkina Faso. Major gold mines
in the region include, Tarkwa in Ghana
operated by GoldFields, which has a 15
million oz resource and produces circa
700,000 oz per annum; Oubasi mine in
Ghana operated by AngloGold which
produces circa 300,000 oz of gold per
annum; and the Youga gold mine operated
by Etruscan Resources in southern Burkina
Faso, which produces circa 80,000 oz of
gold per annum.
Multiple rivers draining Birimian rocks in the
West African Craton hold alluvial gold
deposits and an initial reconnaissance visit
by our Premier geological teams have
already identified four areas in the drainage
systems where ther
Table 1: Pipeline portfolio
Project Country Further details
Southern Togo Phosphate* Togo • 173,99 sq km project located in southern Togo, 35km from Port of Lome
• Commercial phosphate development potential in Togo
• Borders State high grade phosphate mine – 50Mt of ore over 40 years at 35.7% P2O5 product
• Historical hydrogeological drilling identified phosphate beds on property & shallow cover
deposit suggests potential for low capex open pit mining
• Conceptual Exploration Target of 75Mt at 32% P2O5 (Venymn)
Southern Togo Clays* Togo • Located in the northern part of Southern Togo Project
• High quality clays project with potential in-situ resources of 108Mt attapulgite and smectite
• Mineralisation remains open along strike and down dip
• Venymn: potential conceptual Exploration Target upside of 254Mt
Bassar Phosphate* Togo • Located 315 km north of Premier’s Southern Togo Project (350km to Port of Lome)
• Non-compliant resource of 20Mt at 22% P2O5
Haito Nickel Laterite Togo • 600 sq km project located in south west Togo – deposit still open at depth
• Inferred compliant resource by surface pitting of 7.21Mt at 0.99% Ni at 0.7% Ni cut off
Pagala Lead-Zinc Togo • 400 sq km contiguous land position 230km north of the Port of Lome
• Non-compliant resource of 3.6Mt at 2.7% Zn
Kara Niamtougou Uranium Togo • 766 sq km permit area 380km north of the Port of Lome
• Non-compliant resource of 150 -300t U308
George Roach:
Chief Executive Officer &
Executive Chairman
Mr Roach has been involved in the mineral
exploration industry in sub-Saharan Africa
for many years. He has extensive experience
in securing and establishing mineral
exploration tenure and operations
throughout Africa namely, Central African
Republic, South Africa, Chad, Mali, Namibia,
Zambia and Tanzania. He was a founding
Director and Managing Director Africa for
UraMin Inc., a uranium resource company
with operations in Namibia, South Africa and
Central African Republic. UraMin was sold
for US$2.5 billion in 2007 to Areva, a
French public multinational industrial
conglomerate. Mr Roach is Chairman of
Ethiopian Potash Corp, a TSX Venture
Exchange quoted company, and was
appointed as a director of AfNat Resources
Limited in 2009, which was AIM-quoted until
June 2010.
Pamela Hueston:
Finance Director
Ms Hueston was formerly Chief Financial
Officer (CFO) designate of Ethiopian Potash
Corp (TSX:V), CFO of G & B Central African
Resources and CFO of Virginia Diamond
Field, which conducted a US$25m bulk
sample diamond exploration project in South
Africa. Ms Hueston was also Head
Accountant with Caledonia Mining Corp, a
junior gold mining and exploration company
with operations in South Africa, Zimbabwe
and Zambia and which is listed on the
Toronto Stock Exchange and traded on AIM.
Prior to working in the mining industry,
Ms Hueston spent four years with Deloitte in
various global locations working as a Senior
Manager in Forensic Accounting.
Ms Hueston is a Canadian Chartered
Accountant and MBA graduate from the
University of Cape Town.
Bruce Cumming:
Technical Director
Mr Cumming has over 35 years experience
as an exploration geologist in base metal
and diamond exploration across Africa.
Mr Cumming spent 26 years with the
Falconbridge Limited group of companies
across Southern and West Africa exploring
for nickel, copper, gold, diamonds and
uranium. He has also consulted on various
PGM opportunities in the Bushveld, was
Exploration Manager for AIM-quoted Sierra
Leone Diamond Company Limited (now
African Minerals Limited) and in 2006 was
employed by Vedanta Resources plc in
Zambia as Specialist Exploration.
Mr Cumming holds a Bachelor of Science
(Honours) in Geology from the University of
Cape Town and is accredited to the South
African Counsel for Natural Scientific
Professionals (SACNASP).
John (Ian) Stalker:
Non-Executive Director
Mr Stalker is Chief Executive Officer of
Brazilian Gold Corporation, a TSX Venture
Exchange quoted company. He has over 30
years of development and operational
mining experience in Europe, Africa and
Australia. He has undertaken operational
roles in the base and precious metals arenas
and executive positions in some of the
largest mining companies in the world. From
2009 to 2011 he was CEO of Berkeley
Resources Ltd, an ASX and AIM quoted
company with its main asset being a
uranium development project in Spain. He
was CEO of UraMin Inc. from 2005 until its
acquisition by Areva in 2007. Prior to joining
UraMin, between 2005 and 2007 Mr Stalker
was a Vice President of Gold Fields Ltd., the
fourth largest gold producer in the world at
the time.
Leslie Goodman:
Non-Executive Director
Mr Goodman, a M.A. in Law from Cambridge
University, qualified and practiced as a
Solicitor in London. Mr Goodman held the
position of C.E.O. for ACE Global Markets,
ACE Strategic Advisors Inc. and Jardine
Lloyds Advisors Limited. He was a Director
and Head of International M & A with
Barclays de Zoete Wedd Limited, and
Director of Corporate Finance with Hill
Samuel. He was previously Chairman of the
Board of Directors of Viatel Holdings
(Bermuda) Limited and Chapelthorpe plc.
He is also a Director of two publicly traded
companies.
Richard Dollar:
Consulting Geologist
Mr Dollar has over 50 years’ experience
exploring for minerals across Africa,
including working as the resident geologist
for African Associated Mines and for United
States Steel Corp as a consultant identifying
fluorspar, nickel and platinum in Central and
Southern Africa. He was instrumental in
identifying, developing, building and
subsequently disposing of at least five
mines, including the Tiger Reef Mine, Jojo
and Anzac Mines at Kwe Kwe to purchasers
including Lonrho. He is experienced in
operating in Zimbabwe and was involved in
prospecting for and building a 10,000
tonne/month Tantalum mine at Gwanda.
Mr Dollar holds a Bachelor of Science
(Honours) in Geology from the University of
Cape Town.
TOGO Group of English criminals steal uranium / coltan through the tax haven British Virgin Islands
TOGO Group of English criminals steal uranium / coltan through the tax haven British Virgin Islands
Registered Office
Craigmuir Chambers
PO Box 71
Road Town
Tortola VG 1110
British Virgin Islands
Kara-Niamtougou Project
Commodity: Uranium
The Kara-Niamtougou Project comprises nine contiguous Exploration Permits granted for uranium and associated minerals.
Historical exploration undertaken in the 1970s included mapping, ground spectrometer traversing, trenching and pitting. Three priority targets were drilled: Sondage 1. Sondage 10-11 and Sondage 13. U3O8 content was discovered to be variable. Low-end averages stood at 0.14% U3O8 and maximum values reached 0.45% U3O8.
Previous workers established a non-SAMREC Compliant Exploration Target of 100 tonnes uranium metal.
Although further exploration is required to define the genetic model for the known mineralisation, there are indications of associations to both local and regional structures, lithology and alteration.
Through its exploration work, Premier has confirmed the nature and host lithology of the uranium mineralisation and has identified a 60km strike of anomalous aero-radiometric anomalies and associated structural controls.
Premier believes that two geological models exist:
Sondage 1 and Extension
• Structurally controlled
• Alteration controlling precipitation of uranium
• Mineralisation associated with biotite schist
Siou
• Uncomformity-style
Premier intends, funds permitting, to drill test the two top priority targets at Sondage 1 and Siou with a combined total of 1,500m core drilling. Further work will be dependant on identifying sufficient potential mineralisation to warrant more extensive drill programmes.
Dapaong Project
Commodity: Gold
Dapong consists of two permits, covering 400 sq km, for the exploration of gold and associated metals, which are valid for an initial period of three years.
The Project is underlain by volcanic and sedimentary Birimian-aged intrusive rocks with minor volcanosedimentary sequences, quartz veins and pegmatites, which form part of the larger West African Craton geologic region. Gold mineralisation generally occurs along north to north east trending shear zones and faults that cut Birimian belts or form the margins of these Birimian belts where sedimentary rocks often include paleo-placer gravels. Substantial gold mineralisation has previously been discovered within Birimian-aged formation belts located in Ghana, Côte d’Ivoire, Mali, Guinea and Burkina Faso. Major gold mines in the region include Tarkwa in Ghana operated by GoldFields which has a 15.Moz resource and produces circa 700,000 oz per annum; Oubasi mine in Ghana operated by AngloGold which produces circa 300,000 oz of gold per annum; and the Youga gold mine operated by Etruscan Resources in southern Burkina Faso which produces circa 80,000 oz of gold per annum.
Multiple rivers draining Birimian rocks in the West African Craton hold alluvial gold deposits and an initial reconnaissance visit by Premier geological teams have already identified four areas in the drainage systems where there has been recent artisanal activity.
The Project is considered to be highly prospective for gold, having extensive artisanal activity but has not yet been the subject of systematic exploration. The Board believes that the area offers excellent development potential due to its location and geological signature. Accordingly, using its existing resources in Togo, the Company intends to immediately commence exploration in order to quantify the full potential of the highly prospective area.
Pagala Project
Commodity: Zinc
Located 20km west of a main North–South road artery in Western Togo and within easy assess of a freight rail connection, the Pagala Project consists of four contiguous Exploration Permits issued for zinc and associated minerals. Mineralisation is hosted in a graphite-sericite schist and sideritic breccias within a volcano sedimentary sequence.
Exploration of this area began in 1983, since when both BRGM and Anglo American have previously undertaken drill testing. In 2000, Ambase Exploration Limited recorded a non-SAMREC compliant ‘exploration target’, as defined in the SAMREC code, of 3.6 Mt at 2.7% zinc.
Premier believes that BRGM and Anglo American may have failed to recognise the controlling geological structures and did not drill deep enough to identify the deposit’s true scope. A 2,000m core drilling programme is planned, funds permitting, to drill test the portions of an untested nappe structure where duplication and an increase in grade of the mineralisation may exist. Further work on the project will be results driven.
Haito Project
Commodity: Nickel
Located in southwest Togo (a two-hour drive from the capital, Lomé) and close to the railhead at Kpalime, the Haito Project is a highly prospective grassroots project with good development potential.
The project consists of three Exploration Permits issued for nickel and associated minerals. In May 2009, a JORC compliant Inferred Mineral Resource estimate was established for the Mont Kpote prospect by Datageo Geological Consultants. The estimate was based on assays from 94 pits excavated by the Group and 23 historical pits. This Inferred Mineral Resource was calculated with a cut-off grade of 0.7% nickel and has been estimated as 7.2Mt at 0.99% nickel.
Haito sits within the greater Kpote Deposit area, which has the potential to build 10-15Mt at 0.8-1.05% nickel. Should Premier's geological expectations be realised, a nickel mine at Haito could have a potential mine life in excess of 20 years. Higher-grade portions of the resource would be targeted during the first 10 years of mining.
The viability of the nickel resources at Kpote revolves around the atmospheric leachability of the laterite (i.e. acid consumption, leach times and iron residues). Premier intends funds permitting, to send four bulk samples for atmospheric acid leach testing and to develop further exploration at Haito once the results of this test work are known.
Dapaong Gold Project –
Togo
In January 2013 we were delighted to have
secured two gold Exploration Permits
totalling 400 sq km in the Dapaong area of
northern Togo. The licence areas are
considered to be highly prospective for gold,
having extensive artisanal activity, but have
not yet been the subject of systematic
exploration.
The Project is underlain by volcanic and
sedimentary Birimian-aged intrusive rocks
with minor volcano-sedimentary sequences,
quartz veins and pegmatites, which form part
of the larger West African Craton geologic
region. Gold mineralisation generally occurs
along north to north east trending shear
zones and faults that cut Birimian belts or
form the margins of these Birimian belts
where sedimentary rocks often include
paleo-placer gravels. Substantial gold
mineralisation has previously been
discovered within Birimian-aged formation
belts located in Ghana, Côte d’Ivoire, Mali,
Guinea and Burkina Faso. Major gold mines
in the region include, Tarkwa in Ghana
operated by GoldFields, which has a 15
million oz resource and produces circa
700,000 oz per annum; Oubasi mine in
Ghana operated by AngloGold which
produces circa 300,000 oz of gold per
annum; and the Youga gold mine operated
by Etruscan Resources in southern Burkina
Faso, which produces circa 80,000 oz of
gold per annum.
Multiple rivers draining Birimian rocks in the
West African Craton hold alluvial gold
deposits and an initial reconnaissance visit
by our Premier geological teams have
already identified four areas in the drainage
systems where ther
Table 1: Pipeline portfolio
Project Country Further details
Southern Togo Phosphate* Togo • 173,99 sq km project located in southern Togo, 35km from Port of Lome
• Commercial phosphate development potential in Togo
• Borders State high grade phosphate mine – 50Mt of ore over 40 years at 35.7% P2O5 product
• Historical hydrogeological drilling identified phosphate beds on property & shallow cover
deposit suggests potential for low capex open pit mining
• Conceptual Exploration Target of 75Mt at 32% P2O5 (Venymn)
Southern Togo Clays* Togo • Located in the northern part of Southern Togo Project
• High quality clays project with potential in-situ resources of 108Mt attapulgite and smectite
• Mineralisation remains open along strike and down dip
• Venymn: potential conceptual Exploration Target upside of 254Mt
Bassar Phosphate* Togo • Located 315 km north of Premier’s Southern Togo Project (350km to Port of Lome)
• Non-compliant resource of 20Mt at 22% P2O5
Haito Nickel Laterite Togo • 600 sq km project located in south west Togo – deposit still open at depth
• Inferred compliant resource by surface pitting of 7.21Mt at 0.99% Ni at 0.7% Ni cut off
Pagala Lead-Zinc Togo • 400 sq km contiguous land position 230km north of the Port of Lome
• Non-compliant resource of 3.6Mt at 2.7% Zn
Kara Niamtougou Uranium Togo • 766 sq km permit area 380km north of the Port of Lome
• Non-compliant resource of 150 -300t U308
George Roach:
Chief Executive Officer &
Executive Chairman
Mr Roach has been involved in the mineral
exploration industry in sub-Saharan Africa
for many years. He has extensive experience
in securing and establishing mineral
exploration tenure and operations
throughout Africa namely, Central African
Republic, South Africa, Chad, Mali, Namibia,
Zambia and Tanzania. He was a founding
Director and Managing Director Africa for
UraMin Inc., a uranium resource company
with operations in Namibia, South Africa and
Central African Republic. UraMin was sold
for US$2.5 billion in 2007 to Areva, a
French public multinational industrial
conglomerate. Mr Roach is Chairman of
Ethiopian Potash Corp, a TSX Venture
Exchange quoted company, and was
appointed as a director of AfNat Resources
Limited in 2009, which was AIM-quoted until
June 2010.
Pamela Hueston:
Finance Director
Ms Hueston was formerly Chief Financial
Officer (CFO) designate of Ethiopian Potash
Corp (TSX:V), CFO of G & B Central African
Resources and CFO of Virginia Diamond
Field, which conducted a US$25m bulk
sample diamond exploration project in South
Africa. Ms Hueston was also Head
Accountant with Caledonia Mining Corp, a
junior gold mining and exploration company
with operations in South Africa, Zimbabwe
and Zambia and which is listed on the
Toronto Stock Exchange and traded on AIM.
Prior to working in the mining industry,
Ms Hueston spent four years with Deloitte in
various global locations working as a Senior
Manager in Forensic Accounting.
Ms Hueston is a Canadian Chartered
Accountant and MBA graduate from the
University of Cape Town.
Bruce Cumming:
Technical Director
Mr Cumming has over 35 years experience
as an exploration geologist in base metal
and diamond exploration across Africa.
Mr Cumming spent 26 years with the
Falconbridge Limited group of companies
across Southern and West Africa exploring
for nickel, copper, gold, diamonds and
uranium. He has also consulted on various
PGM opportunities in the Bushveld, was
Exploration Manager for AIM-quoted Sierra
Leone Diamond Company Limited (now
African Minerals Limited) and in 2006 was
employed by Vedanta Resources plc in
Zambia as Specialist Exploration.
Mr Cumming holds a Bachelor of Science
(Honours) in Geology from the University of
Cape Town and is accredited to the South
African Counsel for Natural Scientific
Professionals (SACNASP).
John (Ian) Stalker:
Non-Executive Director
Mr Stalker is Chief Executive Officer of
Brazilian Gold Corporation, a TSX Venture
Exchange quoted company. He has over 30
years of development and operational
mining experience in Europe, Africa and
Australia. He has undertaken operational
roles in the base and precious metals arenas
and executive positions in some of the
largest mining companies in the world. From
2009 to 2011 he was CEO of Berkeley
Resources Ltd, an ASX and AIM quoted
company with its main asset being a
uranium development project in Spain. He
was CEO of UraMin Inc. from 2005 until its
acquisition by Areva in 2007. Prior to joining
UraMin, between 2005 and 2007 Mr Stalker
was a Vice President of Gold Fields Ltd., the
fourth largest gold producer in the world at
the time.
Leslie Goodman:
Non-Executive Director
Mr Goodman, a M.A. in Law from Cambridge
University, qualified and practiced as a
Solicitor in London. Mr Goodman held the
position of C.E.O. for ACE Global Markets,
ACE Strategic Advisors Inc. and Jardine
Lloyds Advisors Limited. He was a Director
and Head of International M & A with
Barclays de Zoete Wedd Limited, and
Director of Corporate Finance with Hill
Samuel. He was previously Chairman of the
Board of Directors of Viatel Holdings
(Bermuda) Limited and Chapelthorpe plc.
He is also a Director of two publicly traded
companies.
Richard Dollar:
Consulting Geologist
Mr Dollar has over 50 years’ experience
exploring for minerals across Africa,
including working as the resident geologist
for African Associated Mines and for United
States Steel Corp as a consultant identifying
fluorspar, nickel and platinum in Central and
Southern Africa. He was instrumental in
identifying, developing, building and
subsequently disposing of at least five
mines, including the Tiger Reef Mine, Jojo
and Anzac Mines at Kwe Kwe to purchasers
including Lonrho. He is experienced in
operating in Zimbabwe and was involved in
prospecting for and building a 10,000
tonne/month Tantalum mine at Gwanda.
Mr Dollar holds a Bachelor of Science
(Honours) in Geology from the University of
Cape Town.
Premier African Minerals - Dapaong
The Project is underlain by volcanic and sedimentary Birimian-aged intrusive rocks with minor volcanosedimentary sequences, quartz veins and pegmatites, which form part of the larger West African ...
http://www.premierafricanminerals.com/page.php?pID=48&ppID=3